Alors qu’Anti poursuit sa formation de sirène de niveau 1, j’ai commandé et reçu hier le complément indispensable à nos futures plongées : un appareil photo numérique avec un caisson étanche.
Après avoir regardé ce qui était disponible dans une gamme de prix abordable, j’ai finalement opté pour un Nikon Coolpix S3000, superbe petit objet à la fois bon marché et performant, un caisson adapté à ce modèle qui supporte jusqu’à 60 mètres de profondeur et une torche, étanche également bien sûr, qui se fixe sur l’ensemble. Ce dernier accessoire permet d’apporter un complément d’éclairage indispensable à un bon rendu des couleurs dès qu’on descend en dessous de cinq à six mètres.
Pour l’appareil, j’ai hésité entre plusieurs modèles avant de me décider, en l’occurrence un Intova IC12, plutôt populaire dans le milieu de la photo sous-marine, un Fujifilm Finepix AV100, basique mais robuste et le Nikon, un peu plus cher mais bien plus séduisant techniquement, en particulier avec son objectif grand angle, idéal sous l’eau où on manque parfois de recul, quand on explore un tombant par exemple.
Un autre élément de sélection a été le fait que l’Intova utilise un modèle de batterie pas facile voire impossible à acheter séparément si on en veut une de rechange, que le Fuji nécessite des piles ce qui est beaucoup plus encombrant qu’un accu ultra-plat et qu’un Nikon, c’est la certitude d’avoir du matériel fiable et des accessoires faciles à trouver n’importe où sur le web.
Au passage, un grand merci à Julien, de Photoplongée.fr, qui m’a donné des conseils précieux et précis pour faire mon choix. Il est lui-même plongeur et a pu donc me parler de chaque modèle en toute connaissance de cause.
J’étrennerai mon nouveau joujou la semaine prochaine, en rejoignant Anti pour sa dernière plongée dans la fosse.
Très belle journée à vous
« formation de sirène de niveau 1 »
Mdrrrr !
« Au passage, un grand merci à Julien »
Merci Julien au passage alors 😉
« Mon nouveau joujou »
J’aime bien le titre de ta note, il est en totale osmose avec le questionnement qui me taraudait hier soir lorsqu’on regardait « Le Concert ». D’où vient le mot « Jouer » ??? Quand on voit le jeu d’un acteur, celui d’un musicien et même celui d’un enfant, ça ne peut pas être simplement jouer au sens de se distraire ! C’est tellement de travail, de concentration. On touche au sublime parfois, on est transporté dans d’autres mondes souvent. Alors ?
Alors, la réponse va au-delà de mes espérances :
Jouer vient du latin « jocor ». Selon le Dictionnaire étymologique latin : « Jocus est le jeu en paroles, ludus, le jeu en action. L’ombrien « iukus » signifie « appel, invocation ». De l’indo-européen commun « jek » « dire ».
Effectivement, jouer, c’est invoquer quelque chose, c’est appeler une manifestation, c’est dire le non-verbal. C’est magique !
anti
Très intéressant, en effet.
Anna, joue contre joue
A nous les belles photos quand tu feras mumuse avec ton nouveau joujou
Effectivement, jouer, c’est invoquer quelque chose, c’est appeler une manifestation, c’est dire le non-verbal. C’est magique !
j’adore. Merci Anti
On a hâte de découvrir les photos…
Et nous donc !
Bises !