Voici un petit livre que je me verrais bien offrir à certaines personnes de la maisonnée qui finissent le repas en hurlant, quittant la terrasse de toute urgence pour s’enfermer à double tour dans la cuisine.
Présentation de l’éditeur
Les araignées vous affolent ? Les guêpes vous tyrannisent ? Les blattes vous dépriment ? Les crapauds vous dégoûtent ? Les souris vous paralysent ? Les serpents vous stressent ? Maisons et jardins semblent envahis par… l’ennemi. Comment dès lors survivre dans cette jungle ordinaire ? En déstressant ! Car l’ennemi, à poils, à plumes, à pinces, à dards, n’en est pas un. Rares en effet sont les bestioles qui piquent, mordent, pincent, attaquent, bref, aucune d’entre elles ne nous en veut, qu’on se le dise, au contraire… Ce petit manuel pratique de réconciliation réhabilite une minifaune utile autant que sympathique en mettant fin aux idées reçues et en délivrant des conseils de pro pour vivre sereinement avec les bestioles.
Résumé de 30 millions d’amis
Avis aux accros des pesticides, aux stressés de la bestiole ou aux paranos du crapaud : ce guide est l’allié indispensable pour passer des printemps et des étés doux, reposants… enfin sereins !
Simple et concis, il ausculte chaque bestiole collante ou indésirable puis explique ce pour quoi il est inutile de se faire du souci dans la plupart des cas. Une nouvelle façon d’appréhender les bestioles, et surtout, une mine de conseils de pro pour adopter la meilleure « bug attitude » !
Les spécialistes des bêtes ne courent pas les rues, les « vipérologues » sont rares, les « guêpologues » se comptent sur les doigts de la main. Alors les idées reçues prennent vite le pas… Avec ce guide, il ne sera plus question de poser des diagnostiques aléatoires ! Ce manuel de réconciliation avec les bestioles met fin aux idées reçues et réhabilite cette mini-faune utile autant que sympathique.
Un livre de François Lasserre, administrateur de l’OPIE et du Graine IdF, et responsable du service Evénements nature chez Nature & Découvertes, illustré par Roland Garrigue.
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Ah, enfin un livre de bon sens et de salubrité publique ! Mais oui, les bestioles qui piquent, à part quelques très rares exceptions (*), ne le font que si elles se sentent agressées. Sinon, elles sont aussi inoffensives à notre égard que vous et moi. Et dès qu’on le sait et qu’on se détend, on peut admirer en toute sérénité leur beauté si différente de la nôtre mais pas moins respectable.
Un crapaud, c’est mignon comme tout, un serpent c’est beau et fascinant, une souris c’est à faire fondre, une guêpe ne fait de mal qu’à ses proies et l’humain n’en fait pas partie s’il reste indifférent, une araignée c’est très souvent utile sinon il faut la mettre gentiment dehors sans lui faire de mal en l’attrapant dans un verre recouvert d’une feuille de papier.
(*) Les exceptions ? Moustiques et taons. Eux, ils piquent sans sommation et délibérément, parce que c’est notre sang qui les intéresse. Là, à mon avis, il y a légitime défense si vous contrattaquez.