Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur…
La Femme Primordiale ! Si ! Si ! Aujourd’hui je balance ! Naaaan ! Ben si ! Pour quoi j’en suis raide dingue ? Ah ! Ah ! Parce que vous, vous la connaissez sous son bon jour tout le temps mais la vérité… éh ! éh ! La vérité… c’est encore mieux que ce que l’on peut imaginer !
Pourquoi je l’aime donc ? Parce qu’elle sait raconter des histoires. Si ! Si ! Comment ça, c’est pas original ? Anna, c’est la seule personne que je connaisse qui peut vous raconter sans sourciller que oui, parfaitement, les Beatles ont commencé à jouer dans une cave à Amsterdam, que les raviolis sont des pizzas inversées, s’étonner d’apprendre que « Oh mon Dieu ! Gilbert Bécaud est mort !!! » (Eh oui ! Ca date même un peu chérie : en 2001 ndlr !), de vous raconter en live une brève de l’AFP complètement à l’envers dans laquelle les protagonistes sont inversés, qui vous répond « Ah non ! je leur ai donné plein à manger ce matin » quand vous venez de lui dire rapport à votre minerve genre collier anti-puce que Mirou navait rien à vous envier » etc. etc.
Anna, c’est mon absolue vision de l’Homme, de l’Humain, j’entends : celle de l’humilité, du regard rieur, de la véritable compassion, du don de soi, en un mot, celle de l’Amour.
Alors, puisque aujourd’hui est un jour particulier, celui où nous nous sommes « parlés » pour la première fois avec ces mots si visionnaires « C’est mieux avec les liens », je te le dis encore et encore : Anna, c’est mieux avec les liens et je t’aime. Je n’ai jamais aimé que toi. Je n’avais jamais pénétré le coeur de la Vie avant de t’avoir retrouvée.
Merci. Merci à toi, aux dieux, à la Vie…
Il y a si peu de temps,
Entre vivre et mourir,
Qu’il faudrait bien pourtant,
S’arrêter de courir,
Toi que j’ai souvent cherché,
A travers d’autres regards,
Et si l’on s’était trouvés,
Et qu’il ne soit pas trop tard,
Pour le temps qui me reste à vivre,
Stopperais-tu ta vie ivre,
Pour pouvoir vivre avec moi,
Sur ton île aux mimosas,
Et comme deux chevaux,
Courant dans la prairie,
Et comme deux oiseaux,
Volant vers l’infini,
Et comme deux ruisseaux,
Cherchant le même lit,
Nous irions dans le temps,
Droits comme des roseaux,
Quand sous le poids des ans,
Nous courberions le dos,
Ce serait pour mieux boire,
Ensemble à la même eau,
Et si tu m’avais cherchée,
De soir en soir, de bar en bar,
Imagine que tu m’aies trouvée,
Et qu’il ne soit pas trop tard,
Pour le temps qu’il me reste à vivre,
J’amarrerais mon piano ivre,
Pour pouvoir vivre avec toi,
Sur ton île aux mimosas,
Nous aurions la fierté,
Des tours de cathédrales,
Et nous serions plus près,
Du ciel et des étoiles,
Nous saurions le secret,
Des aurores boréales,
Il y a si peu de temps,
Entre vivre et mourir,
Qu’il faudrait bien pourtant,
S’arrêter de courir,
Et prendre un peu de temps,
De voir les fleurs s’ouvrir,
De voir les fleurs s’ouvrir,
Toi que j’ai souvent cherché,
A travers d’autres regards,
Et si l’on s’était trouvés,
Et qu’il ne soit pas trop tard…
anti, âmoureuse.
Ah ben toi je t’aime toi alors (et cette histoire-là, nous l’écrivons ensemble)
On s’en doutait juste un peu, un tout petit peu…. 🙂
Belle, très belle journée, car il y a d’abord le présent (dans tous les sens du terme).
Très…très…très…trèssssssssss beau….
Juste pour m’associer à ce jour si singulier et si essentiel pour vous deux … L’amour réchauffe qui le contemple !
Je me sens réchauffé !
Antiochus
Belle île aux mimosas… Elle existe, je l’ai rencontrée.
Anti, c’est une très belle déclaration d’Amour. j’ai fait ma tata Denise en la lisant… Snif !
Ma Caille… Bah… Tu m’touches là !
Merci soeurette 😉
anti