En Afghanistan, les limites de l’horreur que subissent les femmes sont toujours poussées plus loin par les Talibans, comme le montre à nouveau cette dépêche de l’agence Reuters.
Une école pour filles a été la cible d’une attaque présumée au gaz au nord de Kaboul, la troisième de ce genre en un mois, rapportent les autorités et la police afghanes.
Quelque 94 personnes, des écolières pour la plupart, ont été hospitalisées après avoir été victimes d’une intoxication au gaz mardi matin dans l’école primaire de Qazzaq, dans la province de Kapisa, a déclaré le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Zemaray Bashary.
Trois professeurs et deux gardiens comptent parmi les personnes hospitalisées, qui sont toutes hors de danger.
Selon le porte-parole du gouverneur de la province, les victimes ont été prises de vomissements et de vertiges, présentant les mêmes symptômes que les jeunes filles hospitalisées après des attaques au gaz survenues lundi et le 26 avril dans des écoles pour filles de Charikar.
Le ministère de l’Intérieur a ouvert une enquête sur cette série d’intoxications dans une partie du pays où les écoles pour filles sont restées ouvertes lorsque les Talibans étaient au pouvoir à Kaboul.
La nature du gaz utilisée n’est pas connue mais des échantillons sont en cours d’analyse sur la base militaire américaine de Bagram.
Les attaques visant des écoles pour filles se sont multipliées depuis l’année dernière, particulièrement dans le sud et l’est du pays, une zone où l’influence talibane est grandissante.
L’an dernier à Kandahar, des hommes ont aspergé d’acide le visage de jeunes filles en déclarant qu’elles n’avaient pas à fréquenter l’école.
Source : Sayed Salahuddin et Hamid Shalizi, version française Mathilde Gardin, Reuters
Photo : http://www.afghanistan.gc.ca/
Quand des terroristes s’en prennent à de jeunes enfants pour aller au bout de leur folie, leur fin est proche…
Une cause juste, qui devrait vaincre les réticences à aider Barack Obama dans la lutte de la coallition contre les talibans.
Rien à dire. J’peux pas.
anti, tristesse.
« qui n’ont pas notre chance de vivre dans une démocratie où les droits de l’humain signifient véritablement quelque chose, où le droit à l’éducation figure parmi les fondamentaux. »
Restons vigilantes.
Eh ! Coucou toi ! justement, je pensais à toi en cherchant le fil sur la pacification de l’esprit et pfiout ! tu apparaîs délicieuse enfant ! Contente (le mot est faible) de te lire ici !
Bonne nuit,
anti
en fait, çà tombe bien.. nous allons faire une belle journée de méditation (Milarépa, chiné, lakdong … même pas besoin d’être vraiment bouddhiste, juste sympathisants et envie de éditer avec Rimpotché) à la maison. pour ceux qui passeraient dans le coin, ils sont les bienvenus évidemment.