Ayo et Féfé revisitent Maxime Le Forestier

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On se les aime bien ces trois là, alors pensez que la nouvelle a fait mouche quand j’en ai eu vent ! Je vous propose de visionner cette petite vidéo, un pur régal de fraîcheur et de bonne humeur :


Je ne sais rien faire – Ayo et Féfé

Pour la petite histoire le premier album de Maxime Le Forestier est sorti en 1972, mais c’est un an auparavant que le chanteur a séjourné dans cette fameuse « maison bleue », à San Francisco. Pour fêter ce 40e anniversaire, l’album est entièrement réinterprété par des artistes d’aujourd’hui.

A l’époque de sa sortie, la chanson San Francisco, celle qui parle de cette fameuse « maison bleue adossée à la colline », a fait un « bide ». Les radios ne la diffusaient pas, ou tard dans la nuit. Aujourd’hui, elle est devenue culte, symbole de toute la génération hippie. Une période que Maxime Le Forestier a lui-même vécue et dont il s’est inspiré pour écrire ce morceau après avoir séjourné dans la « maison bleue », située sur les hauteurs de San Francisco. C’était en 1971.

Quarante ans plus tard, le chanteur et sa maison de disques Polydor fêtent cet anniversaire d’une bien belle manière. Tout d’abord en ressortant l’album original dans une édition Deluxe comprenant en bonus des morceaux inédits enregistrés en studio, mais aussi des titres chantés en live lors d’un concert à l’Olympia en 1973 et lors d’un Musicorama en 1974.

Mais c’est surtout l’album de reprises qui attire l’attention. Intitulé La maison bleue, alors que celui d’origine n’avait pas de titre, il permet à toute une palette d’artistes de la nouvelle génération de reprendre toutes les chansons de l’album. On retrouve ainsi Calogero qui reprend magnifiquement Mon frère, Salvadore Adamo qui nous chante L’éducation sentimentale, Juliette et François Morel qui interprètent en duo Parachutiste ou encore Emily Loizeau sur Ça nous sert à quoi. Stanislas avec Fontenay aux Roses, Ayo et Féfé avec Je ne sais rien faire, La rouille avec La Fiancée, La Grande Sophie avec Comme un arbre, Sam avec Mourir pour une nuit, Daphné avec Marie, Pierre et Charlemagne, et enfin Daby Touré avec San Francisco complètent la liste.

La maison bleue reprise par tous ces artistes permet à tous ceux qui ne le connaissaient pas de découvrir un superbe album, aux mélodies indémodables et aux textes magnifiquement écrits par Maxime Le Forestier. De quoi donner envie de se replonger dans l’intégrale de sa discographie. (Source texte).

Mais pour finir, place à l’artiste :

Très belle journée à tous,

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2 Replies to “Ayo et Féfé revisitent Maxime Le Forestier”

  1. Anna Galore

    Trop, trop bien !

    Féfé et Ayo, géniale association de bienfaiteurs, vraies voix, vrais artistes, belles sensibilités sous la houlette bienveillante de leur manager et découvreur, dont on distingue le visage heureux pendant une demi-seconde à côté de Maxime Leforestier, tout aussi heureux.

    Et dans le genre vraie voix, vrai artiste et belle sensibilité, Maxime Leforestier est certainement l’un des très grands en France. Je me souviens d’un duo chanté avec Francis Cabrel (lui aussi, même catégorie, qu’est-ce que je me l’aime) qui était d’une beauté à faire hérisser tous les poils, même des plus imberbes.

    Que du bonheur…

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