Les sept plumes de l’aigle

Baliramas vous recommande de lire « Les sept plumes de l’aigle » de Henri Gougaud. Ce livre a l’air, effectivement, captivant. Voici ce qu’en dit Amazon.

« J’ai connu Luis A. un jour d’automne à Paris. (…) Ce livre est le fruit de ce qu’il m’a confié, dans le plaisir jubilant d’être ensemble. » Un avant-propos tel que les aime Henri Gougaud lorsqu’il décide de nous emporter dans les hauteurs de tous les possibles. Celles où il nous conduit cette fois présentent le parcours initiatique d’un jeune argentin né à Cordoba. Refusant la mort de sa mère qu’il adorait, il parvient à se convaincre qu’elle est allée rejoindre son peuple indien quechua, dans la montagne. Il gravit lui aussi les sommets pour l’y retrouver. Là, l’attend El Chura, le chaman. « Parlant peu, n’expliquant guère », il fait pourtant éclore le jeune homme de tous ses pétales, avant de le lancer dans la quête des sept plumes de l’aigle qui recèlent les sept secrets de la vie.
Poète, romancier, conteur, Henri Gougaud fut aussi un homme de radio et le parolier de Jean Ferrat, Juliette Gréco ou des Frères Jacques. Ce troubadour d’aujourd’hui se nourrit de légendes ou récits populaires d’Europe ou d’Orient pour retrouver la ferveur ancestrale de la tradition orale (L’Arbre à soleils, L’Arbre d’amour et de sagesse…). –Laure Anciel

Présentation de l’éditeur
Luis A. n’est pas un personnage de roman mais un homme vivant, même s’il tient à rester anonyme. Ce livre raconte son histoire, de sa lointaine enfance argentine, où sévissait la misère, aux évènements qui l’ont conduit en France. Un jour, le hasard a voulu qu’il rencontre un Chaman, un sorcier. Ce dernier l’a instruit, puis l’a poussé vers d’autres lieux, à la poursuite des pierres vivantes et des sept plumes de l’aigle où sont les sept secrets de la vie.
Ce roman est une magnifique recherche sur le sens de la vie, sur la sagesse.

12 Replies to “Les sept plumes de l’aigle”

  1. Baliramas Post author

    En tant qu’ancien parachutiste, je peux vous dire qu’il n’est pas toujours bon de redescendre LOL mes chevilles s’en souviennent encore

  2. Anna Galore Post author

    Comme disait je ne sais plus qui, ce n’est pas la chute qui est dangereuse, c’est l’arrivée!!! loool

  3. Baliramas Post author

    Tout à fait Anna, tu connais le leitmotiv du parachutiste tombant avec un parachute en torche: « jusqu’ici, ça va » mdr. Ceci nous éloigne des sept plumes de l’aigle mais rire c’est bien aussi non??? :-)))

  4. antiChute Post author

    Well, well, well. Gougaud, j’suis fan. Conteur hors pair, je ne connais pas ce livre mais, il me tente bien. Par contre, l’Arbre à Soleil est fantastique et sa préface de Silence de Comès est à tomber par terre, n’en déplaise à nos chevilles 😉 Tout cela restant, peut-être une question d’humilité devant un grand homme. En parlant humilité, ben Anna, la fameuse phrase, ben c’est moi qui te l’ai dite, patate ! (prononcer peutâât’).

    anti, courbez-vous madame…

  5. voiedorée Post author

    jusqu’ici ça va?? Un qui avait compris que tant qu’on est dans le présent on n’a aucun soucis.

    Pour les photos super je préfère celle avec beaucoup de couleur mais je me demande ce qui est déposé à terre ?

  6. Baliramas Post author

    voiedorée,
    je suppose que tu parles des photos du Rwanda?
    Il s’agit de filets de pêche mis à sécher par les pêcheurs (et non pécheurs 🙂 )

    Merci pour le lien antiGoogle !

  7. sampang Post author

    « Saute pas trop haut quand même…. il y en a qui ne redescendent pas… »

    Ecrit par : voiedorée | 23 avril 2008

    Voie… j aimerai tant parfois 😉

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