Dimanche après-midi, le nombre de mes lecteurs dépassait légèrement 1 691 000. La moyenne quotidienne en temps normal depuis le début de l’été étant autour de 3000 nouveaux lecteurs par jour, je m’attendais à passer le cap des 1 700 000 d’ici la fin de la semaine. Les stats d’hier ont pulvérisé cette extrapolation, avec un peu plus de 10 000 lecteurs additionnels cumulés en 24 heures, dont 6 400 rien que sur les deux recueils de nouvelles érotiques.
Serait-ce un signe annonciateur d’une forte remontée de la libido de nos concitoyens à l’orée de l’automne qui voit ressortir les couettes de leur placard ? Ou une furieuse envie de s’envoyer en l’air après la pâtée que vient de se manger la droite aux élections sénatoriales ? Ou l’espoir de révélations croustillantes dans les tentatives désespérées de Tristane Banon de relancer une énième affaire DSK ? Allez savoir… En tout cas, cela confirme s’il en était besoin à quel point l’érotisme génère de l’excitation (et vice-renversa).
Fort heureusement, ce n’est pas le tirage qui me motive (je ne parle plus de sexe, là, mais de nombre d’exemplaires diffusés) mais le plaisir d’écrire et celui d’être lue, quel que soit le nombre petit ou grand de personnes que mes livres attirent. Les plus de 700 000 lecteurs que cumulent à eux seuls mes trois livres érotiques (J’ai treize envies, J’ai encore treize envies et Les neuf sœurs) depuis leurs sorties respectives pèsent autant à mes yeux que ceux, 130 fois moins nombreux, venus télécharger mes histoires loufoques de chats (Les minous d’Anna et Les contes des chats qui dorment).
Alangui sur un manuscrit, mon minou prend son pied avec une innocence confondante
Chacun des ouvrages que j’ai mis en ligne m’a apporté autant de satisfaction, indépendamment du temps que cela a pris de les créer ou du score qu’ils ont obtenu depuis. Ce qui compte, c’est qu’ils soient là, accessibles gratuitement à tous et qu’ils continuent à tracer leur route comme elle vient.
Très belle journée à vous
Toutes mes stats depuis février 2008 : stats anna galore
L’inventaire complet de ce que vous pouvez trouver sur mon site : L’inventaire
Après plusieurs années d’études sur le terrain, j’en suis arrivé à la conclusion que les chats aimaient s’allonger sur les objets qu’on venait de toucher car ils gardaient l’odeur de nos doigts, les mêmes doigts qui les caressent.. Ainsi mes chats aiment s’allonger sur mon clavier d’ordi, sur les livres que je lis, sur mes oreillers où je pose mes mains quand je dors, sur la table où je mange et en hiver sur mes gants et les manches du manteau o.O J’ai aussi remarqué, ce qui souligne ma thèse, que pour les gens qu’ils n’aiment pas ou craignent, ils n’approchent jamais des endroits qu’ils ont touchés.. il me semble que ma théorie se tiens non ?
Mdrrr Netsah en te lisant, car GusGus (sur la photo) lui, il va directement dans ta main. Si elle est posée, il se débrouille pour la soulever et se glisser dessous 😉
Ah oui : Bravo ma caille Anna 😉
anti, la tête dedans.
Ça c’est vrai : Gus est le premier chat que je côtoie qui se débrouille tout seul en se glissant sous une main quand il veut des caresses. Quant à ses deux frères, ils ronronnent en vous regardant pleins d’espoir dès qu’on approche d’eux à moins d’un mètre, alors forcément ensuite on est obligé de les caresser !
BRAVISSIMO :-))) en route pour le 2 000 000 ème lecteur (trice) de quoi faire ses emplettes lorsque le froid de l’hiver s’installera.
Bravo, les livres érotiques marchent à donf, chaud, chaud !
Anna, 2 000 000 ça se fête non ?
Farpaitement ! Hips !
Ca fait du monde… félicitations!