Devinez quoi ? Aujourd’hui, je prends le train, un aller-retour à Paris. Six heures de tranquillité confortable. Oui, bien sûr, j’y vais pour une réunion de travail. Une réunion qui peut peser lourd pour ma boîte. Mais cette réunion, elle a été préparée, il n’y a rien de plus à faire maintenant qu’à la tenir et à en obtenir ce que nous espérons. Reste le trajet, donc.
J’aurai avec moi Le don de Qâ pour les moments où j’aurai envie de lire… et mon PC pour les moments où j’aurai envie d’écrire. Et j’ai bien l’intention de me lancer dans la troisième nouvelle de J’ai treize envies. J’ai une idée assez précise du thème général et de quelques scènes. Je pense à plusieurs chutes possibles, l’une s’imposera d’elle-même.
J’ai même trouvé hier soir la citation idéale pour ouvrir le récit. Quelques vers très connus de Sting, écrits dans un tout autre contexte que celui de mon intrigue mais qui collent parfaitement avec elle.
Every move you make
Every bond you break
Every step you take
I’ll be watching you
Every single day
Every word you say
Every game you play
Every night you stay
I’ll be watching you
Voilà, comme ça vous aussi vous aurez dans la tête la chanson qui va m’accompagner toute la journée. Sauf pendant la réunion, bien sûr.
Très belle journée à vous
Ma seule et unique envie est sur la voie et je l’attends ! Tu vas te régaler avec Qâ et tu vas te régaler avec tes propres histoires et… tu vas déchirer ta race encore une fois !!! May the force be with you 😉
Une chanson dans la tête ce matin à te lire, une chanson de Alain Barrière, très belle. Juste vraie.
Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
Plus je t’entends, plus j’aime entendre ta voix
Tu dis des mots, encore des mots, toujours les mêmes
Tu dis parfois, tu dis souvent n’importe quoi
Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
Plus je t’entends, plus j’aime entendre ta voix
Tu dis des mots, encore des mots, toujours les mêmes
Tu dis parfois, tu dis souvent n’importe quoi
Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
Tu vois ma vie, ma pauvre vie s’arrête là
Ton souvenir bien gravé, toujours le même
La vie ça tue, ça tue parfois, pourquoi ?
Et je t’entends, et je te vois, toujours la même
Et je t’entends, et je te vois comme autrefois
Tu dis des mots, encore ces mots, toujours les mêmes
Tu dis ces mots, mais ce n’est pas n’importe quoi
Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
Tu vois ma vie, ma pauvre vie s’arrête là
Parce que ma vie n’est que ma vie et que je t’aime
Parce que mon cœur n’est que mon cœur il est à toi
Et puis ces mots, jamais ces mots ne sont les mêmes
Car c’est ta voix qui les redit, ta voix
Et puis ces mots, jamais ces mots ne sont les mêmes
Car c’est ta voix qui les redit, ta voix.
Mmmmmmmmmmmmm
anti, tout bonheur !
http://video.google.fr/videosearch?q=plus%20je%20t%27entends%20barri%C3%A8re&oe=utf-8&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a&um=1&ie=UTF-8&sa=N&hl=fr&tab=wv#
Mmmmmmm bis pour les deux chansons 🙂
ça tombe bien, aujourd’hui ça fait huit ans que j’ai prit le toboggan, et c’est toujours la longue et belle glissade !
Bloo, « mets de l’huileuuuh »
Waouh ! Tous mes vœux de glissades encore et encore 😉
anti
Mon anglais lacunaire ne me permet pas de comprendre bond
Sinon good luck siempre !
Anti ? Tu es ma voie et ma vie.
Bloo ? Plus ça glisse et meilleur c’est.
Moni ? Ton « good luck siempre » m’a fait vraiment rire !!!
Et tous : ma réunion s’est bien passée (oui, je sais, c’est secondaire) et, comme prévu, l’écriture de ma nouvelle a occupé le plus clair des 6 heures de trajet, ce qui fait qu’elle est vraiment bien avancée ce soir. Comme une nouvelle c’est quand même plus long (en nombre de pages) et plus dense (tout ce qui apparait en cours de récit doit se conclure avant la fin) qu’un chapitre de roman (un des miens, s’entend), il me reste encore quelques heures, voire jours, avant de pouvoir dire qu’elle est terminée. Ca tombe bien, le weekend commence.
Ah oui et « Le don de Qâ », je n’en ai lu que quelques pages alors que le TGV était arrêté à 10 minutes (en théorie) de Nîmes au retour, parce qu’un feu important avait bloqué toute circulation dans l’après-midi entre Agde et Sète pendant quatre heures. J’en suis à peine à la page 99 (symbole de l’infini chez les musulmans, il me semble).
« J’en suis à peine à la page 99 (symbole de l’infini chez les musulmans) »
Ben forcément ,si tu en es à la page 99 c’est pas fini 😉
anti
Les vers de Sting pourraient aussi s’appliquer à une réunion… On s’y observe pas mal, en général !
La page 99 le 11/09/09, c’est un signe !