Le manuscrit de « La femme primordiale » sera mis en ligne ce soir sur mon site anna-galore.com, en téléchargement gratuit, aux côtés de mes cinq précédents romans.
Il s’agit du dernier volet de ma deuxième trilogie « Reflets inachevés ». Ce roman s’appuie sur plusieurs des mythes fondateurs les plus ancestraux, tels que celui d’Isis, de la Genèse et de Lilith, ainsi que certains symboles communs à toutes les cultures: l’arbre, le serpent, l’oiseau et la bête à cornes. Il tisse des liens entre eux et les découvertes les plus récentes de l’archéologie, qui montrent l’existence d’une peuplade ayant vécu pendant plus d’un million d’années en Syrie, probablement le mystérieux peuple de Nod mentionné dans un verset de la Genèse. Il parcourt également divers aspects fondamentaux du chamanisme, du bouddhisme et du Temps des Rêves aborigène.
Le livre raconte avant tout une histoire d’amour hors du temps et rend hommage au seul sommet de la création à qui nous devons tout: la Femme.
Voici la couverture:
Et voici la 4ème de couverture:
« Au moment de l’orgasme, ses traits ont été traversés d’expressions fugitives que je ne lui connaissais pas jusqu’alors. Sur son visage ont défilé ceux de milliers de femmes inconnues, partageant le même déferlement, le même instant.
Dans la pénombre de la chambre, elle a semblé devenir une divinité infernale, aux traits déformés par une douleur insoutenable. Sa bouche s’est retroussée, en une grimace de fauve. Elle paraissait à la fois toute-puissante et désemparée, dépassée par la décharge de plaisir qui la secouait. Sa beauté était surhumaine, habitée par une énergie déchaînée qui la transcendait.
Elle était toutes les femmes. Elle était la femme.
La Femme Primordiale. »Un voyage initiatique à l’origine des mythes fondateurs de l’humanité.
J’ai confié l’écriture de la préface de « La femme primordiale » à Anti. Cette préface sera utilisée dans l’édition en livre du roman, sans doute vers la fin de l’année 2008.
Alors à ce soir ^^
C’est génial ! du bonheur.
Encore merci à mes chères relectrices:
– Miss You et Anti, chapitre après chapitre pendant toute l’écriture puis relecture générale une fois le manuscrit terminé pour traquer les dernières inconsistances ou fautes d’orthographe
– Slayeras, Sylphide et Réginelle pour leur relecture finale.
Ré? J’attends toujours tes dernières corrections… viiiiiite!
ENFIN !!! J’en connais qui vont être aux anges !!! J’suis fière de toi ma poulette ! Depuis le début certes, mais quand même, ça me remue à chaque fois !!!
6e livre ! Déjà ! Pour la p’tite annacdote, en numérologie le 6 symbolise l’harmonie, la perfection et aussi l’humilité.
« C’est la somme des trois premiers chiffres, mais aussi l’addition du nombre 3. Ainsi en superposant un triangle parfait « matériel » et un triangle parfait « spirituel » on obtient un hexagone représentant le nombre 6. »
Anti, tout est en ordre.
L’harmonie, c’est Anti-sismique ! Ou Anna-logique ?
Encore bravooo !
Bien, je vais d’abord commencer par le premier livre dès que mes corrections de « l’opération » et la promo de « Coeur de l’Etre » me le permettrons. C’est dur la retraite….
Merci infiniment Anna…je n’ai jamais dans ma vie vu une romancière aussi gentille comme toi partageant les paroles du coeur gratuitement…Tu es géniale…je suis fière de toi…J’ai téléchargé ce roman…il a l’air très très bon…merci encore pour ce beau et bon partage…je dirai un vrai partage de literature…
Merci pour ta douceur et ta sensibilité, Jayshree. C’est un doux bonheur de te connaître.
Je viens de parcourir le dernier « Science et Avenir » sur Angkor. Il y a un encart qui va te plaire !!! intitulé « Dans le secret du Temple Montagne »
On peut feuilleter le magazine en ligne et voir les photos ici :
http://www.lekiosque.fr/Sciences-et-Avenir-numero-733-ANGKOR-La-renaissance-z428.aspx
Anti, encore…
Je l’achète!
Anna, toujours plus
Ben je l’ai déjà !
Anti, copie double.
Anna ? Ma chérie d’amour , Tu vas adorer :
Numéro de ce mois-ci du monde des religions :
LA NAISSANCE DES DIEUX. AUX ORIGINES DES RELIGIONS.
http://www.le-monde-des-religions.fr/sommaire.php
Bon sang ! C’est passionnant ! Je file au kiosque ce midi !
Anti, aux origines.
Je viens de lire un article très intéressant intitulé : « Les avatars de la déesse » Indianité, féminité et universalité du féminin dans l’œuvre d’Ananda Devi ».
http://www.larevuedesressources.org/article.php3?id_article=921&var_recherche=d%E9esse
« Tout roman est un acte d’amour. »
Exergue de Pagli
Nous sommes tous des Anna Galore, nous sommes tous, ici, des éternels amoureux errants. C’est là que nous nous retrouvons.
De beaux extraits :
« Le don de la déesse a été de lui révéler que sa vie en apparence si terne, si peu gratifiante, si insignifiante ne cessait pourtant d’inventer et de perpétuer la seule richesse qui vaille, celle de la Vie, celle de ce divin intime qui sous-tend et invente à tout moment la poussée vivante. »
« Elle ne meurt pas au sens réaliste, elle s’incorpore à l’île : « et l’île, la vraie, point vert, point de magnificence, point d’interrogation, point de suspension nous pouvons enfin y être nous / au cœur de nos certitudes reconnaissance de notre nous » (P, 154). Désormais la femme, être collectif, être pluriel, est la même que l’île ! Dans Soupir, également, il y a une telle identification progressive mais celle-ci tourne plus distinctement vers l’au-delà. Le groupe de Rodriguais va se fondre, lui aussi, en l’île, mais ce sera grâce à un « envol » qui, plus et mieux qu’une mort, est nouvelle naissance et passage de l’irréel au vrai réel :
[…] on sent la matière élastique de l’irréalité dans laquelle on a vécu tout ce temps se distendre et donner, donner doucement et voluptueusement, on pousse un peu et c’est comme une naissance, un accouchement du bleu, du lourd, du creux, et on passe, on s’étire et on se désagrège lentement, on laisse sa peau et sa chair et ses organes et son corps, on s’étire comme un fil sans substance pour aller jusqu’au bout de cette faille et se retrouver de l’autre côté, dans la vraie matière des choses… (S, 142-143) »
anti, euh, j’crois qu’j’vous aime c’est grave ?
Une vraie splendeur.
Je parle de toi, bien sûr 🙂
Mmmm. Euh… ben toi aussi Ze t’aime !!!
« 6e livre ! Déjà ! Pour la p’tite annacdote, en numérologie le 6 symbolise l’harmonie, la perfection et aussi l’humilité.
« C’est la somme des trois premiers chiffres, mais aussi l’addition du nombre 3. Ainsi en superposant un triangle parfait « matériel » et un triangle parfait « spirituel » on obtient un hexagone représentant le nombre 6. « »
Forcément, avec ce dont nous parlons ce soir de Nom de Dieu, de Livre de Saphir, je pense Sceau de David.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sceau_de_Salomon_%28l%C3%A9gende%29
Pour moi aussi, ce 6e livre est celui de l’harmonie et de l’équilibre enfin trouvés.
Et surtout, c’est celui de ma rencontre avec la Femme Primordiale dans ma vraie vie. Ma rencontre avec toi.
Anna, éternellement Un avec toi
Le 6 est un chiffre magique, celui de l’harmonie parfaite effectivement. Je n’ai réalisé que récemment que la date de mon mariage était le 24-6-06. Je préfère l’idée de la triple harmonie au 666 de la bête !
Bravo pour votre harmonie à vous deux, c’est booooooooo…
On a aussi un côté bêêêêête des fois, hein…
Merciiiiiiiiiiiiiiii Adele 🙂
Anna, si six scies scient six cigares six cent six scies scient six cent six cigares
Je n’ai réalisé que récemment que la date de mon mariage était le 24-6-06.
Thot beau !!!
« Bravo pour votre harmonie à vous deux, c’est booooooooo… »
J’allais dire qu’il n’y avait pas lieu de bravo dans cette histoire mais, force est de reconnaître que l’harmonie relève aussi du dépassement de soi alors, ben, euh (j’suis emmerdée, c’est mimi la pauvre cocotte !) merci quoi.
anti, bête de scène.