Hier matin sous une pluie battante, toc toc toc. Qui est là ? Le facteur, avec un gros colis d’Amazon. Euh… on a commandé quoi d’aussi volumineux chez Amazon ? Bon sang, mais bien sûr ! C’est la nouvelle machine à expresso qui ne devait arriver que le lendemain !

Aussitôt, je déballe la bête et je l’installe. Le manuel précise qu’il faut faire couler l’équivalent de cinq tasses à vide avant de s’en servir pour de vrai. Hop, voilà. Arrive enfin le grand moment. Je charge le filtre d’une dose deux-tasses de café éthiopien. Je mets en chauffe. Le bouton vert s’allume. Action. La pompe pousse l’eau avec une pression de 15 bars. Le précieux liquide sombre s’écoule dans les tasses. Il ne reste plus qu’à déguster.

Aaaaaaaah, quel régal… C’est sympa, la cafetière à l’italienne mais franchement, l’expresso, c’est sans comparaison pour obtenir un café à la fois parfumé et sans amertume. Bon, il faut dire que notre livraison de moka awasas fait passer le curseur à trois crans au-dessus de notre café habituel acheté chez Satoriz (qui est honorable, certes, mais pas dans la même cour).

Un seul petit regret : la hauteur entre le porte-filtre et la grille où sont posées les tasses est plutôt limitée. Nos tasses rouge ne passent que de justesse, heureusement qu’on en a d’autres plus basses. Quant aux mugs, impossible. Mais bon, à ce prix-là (65 euros), c’est une limitation largement acceptable.

Je vous en sers un ?

Très belle journée à vous