Jeune et jolie, mais pas que, Valérie Debieux est aussi écrivain, rédactrice et chargée de communication.
“La lecture fait partie de ma vie et ce, depuis mon enfance. Lire représente à mes yeux une source de richesses infinies, que ce soit sur le fond ou sur la forme. Entrer dans un livre, c’est ouvrir une porte sur une époque et des lieux que hantent des hommes et des femmes avec leurs sentiments et leur mode de pensée. S’adonner à la lecture, c’est également s’intéresser à l’autre, essayer de le comprendre et de percevoir le monde à travers son regard. Parcourir un ouvrage, c’est aussi partir à la découverte des idées d’autrui et s’interroger sur soi-même. S’immerger dans la lecture, c’est apprécier avec bonheur la beauté d’une langue, celle de la langue française avec la variété de ses mots, la finesse de son vocabulaire et la mélodie qui s’en dégage.
La lecture a sans doute généré mon passage à l’écriture, sans pour autant que je ne cesse de lire les autres. Bien au contraire. Ma vocation première, celle d’une papivore insatiable, est demeurée intacte.
Ainsi ai-je tout naturellement fréquenté la Faculté des Lettres de l’Université de Fribourg où j’ai eu la joie de me familiariser avec la linguistique, la philologie romane et les littératures classique et moderne de la langue française et anglaise. Puis, j’ai éprouvé le besoin de m’orienter vers la bibliothéconomie et, au terme d’une formation de trois ans, je suis devenue bibliothécaire. Un métier passionnant que j’ai exercé avec bonheur, près de dix années durant.
Un jour de printemps 2004, je me suis mise à écrire mon premier roman puis, j’ai enchaîné avec un deuxième et un troisième. À compter du commencement de cette « aventure », je n’ai eu de cesse d’écrire et, aujourd’hui, je travaille à mon quatrième roman. L’école du théâtre a également nourri mon imaginaire.”
Valérie Debieux est aussi membre de l’Association des Amis de Jean Giono et active rédactrice du magazine en ligne « La cause littéraire« dans lequel elle vient de publier un article intitulé La bibliothèque idéale de Valérie Debieux dans lequel on retrouve, bien placé entre Giono et Coelho, à la dixième place, notre ami Robert Notenboom :
10. À l’embaumée des Fleurs, Robert Notenboom
Parce qu’entre le jour et la nuit, le présent et le passé, des « eaux calmes », au milieu de la « prairie fleurie »…
anti
Source du texteLa cause littéraire.
Très sympa, tout ça ! Bravo à Robert pour ce classement bien mérité et à Valérie Debieux pour son parcours et son action au service de la littérature.
Amis de la poésie, je vous signale au passage cet article de Robert Notenboom dans le même magazine :
Une prose alexandrine
Écrit par Robert Notenboom. 01.03.12
http://www.lacauselitteraire.fr/une-prose-alexandrine.html
Merci beaucoup Anna ! Votre article me touche énormément ! Cela me fait très plaisir ! Et Robert est un grand poète ! Bien à vous. Amicalement. Valérie DEBIEUX
Vos remerciements sont transmis à Anti qui a rédigé cet article 😉
Et merci à vous pour votre passage ici, qui nous fait également très plaisir !
Bonjour Valérie ! Merci pour votre passage ici. Oui, Robert est un grand poète et je me réjouis de la sortie toute proche de « Langue Française et Poésie », son prochain livre, verbatim de la conférence donnée au SIEL en novembre dernier.
Au plaisir de vous lire,
A bientôt,
anti