Drôle d’impression depuis hier soir, celle d’une inversion du temps, d’un retour en arrière : Anti est à Malakoff et moi à Nîmes. Du coup, on s’appelle à nouveau tous les soirs, comme avant qu’on habite ensemble. Argh.
Oui, oui, c’est juste pour quelques jours, d’accord, on le sait bien, ça nous fait rire d’ailleurs et puis il y a le téléphone, les mails, le blog, tout ça. Mais quand même, le contact physique, ça nous manque.
A chaque fois qu’on peut depuis qu’on vit ensemble, on se retrouve rarement à plus d’un mètre d’un distance et, en fait, très souvent à moins d’un centimètre.
On se touche tout le temps, on a besoin de sentir la peau de l’autre, le souffle de l’autre, la chaleur de l’autre – « chaleur », c’est pas forcément la température, hein, en hiver on est comme tout le monde, on a les mains et les pieds comme des glaçons, dont nous supportons stoïquement le contact en récitant le mantra sacré oméjetèmjetèmjetèm.
Enfin bon, on le sait que c’est très temporaire, cet éloignement. Mais vivement, quand même. Oui, parfaitement qu’on est du genre fusionnel, et pas qu’un peu.
Et tous ces trucs que les gens disent sur l’usure de couple qui s’installe au bout de quelques mois, tout ça, ben nous, non, pas du tout. Depuis qu’on se connait, plus ça va, plus on se colle, plus c’est fort et plus on a encore plus envie.
Alors là, voyez, on n’attend qu’une chose : c’est de recommencer.
Très belle journée à tous
Photo: l’accueil d’Apostille gare de Lyon vendredi dernier. Grâce à nos pseudos, nous avons pu passer incognito.
Genre fusion L, absolument. J’en parlais encore hier avec toi, Ness, Caroline, Apostille, les enfants, le vent, les arbres et les oiseaux.
De nos fonds ressortent une unique entité qui est celle sans conteste de l’âmour.
Je fusionnerai dans ton aile dès que Enrico sera prêt 😉
anti, sourire radieux.
« je vous imagine éclater de rire. »
Tu m’étonnes ! Et bronzées ? Tu nous imagines ?
anti mdrrrr (Anna t’expliqueras)
Apostille, demain je montre le bas (du visage bien sur)
pOourquoi un manteau ?
Ben, tu sais, à Paris, en février, c’est l’hiver et il fait froid, joyeux îlien de l’hémisphère Sud.
Quelle magnifique fusion tu nous décris là Anna.
Je te fais un gros bisou Apostille ainsi qu’à Anti.
sa c’est ben vrai!!!
allez je vais faire ma sieste…
ATTALEUR
…J’ai jamais vécu d’amour fusionnel alors, je peux pas dire grand chose.. MAIS je confirme qu’à Paris en février ce jour là il faisait froid. C’est déjà çà ;-)) je confirme assi les rires, panneau ou pas, d’ailleurs.
Quant à montrer le bas… faut pas pousser quand même…tu peux rêver Voie puisque tu as commencé ;-))
gros bisous pour les gentils bisouteurs..
Anti, Anna galère !
Bonjour Apostille (Copyright Ramses) !
Ca va, ça va : j’anti-date.
Tout elle viendra à point puisque je sais l’attendre.
Miss,
L’auteur du Mantra Sacré, c’est pas celui qui a écrit le Kama Sutra ?