"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
Yeap ! Et je viens d’ajouter la photo reçue de la part de Kéké qui a signé lui aussi 😉 Bravo à tous ! On finira bien par obtenir le retrait de cet alinea car rien, absolument rien, tradition ou pas, ne peut justifier la torture sur un être vivant.
Bravo Kéké ! Solidarité ! Ouaf ! Ouaf !
La corrida : pour ou contre, passionnément France Culture :
Du sang, de la volupté et de la mort, le titre du livre célèbre de Maurice Barrès paru au tournant du XIXe et du XXe siècle, ouvrage d’un voyageur fasciné en particulier par les rudes paysages espagnols, ce titre pourrait servir d’intitulé pour notre émission de ce matin. Nous allons en effet y parler de la tauromachie et il n’est guère de spectacle qui mêle de si près ces trois composantes propres à susciter toutes les passions. Et Dieu sait que les passions se bousculent autour de la corrida qui voit s’affronter sans répit, de très longue date, les aficionados qui y célèbrent, dans la continuité d’une longue tradition méridionale, une certaine beauté de la violence maîtrisée par des rituels lumineux et d’autre part celle des défenseurs des animaux qu’indignent les souffrances infligées aux taureaux au service de plaisirs dénoncés comme cruels et en somme barbares. Il n’est guère de saison qui ne voit ressurgir ce face à face, et celle que nous traversons ne fait pas exception. L’opération lancée le 11 juin dernier l’a bien montré, une opération dénommée « enveloppes rouges et blanches à l’Elysée » et consistant à exiger du nouveau président de la République la suppression de l’alinéa 7 de l’article 521-1 du code pénal, article autorisant les corridas dans certaines régions de France lorsque peut-être invoquée, je cite, une « tradition locale ininterrompue ». L’Histoire au service d’une spécificité régionale de cette dimension dans notre République jacobine, voilà bien qui est fait pour stimuler notre curiosité. Et afin de la satisfaire, du côté du sang, de la volupté et de la mort, rien de mieux que de faire fond sur la science d’Eric Baratay, professeur à l’Université de Lyon, spécialiste de l’histoire des relations qu’ont entretenues au long des âges les hommes et les animaux. Jean-Noël Jeanneney.
http://www.franceculture.fr/emission-concordance-des-temps-la-corrida-pour-ou-contre-passionnement-2012-07-14