Ambiance dimanche… Même la météo du sud se repose un peu après du très beau temps et des bouts de nuages se poursuivant dans le ciel bleu au gré de grandes rafales de mistral.
Ce matin, plus un souffle d’air, calme et tranquillité. La voûte uniforme d’un gris lumineux et doux cède graduellement la place au soleil qui faisait sans doute la grasse matinée jusque là. Deux jeunes merles se racontent leur dernière trouvaille miraculeuse: un garde-manger inépuisable sous mon tas de gazon coupé qui se transforme à longueur d’année en compost.
Ce soir, Chilck et Daashy vont voir Radiohead aux Arènes. Ils n’ont appris la bonne surprise qu’avant-hier. Mon frère leur a dégotté trois invitations inespérées, le méga groupe étant sold-out partout où il passe des mois à l’avance. Mini-débat paisible pour savoir à qui ils offriront la troisième place. C’est une copine de Chilck qui remporte la mise parce que justement son anniv tombe ces jours-ci.
Quant à moi, après avoir terminé l’écriture du chapitre 9 du « Septième livre », je me change la tête en dévorant avec délices « Pig Island », un thriller de Mo Hayder, remarquable écrivaine anglaise dont j’avais découvert le chef d’oeuvre « Tokyo » il y a quelques années. Je l’ai acheté hier à la Fnac sans même regarder la 4ème de couv. Une fois chez moi, je me lance dans sa lecture et je tombe sur cette citation qui ouvre le récit: « Il s’empara du dragon, l’antique serpent, qui est le Diable et Satan, et l’enchaîna pour mille ans » (Apocalypse, 20,2). Retour aux univers que je viens de décrire dans mon chapitre à peine terminé. Je souris de cet écho parmi mille autres échos. Je téléphone à Anti immédiatement pour lui raconter.
Elle est en train de recevoir une quinzaine de copines et copains de ses enfants pour un après-midi d’au revoir avant le grand déménagement. Fête joyeuse, jeux et gourmandises…
Mes enfants aussi sont heureux, tout est calme, un bon bouquin… Ambiance dimanche…
Réveil sous la pluie pour changer. Le gros siamois fait des bonds de chamois dans les hautes herbes pour éviter les gouttes. Léonore nous a offert une grasse matinée jusqu’à 10h30, du jamais vu !
Je me suis levée sans couiner, mon dos va un peu mieux, et le dimanche démarre tout doucement avec un brunch en perspective, vu l’heure.
J’ai lu « Tokyo » de Mo Hayder il y a deux semaines, acheté par hasard au supermaché, j’ai beaucoup aimé aussi.
Ce soir, apéro prévu chez les voisins pour la livraison d’un tableau. Ma première commande locale, ça se fête !
Bon dimanches à tous et à toutes…
Le siamois chamois, pas fachile à dire ^^
De Mo Hayder, je te recommande également Birdman. Et pour ton dos, ça fait plaisir que ce ne soit pas trop grave…
Voilà, je viens de terminer « Pig island ». Histoire géniale, pleine de rebondissements inattendus qui nous mènent par le bout du nez au travers d’unê série d’intrigues gigognes jusqu’à la fin, machiavélique en diable (et je pèse mes mots).
Elle raconte que des conneries la Anna ! Dimanche , avec 15 mômes ! Tssss ! Samedi avec les mômes et dimanche à trembler dans une salle obscure histoire de me changer les idées avec Indy chéri.
Bon, ben, si je commence à vous lire, il est pas réservé mon camion…
Morte de rire ! Ca commence bien la semaine (que personne ne me parle de « sacrée semaine qui commence » où je ne réponds plus de rien !)
Anti, dans le cyber espace ! Yeah !
Et l’Anti des Bois, relis lentement sans te mettre l’omoplate devant les yeux: quand je t’ai appelée pour te parler de Pig Island, c’était samedi (qui cette semaine-là est tombé la veille du dimanche – d’où la précision « acheté HIER à la Fnac » 🙂 et tu recevais une quinzaine de mômes, c’est ce que tu m’as dit alors ça doit être vrai ^^
Anna, çonnerie aux morts de rire
Certes Chérie mais samedi c’est an=mbiance samedi et pas le 15 !
Anti, Tous les jours en un anyway !
Putain ! qui m’a foutu cette omoplate dans les yeux !
anti, pas sortie de l’auberge !!!
C’est ce qui s’appelle tomber sur un os.
Anna, c’est boooooooon de te revoir ici
Idem.
Du coup, ben, je vais rester un peu ! Na !
Anti, au diable les trucs qui nous emmerdent !
Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Anna, vivons heureux en attendant la mort (oh Pieeerre!)
Voui ! Il y a si peu de temps entre vivre et mourir…
anti, pour vivre heureux, vivons tout court