Comme nous n’avons pas de liaison internet depuis notre lieu de séjour en Vendée, j’ai préparé ce mot vendredi soir, dans notre chambre d’hôtel à Montignac. La photo vous donne d’ailleurs un aperçu de notre salle de rédaction itinérante, à Anti et moi.

Juste quelques news que je n’ai pas eu l’occasion de donner depuis notre départ vendredi en début d’après-midi.

J’ai terminé le chapitre 13 des Neuf soeurs. Son contenu a redonné un grand sourire à Anti. En effet, jusqu’à la fin du 12, elle était vraiment très inquiète pour l’héroïne, Safiya, à qui il arrivait tout un tas de choses plutôt extrêmes, dont certaines qu’elle semblait prendre de façon plutôt ambigüe. Quand on est dans la sphère d’influence d’un maître de la perversion, cela peut vous conduire à des réactions elles-mêmes pour le moins troublantes. Et là, dans ce nouveau chapitre, taddaaah, Safiya réagit et passe à l’offensive de main de maître(sse). Ce qui a fait achtement plaisir à Anti, qui prend vraiment très à coeur tout ce qui peut arriver à mes protagonistes féminines positives quand tout va de mal en pis pour elles. C’était pareil pendant l’écriture de La veuve obscure, elle était très très inquiète jusqu’au bout… Elle s’identifie complètement à chaque fois et ça me fait tout chaud partout, bien sûr.

Toujours est-il qu’au moment de partir pour le weekend, elle m’a dit : « Je prend mon PC mais tu prends le tien, hein ? Il faut que tu écrives la suite, je ne vais pas attendre jusqu’au retour ! ». Si c’est pas gratifiant, ça… Cela dit, je ne sais pas encore à quel moment je pourrai vraiment écrire, entre la route, les visites touristiques et le reste. A moins qu’Anti ne conduise sur le trajet du retour, comme ça je pourrai taper mon chapitre 14 pendant qu’on roule. Après tout, il y a sept heures de route, c’est plus qu’il n’en faut. Surtout que j’ai déjà le 15 en tête. Ensuite, plus que le 16 et le 17 – dans la semaine à venir, c’est probable – et ce neuvième roman sera terminé, six semaines après avoir été commencé.

Très belle journée à vous