– Tu sais comment s’appelle le chef des armées chez les Incas ? Inca de force majeure.
– Et celui qui se fait arrêter par les flics, c’est un Inca r’serré.

Ça, c’était un petit échange entre Jean-Gabriel et Anti il y a quelques jours. Enfin, pas au mot près, mais les calembours ont été respectés, ce qui est l’essentiel.

Hier soir, la venue de Jean-Gabriel à la maison a été l’occasion d’un grand festival de jeux de mots plus ou moins approximatifs à tout va. Il s’agit, en effet, de l’un des multiples talents de notre cher JG, par ailleurs chamane et auteur des courriers Présence du chamanisme qu’Anti relaie sur le blog régulièrement.

Nous avions également invité pour l’occasion notre autre grand gourou libre de cette discipline, j’ai nommé José, le double de Sylvia puisqu’elle est sa moitié. Et cela ne pouvait pas tomber mieux puisque justement, c’était l’anniv de Sylvia. Du coup, ils ont apporté du vin, du champagne et bien sûr Kéké, le toutou à sa maman.

Nous étions huit autour de la table avec, au menu,des pizzas de la casa et des gâteaux à profusion : un poire-frangipane et une Tatin faits par Anti auxquels s’ajoutait une tuerie au chocolat faite par Gwlad en l’honneur de notre chamane favori.

Sylvia et José ayant la ferme intention d’arroser l’évènement en mode no limit, ils ont dormi à la maison afin de pouvoir se pochetronner jusqu’à pas d’heure. A ce sujet-là, Jean-Gabriel a fait remarquer que les états altérés de conscience deviennent, après avoir bien bu, des états désaltérés de conscience. Comme quoi, la quête de vision, c’est vraiment à la portée de tous, n’importe quel ivrogne bon vivant vous le confirmera.

Pour les cadeaux offerts à Sylvia, Anti et Gwlad se sont dépassées. Il y en avait un très chic (un nécessaire à verrines pour les apéros, avec des recettes et tout) et un franchement hilarant (un quasi-portrait de Kéké dont nous vérifierons qu’il est accroché en bonne place – le portrait, pas Kéké – à chaque fois que nous irons voir Sylvia et José chez eux).

Bien d’autres calembours ont traversé la soirée, même si nous avons également abordé des sujets on ne peut plus sérieux. Un autre vite fait ? « Pourquoi le chien aboie ? Parce qu’il a soif ». Et un petit dernier pour la route : comment appelle-t-on un Inca qui aime plaisanter ? Incalembour.

Ce matin, un gros petit-dèj est prévu en after. Sans alcool mais toujours avec calembours (moi l’noeud).

Très belle journée à vous