Ce weekend prolongé se déroule de façon nonchalante, comme des vacances, exactement ce qu’il nous fallait. Seulement trois jours, mais tellement reposants qu’ils en valent bien plus.
Samedi, nous nous sommes tous réjouis du déluge tombé du ciel qui a annulé toutes les corridas prévues dans la journée à Nîmes. Faible répit, certes, d’autant que le lendemain, il a fait très beau et que le massacre a pu reprendre sous les vivats du public.
Hier, Enzo est allé à la mer avec son copain Léo. Ils ont joué à ramasser des coquillages et ont très vite été trempés de la tête aux pieds. Enzo a veillé attentivement à ne prendre aucun coquillage vivant, il n’a ramené que des coques vides.
Abigaëlle a découvert le goût du thon en boîte. Elle en raffole. Elle a très bien repéré où est la cuisine et où sont ses petits coins favoris pour faire la sieste (sous le lit d’Enzo) ou jouer (pas trop loin de nous, elle aime qu’on la regarde).
J’ai vu passer une grosse abeille charpentière pendant que je prenais le soleil. J’ai attrapé mon appareil resté sur mon bureau. Elle a eu la gentillesse de m’attendre et ne s’est envolée qu’une fois prise en photo.
J’ai repensé à ce héron perché sur une palissade devant un barrage en gravats qui traverse le Gardon à Alès. Je l’ai vu alors que l’une de nos manifestations passait sur un pont et j’ai pu lui aussi le photographier avant qu’il ne parte ailleurs. Moment de grâce et de sérénité…
Très belle journée à vous
Oui, voilà un long week-end qui fait du bien, surtout avec tous les jours fériés travaillés en salons du livre de ces dernières semaines, sans parler de la vie de bénévole aux chats libres qui ne connaît ni week-end, ni jours fériés.
Oui, nous nous sommes réjouies de voir la pluie tomber à grosses gouttes annulant quelques massacres. À propos de corrida, ce midi Jean-Pierre Garrigue a donné une brillante interview sur LCI : http://www.youtube.com/watch?v=lYBD0bxuK2Y
Oui, Abigaëlle est trop chou ! La nuit dernière, elle a dormi dans mes cheveux… Rhôôô ! Cet après-midi, j’ai cru lui faire plaisir en l’amenant dans notre jardin. En fait, elle a été littéralement terrorisée de se retrouver dehors ! Elle s’est blottie contre moi en miaulant de peur. Nous sommes donc rentrées nous réfugier à la maison. Là, elle a mangé tout plein et nous nous sommes allongées sur le lit pour qu’elle se remette de ses émotions. Elle est rentrée sous mon pull et s’est lovée tout contre ma peau, sous mon aisselle. Elle a ensuite repris une respiration lente et régulière et s’est mise à ronronner… Petite caille !
que de beauté dans vos écrits
tout à fait avec vous pour tout
Merci beaucoup, c’est vraiment très gentil à vous.