Il y a près d’un mois, la chaîne M6 diffusait une émission intitulée Chamans, gourous : nouveaux sorciers nouveaux dangers dans son magazine « Enquête Exclusive« . Cette émission qui mêlait des séquences de reportage sur le reiki, le chamanisme et le satanisme a suscité de nombreuses réactions quant à la déontologie de la journaliste/réalisatrice de ce reportage.
Ainsi, le 27 mai dernier nous publiions une Lettre ouverte à Caroline Benarrosh.
Voici sa réponse :
Atawallpa,
Je viens de lire les mails que tu m’as envoyé …
Je suis désolée d’avoir mis du temps mais j’etais à l’étranger.
Je ne sais trop que dire…
Je n’ai pas l’impression d’avoir dévoyé tant que ça le séjour auquel j’ai pu assister.
L’information sur ta condamnation, je me devais de la donner. C’est une association qui m’en a fait part. C’est une information que l’on m’a donné pendant le montage, je ne le savais pas avant. Et cette information concernait une mineure, une petite fille de 12 ans.
Je comprends tout à fait que le reportage ait pu déplaire à ton entourage. J’ai porté un regard distancié sur le chamanisme. Je ne suis pas là pour faire de la publicité ou un film anthropologique mais pour faire un documentaire, destiné à la chaine M6. C’est souvent simplifié, je le reconnais car cela doit parler à tous.
Il est vrai que j’ai été plus sévère avec le reiki. je n’étais pas partie avec un regard critique mais ce que j’ai pu voir m’a mis sur ce chemin.
Je pense avoir rendu ce qui s’est passé en Equateur. Rien n’a été déformé. Tu vois bien que ce que tu dis ou ce que les filles disent n’est pas « saucissonné » par le montage.
J’ai dit que tu dormais quand Dominique est sortie du temple car c’etait vrai. Rapelle toi que c’est moi qui suis venue te reveiller.
J’ai dit que tu ne les avais pas alerter sur les dangers d’un mélange de la plante avec d’autres médicaments et c’est vrai. Ce sont d’autres chamans qui m’ont dit que ces mélanges pouvaient etre dangereux…
En ce qui concerne le satanisme … Je te l’accorde, le mélange est loin d’être idéal !
Enfin, saches que la déontolgie demande que je donne la parole à tout le monde, d’un côté comme de l’autre, les pour, les contre, confronter les avis divergents et garder toujours une distance.
Caroline
Réponse de Atawallpa :
Les maîtres disent : celui qui est beau regarde tout avec de la beauté, celui qui est sage avec de la sagesse, celui qui est pervers regarde tout avec perversité. Quel est votre regard, madame Caroline Benarrosh ? Je ne vais pas vous dire ce qu’il est, mais vous faire prendre conscience plutôt de vos actes et de vos paroles.
Vous dites : « Je pense avoir rendu ce qui s’est passé en Équateur. Rien n’a été déformé. Voyons s’il est vrai que rien « n’a été saucissonné par le montage ».
Commençons par la fin de votre mail si vous voulez bien : »J’ai porté un regard distancié sur le chamanisme. »
Je vous rappelle un de vos premiers mails que vous m’ avez envoyé : « Le film sera de 52 minutes sur la recherche du mieux être. Le documentaire s’ attachera à raconter le parcours d’un français qui part à la rencontre du chamanisme. Il ne racontera qu’une seule histoire, d’ avant le départ jusqu’au retour d’une personne. Pas de petits bouts de ci de là… le film passera en début d’ été à la télévision française. Je ne veux surtout pas bâcler ce sujet qui est pour moi très important. C’est une tradition ancestrale que je respecte. »
Vous dites dans le reportage et dans votre mail : « L’ information sur ta condamnation, je me devais de la donner. C’est une association qui m’ en fit part. C’est une information que l’on m’a donnée pendant le montage, je ne le savais pas avant. Et cette information concernait une mineure, une petite fille de 12 ans. »
La vérité est la suivante : Je n’ai pas été condamné à donner de l ‘argent. J’ai été en garde à vue pour l’acte d’organiser chez moi la cérémonie. Il y a une grande différence entre donner et organiser (celui qui a donné le médicament est un chaman de l’ Équateur, car je ne pratique pas ce genre de cérémonies) ; il en est de même dans le fait qu’il y a une très grande différence entre une condamnation et une garde à vue. J’ai le droit de me défendre, dans le cas où l’on me poursuivrait en justice, mais vous m’ avez déjà condamné, tout au moins devant l’opinion publique, et quelques uns malheureusement le croiront ! Ce que vous avez dit est totalement faux ! Savez-vous que je pourrais vous poursuivre en justice pour calomnie, madame Benarrosh !
Au sujet de l’enfant mineure, c’est le père de la fillette qui l’a amenée. Il a demandé si elle pouvait prendre la plante et je lui ai dit que dans notre tradition les enfants en prennent depuis l’âge de 4 ans, et que même des femmes enceintes la prennent. Cela est si vrai que dans votre reportage, on voit le petit garçon, fils du chaman qui lui en boit… car nous savons tous dans notre pays que c’est un médicament et non pas une drogue ! Et on voit comment l’ enfant vomit, ce qui est la façon pour lui de se purifier, ce n’est pas qu’il est malade ! Votre regard se trompe mais vous direz certainement que vous en savez plus que nous, car pour vous, nous sommes seulement des ‘chamanes fous’, comme vous dites dans votre reportage. Il serait intéressant de savoir quelle est cette association qui vous a menti et que vous avez crue, sans vérifier comme l’aurait fait un vrai professionnel, madame la journaliste. C’est sûrement une de ces associations qui disent qu’elles luttent contre les sectes et qui sont à l ‘intérieur de ce même petit esprit, car elles vous ont menti en déformant l’ honneur d’ une personne. Qu’allez-vous faire pour rectifier cette calomnie ?
Il en est de même concernant votre professionnalisme ; vous lancez en l’ air un cas supposé d’ assassinat de deux italiens, ce qui n’est pas confirmé ni jugé, ce sont seulement de pures suppositions. Madame Benarrosh, est-ce là la déontologie dont vous me parlez ? C’est alarmer les personnes avec des cas qui ne sont pas vérifiés ? Et quel est votre intérêt dans votre reportage de mélanger le satanisme avec le chamanisme ainsi que le reiki ? Que voulez-vous faire comprendre aux spectateurs ? Quel est le langage subliminal que vous pensez y insufflez ? Ou comme vous le dites-vous-même dans votre mail : » ces mélanges pouvaient être dangereux…« . Comment allez-vous corriger aussi cette faute grave ? Même si dans votre mail vous semblez reconnaitre déjà certaines choses cela n’est pas suffisant : « En ce qui concerne le satanisme… Je vous l’accorde, le mélange est loin d’ être idéal ! »
Vous dites dans votre reportage que je demande 2000 euros pour le voyage pour réaliser 2 cérémonies. Mais vous savez bien, et vous vous ne le dites pas intentionnellement, que c’est pour réaliser un voyage dans 3 pays : Equateur, Perou et Bolivie ; et pour y réaliser 7 cérémonies de différents types, en incluant les autres frais d’ hébergement, d’ alimentation, de transport (avion depuis Quito à Cusco). Mais vicieusement vous dites seulement ce qui vous intéresse. Et ceci est vrai quand vous dites : « Je n’ai pas l’ impression d’avoir dévoyé tant que ça le séjour auquel j’ai pu assister. »
Vous dites dans votre mail : « J’ai dit que tu dormais quand Dominique est sortie du temple car c’était vrai. Rappelle-toi que c’est moi qui suis venue te réveiller. »
Quelqu’un d’autre avec un regard juste et sans jugement, aurait pu dire : « fatigué d’ accompagner toute la nuit, il s’est endormi un petit moment au lever du jour, (comme cela fut), pour récupérer et continuer son travail. » Mais comme nous l’ avons déjà dit, chacun juge selon sa condition.
Vous dites : « Il est vrai que j’ai été plus sévère avec le reiki. »
Qui vous a donné le pouvoir pour être sévère, comme vous le reconnaissez-vous-même. Est-ce que c’est votre travail d’ être sévère, en plus d’ autres choses ?
Vous dites : « J’ai dit que ne les avais pas alertés sur les dangers d’ un mélange de la plante avec d’autres médicaments et c’est vrai. Ce sont d’ autres chamans qui m’ ont dit que ces mélanges pouvaient être dangereux… »
Madame Caroline Benarrosh, seuls les produits chimiques ont des effets secondaires, les plantes naturelles n’ ont aucun effet de ce type. L’ ayahuasca est une plante qui a été utilisée durant des milliers d’années et elle a d’ excellents résultats avec les toxicomanes et d’autres maladies.
Au contraire les composants chimiques génèrent de la dépendance et une mort lente. On appelle les drogues légales : médicaments, et on appelle drogues : les médicaments naturels ; ce qui est contraire et paradoxal. Seulement 15% de la médecine allopathique est considérée comme pleinement scientifique, et comme je vous l’ai déjà dit dans un autre communiqué, la seconde cause de mort est la mauvaise pratique médicamenteuse. C’est pour cela que les médecines naturelles ont commencé à être réutilisées, avec une grande participation. Alors, quelle est la plus violente ? Les drogues légales ou les drogues naturelles, madame Benarrosh ? Est-ce que dans votre reportage, il y un seul acte violent dû à l’ayahuasca, ou est-ce seulement votre qualificatif ? Dans tout votre reportage, on ne voit en aucun moment une violence quelconque, c’est plutôt le contraire, les participantes disent que ce fut une belle expérience et qu’elles sont très contentes, l’une autant que l’autre!
Vous dites dans votre reportage, que je veux libérer les vagins. Où dis-je cela ? C’est vous qui dites cela ! Je dis et on l’entend clairement : le vagin n’est pas seulement un organe de reproduction mais aussi un organe de perception. D’où sortez-vous l’idée que cela signifie libérer les vagins ?! Seulement votre mauvaise foi peut l’interpréter ainsi. Et ensuite vous dites : ‘Quelques femmes furent séduites’. Souvenez-vous que vous nous avez fait répéter ce passage, pour que je dise comment se fait le processus d’inscription. La dame qui apparaît en train de nous écouter peut le certifier.
Vous dites, qu’ après le festival à Trimurti vous êtes partis en Équateur. C’est un autre gros mensonge, le reportage en Équateur fut fait plus d’un mois avant ce festival, et vous le présentez comme une continuation.
Vous dites que j’ai vu les 2 femmes (qui apparaissent dans votre reportage), une fois seulement à Paris, et qu’elles me firent confiance. En vérité, je ne les ai jamais vues avant qu’elles arrivent en Équateur. C’est un autre mensonge de plus! Elles peuvent le confirmer, et d’autres choses encore, s’il y avait la liberté d’expression pour dire notre vérité. Des mensonges et toujours plus de mensonges.
Alors madame Caroline Benarrosh : Qui a donné aux journalistes (peu arrivent à s’en échapper) le pouvoir de juger et de dire tous les qualificatifs que vous avez nommés: chamanes fous, drogue violente, rares cérémonies, nouveaux dangers, sacrifices. Qui êtes-vous pour dire ce qui est bon ou mauvais ? Est-ce cela le journalisme ?! Une autre chose aurait été que quelqu’un le dise, comme dans le cas du policier, qui donne des opinions que je ne partage pas mais qui ne juge pas ni ne valorise comme vous le faites durant tout le reportage. Alors il est clair que votre intention était de tout déformer.
Avez-vous seulement vu quelque chose de bien ? Avez-vous la capacité de valoriser quelque chose ? Ou votre intention était-elle simplement de se moquer de moi et de mon peuple, en cherchant des choses ridicules pour essayer de nous présenter de façon négative. Où est la supposée liberté d’ expression et votre respect des cultures ? Mais vous essayez de vous corrigez , quand vous dites dans votre mail : « Je comprends tout à fait que le reportage ait pu déplaire à ton entourage. »
Est-ce qu’il peut y avoir une reportage sérieux et sincère, madame la journaliste ?
Souvenez-vous que 3 personnes du groupe (5 au total), m’ont dit que les journalistes sont perverses; que l’on ne peut pas avoir confiance en eux et qu’ils vous ont fait signer un document spécifiant qu’ils n’apparaîtraient pas dans le reportage. Souvenez-vous qu’à un moment ils s’ énervèrent contre vous, et je suis intervenu pour calmer les esprits exacerbés, et j’ai dit pour clore la discussion : « J’ai confiance en toi Caroline, je sens que tu es une bonne personne ».
Comme je me suis trompé complètement, comme vous as profité naïvement de moi ! Dommage que je ne vous ai pas fait signer un papier qui dise que le reportage ne paraîtrait pas sans mon approbation, comme vous me l’aviez promis.
Je peux seulement espérer que vous fassiez quelque chose pour remédier à ce que vous avez fait, sinon la vie se chargera de le faire, et de cette façon vous aller pouvoir prendre conscience de ce que vous avez fait. Vous n’ avez sûrement pas une réelle et profonde conscience de ce que vous avez fait. Je veux croire qu’il en est seulement ainsi et non pas que vous êtes une personne de mauvaise foi avec le cœur déformé ! Nous allons voir.
Atawallpa Oviedo
Con el permiso y la guia de las 7 direcciones
anti
La mauvaise foi, voire l’hypocrisie de cette « journaliste » est clairement mise en lumière. Ses arguments approximatifs pour se justifier sont totalement démontés par Atawallpa, qui les met en regard de ses propres déclarations antérieures afin de rendre évidentes les contradictions et le manque patent d’honnêteté de C. Benarrosh.
Détestable et minable.
Comme votre réponse, Attawalpa, est tellement claire et se suffit à elle même, mais que j’éprouve un intense désir de vous manifester mon respect et soutien, je copie ici, en guise d’offrande, des citations glanées sur le net, à propos de la calomnie, cet acte par lequel tous les grands humanistes ont été attaqués dès lors qu’il croisent les routes de personnes n’exprimant que l’ombre d’elles mêmes… (enfin, à mon sens ;-))
d’abord, celle-ci en forme de MERCI:
« Je connais une arme plus terrible et plus meurtrière que la calomnie, c’est la vérité. »
[J. Crétineau-Joly]
Et puis, bien sûr:
Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose.
[Francis Bacon]
Extrait de l’ Essai, sur l’athéisme
La calomnie est comme la fausse monnaie : bien des gens qui ne voudraient pas l’avoir émise la font circuler sans scrupule.
[Diane de Beausacq]
Serais-tu aussi chaste que la glace et aussi pure que la neige, tu n’échapperais pas à la calomnie.
[William Shakespeare]
Extrait de Hamlet
Mentir est le talent de ceux qui n’en ont pas.
[Marie-Joseph Chénier]
Extrait de Discours sur la calomnie
La calomnie a deux sources courantes : les grands intérêts et les petites vanités.
[Pierre Dehaye]
Cette puissance magique du langage, qui consiste à se substituer à la réalité en faisant exister ce qu’elle nomme, est également le fondement de toute calomnie comme de toute flatterie.
[Nicolas Grimaldi]
Extrait d’ Un même mystère
c’est un détail, mais les fautes d’orthographe de la réponse de la journaliste sont d’origine ?
Oui, copie conforme des deux mails, sans édition, ni dans un sens ni dans l’autre.
Kleman tu es d’un tatillon ! 🙂
Je ne suis pas étonnée. Comme je l’avais écrit dans la précédente note à ce sujet, je doutais de l’impact sur la mauvaise foi affirmée… Et confirmée.
Beurk !
D’un côté, je voudrais encore croire que la majorité des gens ne fonde pas leur opinion sur la seule vision d’un reportage à la télé… Je suis naïf c’est ça ?
On pourrait créer un groupe sur Facebook : « Pour le boycott de Caroline Benarrosh » ! MDR !
« c’est un détail, mais les fautes d’orthographe de la réponse de la journaliste sont d’origine ? »
Malheureusement oui mon brave Kleman. Et là, pour une fois, elle n’en n’a pas trop fait. Il faut lire les échanges sur la note « Chamans, Gourous… », brrrr, mes enfants savent mieux écrire. Ils ont aussi une meilleure éducation notamment concernant le respect d’autrui et des différences.
Sapotille : magnifique ! Ces citations sont magnifiques ! Belles offrandes !
Merci à tous pour votre soutien.
anti
Quand la journaliste dit : « Je ne sais trop que dire… » Je crois qu’elle est au pied du mur et qu’elle ne sait pas argumenter. De toute façon ! est-ce que l’on peut argumenter une manipulation ?
Sa façon de rédiger n’est pas du tout celle que l’on attend d’une professionnelle du milieu journalistique (aucune rigueur).
La question se pose : les personnes qui nous informent, ont-elles les formations nécessaires ? sont-elles vraiment compétentes ?
Pourtant elles ont une grande responsabilité envers le téléspectateur mais en ont-elles vraiment conscience ?
Cette réponse de Caroline Benarrosh est conforme à ce que j’attendais… C’est à dire un tissu de mauvaise foi, si on la compare avec la contre-réponse d’Antawalpa. Bien que ne partageant pas les convictions de ce dernier, je le considère instinctivement comme un honnête homme. La journaliste, par contre, m’apparaît comme une dangereuse manipulatrice.
Personnellement, il y a longtemps que je ne regarde plus ce genre de « reportage » biaisé. C’est monnaie courante sur M6. La seule protection serait d’établir un contrat très précis avec la Production, avant diffusion. Mais dans ces conditions, le « reportage » serait sûrement ajourné… Ces « journalistes » ne traitent pas l’information, ils font des « scoops ». Un autre cas révoltant est le traitement de l’affaire de nos soldats tués par les Talibans en Afghanistan…
Ayez bien à l’esprit que le « moteur » de toutes ces vilenies est l’ARGENT, celui de la pub en prime-time, qui permettra d’étouffer les restes de principes que pourraient avoir les journalistes à biaiser les sujets. Tout le reste est littérature.
Madame Benarrosh, vous ne m’inspirez que du mépris. Méditez, si vous le pouvez, les sages paroles de Sapotille.
Caroline Bennarosh est un escroc notoire tout à faite consciente de ses méfaits et des mensonges qu’elle diffuse au grand public.
Ce ne sont pas des paroles en l’air, mais fondées par ce que vous pourrez trouver ici :
http://apreslatele.blogspot.com/2008/12/les-petits-arrangements-avec-la-vrit.html
Elle est connue dans le milieu depuis plus de 10 ans (si je ne m’abuse) pour ses pratiques honteuses et déshonorant le monde du journalisme.
La faire connaître en tant que tel est un devoir, afin d’éviter le plus possible qu’elle fasse d’autres victimes et plus de mal encore.
Bonsoir Jérôme,
Le lien que vous indiquez est fort intéressant, je l’ai mis dans la note « Chamans, gourous,nouveaux sorciers, nouveaux dangers » ( http://www.annagaloreleblog.com/archive/2009/05/14/chamans-gourous-nouveaux-sorciers-nouveaux-dangers.html )
»A lire aussi, les réactions des téléspecateurs choqués par ces mises à l’index sur le site de la chaîne ainsi * qu’un billet écrit sur les méthodes de travail de cette « journaliste » : Les petits arrangements avec la « vérité » des Infiltrés. »
Merci de votre passage ici 😉
anti