Avis aux Tartufes et aux pharisiens, voici l’anti-Guide des convenances : Le Bréviaire des petits plaisirs honteux. Mais qu’est-ce donc qu’un plaisir honteux ? C’est un p’tit quelque chose qui nous fait plaisir bien que pas très glorieux. Exemple : arriver au bureau en fredonnant une chanson bien ringarde pour que vos collègues l’aient dans la tête toute la journée (Gniark ! Gniark !), dire du mal d’autrui, presser ses points noirs, jouer les voyeurs etc.
Dit comme ça, ça ne vous parle pas ? Laissons faire les professionnels !
Canal + – Chronique de Daphné Bürki dans « L’Edition Spéciale » du 6 avril 2010
« C’est un peu un anti-Guide des convenances (…) Ce n’est pas trash, que les choses soient claires. On se demande si ces mauvaises manières ne sont pas presque devenues chic ! »
Direct Soir – édition du 6 avril 2010
« S’avachir dans un canapé, s’empiffrer, éternuer à la face du monde… Les auteurs, Charles Haquet et Bernard Lalanne, reviennent sur trente petits plaisirs inavouables mais jouissifs, qui sont autant de respirations dans notre quotidien, quoi qu’en disent la morale et les conventions. »
Lyon 1ère (radio) – émission du 2 avril 2010
« Ce livre est vraiment très drôle. Il est écrit dans un style très piquant. Charles Haquet et Bernard Lalanne alternent les anecdotes, les remarques, les citations de grands auteurs pour notre plus grand plaisir. C’est vraiment un régal. (…) C’est aussi un très bel objet et je vous le recommande pour toutes ces raisons. »
Le Figaro littéraire – édition du 1er avril 2010
« Il fallait bien se mettre à deux pour associer plaisir et honte. C’est ce qu’ont fait, en une trentaine de chapitres, Charles Haquet et Bernard Lalanne dans cet inclassable Bréviaire plein de verve et d’impertinence. Cela tombe bien, nous sommes dans une drôle d’époque où « l’indécence est partout » et le scandale monnaie courante, marketé à grands frais. A notre tandem donc de réhabiliter les vrais plaisirs honteux sous la férule d’un Baudelaire, d’un Picabia ou d’un Coluche. Parmi eux : « Attiser une querelle de famille », « Provoquer une fausse joie », « Déblatérer ». Et, pour finir, quelques conseils misanthropiques, comme apprendre des gros mots aux enfants des copains… »
Radio suisse romande – journal de 12 h 30, le 1er avril 2010
« Les deux auteurs se livrent à un inventaire jubilatoire des minuscules jouissances qui ponctuent notre quotidien et dont personne n’ose parler. Par exemple, se curer le nez (même les grands de ce monde se sont fait prendre en flagrant délit, de la reine Elisabeth à Silvio Berlusconi). Autre petit plaisir inavouable : choquer volontairement les autres; le problème, à notre époque, est que c’est de plus en plus difficile d’y parvenir !… »
Metro Belgique – article publié le 29 mars 2010
« Un panorama non exhaustif mais très complet de toutes les choses que l’on adore, mais que la morale ou la bonne éducation nous interdisent de faire. A noter que l’éditeur n’est pas en reste, puisqu’il a décidé de publier ce livre à l’ancienne, non massicoté, afin d’obliger le lecteur à se munir d’un coupe-papier !… »
lelittéraire.com – article publié le 27 mars 2010
« Le Bréviaire vaut l’effort (le plaisir) d’être découpé, contenant peu de pages qui ne soient pas hilarantes. Ses auteurs ont à la fois de bonnes trouvailles en matière d’amusements coupables (…), de l’habileté dans leurs développements et un sens de l’actualité qui donne un petit côté sociologique à leur texte… »
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Radio Notre Dame – « Des goûts et des couleurs », émission diffusée le 26 mars 2010
« Il y a des gestes qu’on emporte sur une île déserte et qui, en société, restent inconvenants. Mais quel plaisir ! L’éternuement, par exemple… »
L’infoblog de Jean Belot – article publié le 23 mars 2010
« N’ayez plus honte de vos secrets penchants, lisez toutes affaires cessantes Bréviaire des petits plaisirs honteux de MM. Charles Haquet et Bernard Lalanne, vaillantes plumes et hardis propagateurs des joies simples et hygiéniques. Et, dites, 12,95 €, ed. JBZ et Cie, 38 rue de la Condamine, 17ème, c’est donné ! Un cadeau modique et apprécié. »
livres-a-lire.net – article publié le 22 mars 2010
« Attention, le but des auteurs de ce livre n’est pas de vous pointer du doigt mais, au contraire, de réhabiliter ces petits bonheurs intimes en vous incitant à vous laisser aller à les pratiquer ; car il faut bien le reconnaître, par les temps qui courent, ils sont une des rares satisfactions que l’on peut encore se permettre… »
Le Pan (Belgique) – article publié le 21 mars 2010
« Charmant petit objet livresque présenté à l’ancienne dans du beau papier aux pages non coupées, le Bréviaire des petits plaisirs honteux de Charles Haquet et Bernard Lalanne qui vient de paraître à Paris aux Éditions JBZ & Cie réjouira les amateurs d’épicurisme de tous les instants, et ils sont innombrables !… »
Hemcel – narticle publié le 13 mars 2010
« Ce bréviaire est un miroir que l’on aurait glissé sous toutes nos coutures et nos ceintures. Les auteurs démystifient la honte en la rendant collective. Ce travail de déconstruction et d’analyse nous rappelle un peu plus loin Barthes et ses délicieuses mythologies qui décryptaient aussi nos habitudes bourgeoises de vieux singes à la dérive… »
Paper blog – article publié le 12 mars 2010
« Charles Haquet et Bernard Lalanne osent plonger dans toutes les aspérités de notre vulgarité quotidienne. Leur composition est jubilatoire parce qu’ils écrivent tout haut, avec la profondeur de la citation bien choisie, l’élégance de l’euphémisme et l’humour de la métaphore ce que tout le monde fait tout bas…. »
Alors ? Convaincus ? Pour écouter les émissions citées, lire l’intégralité des articles cités, en savoir plus, ou tout simplement faire durer le plaisir, vous pouvez consulter le blog : Petits plaisirs Honteux (source de l’article).
anti
« arriver au bureau en fredonnant une chanson bien ringarde pour que vos collègues l’aient dans la tête toute la journée (Gniark ! Gniark !) »
Idem. Dans la boîte de production dans laquelle je travaillais, tous les matins, Dominique, ancien musicien de baloche, arrivait en fredonnant un truc improbable ! J’étais mdrrr et surtout une des seules à connaître autant de daubes ! ça ne loupait pas.
Souvenirs des grands moments : Martin Circus, Ringo…
Pour ce qui est des livres non massicotés, franchement, c’est un plaisir pour moi. J’adore ce geste désuet, il confère au livre une part de mystère, comme si un trésor y était enfoui qu’il allait falloir révéler au grand jour, délicatement.
anti
.. Oui!! et le plus « touchant » (pour moi) c’est de continuer à « ouvrir » ainsi le livre, à la suite d’un lecteur inconnu, qui l’a laissé comme « en suspens »… Et si le livre est un très vieux livre.. mmmmmmmmmmmmmmmm…….
Ah ça, j’adore ! Mais tout cela doit être pratiqué avec tact… J’avoue (un peu honteux) que la 2ème vidéo m’a plié de rire… On ne comprend pas les paroles, mais on imagine que le fou-rire du présentateur est provoqué par le récit des très grands malheurs des deux interviewés… Et la voix d’outre-tombe du membre du public qui prend congé ne fait que renforcer cette hilarité… Mais peut-on rire de tout ? (Desproges disait « oui, mais pas avec n’importe qui »…) Je pense que ceux qui ont le mieux réussi à ne jamais dépasser la ligne jaune, c’était l’équipe du « Petit rapporteur » avec Jacques Martin…
Ceci dit, les plus grandes jouissances ne peuvent que s’accompagner d’un peu de honte… Vous qui prenez plaisir (j’approuve !) à ouvrir les pages d’un livre avec un coupe-papier, cela ne ressemble t’il pas à un dépucelage ?
euh.. Ram’??? le dépucelage est-il un peu honteux? mdr.
et.. hu.. si quelqu’un l’a abandonné à moitié ouvert, ce livre.. peut-on encore parler de dépucelage.. hum… et.. perso.. je n’ai jamais dépucelé personne 😉 bawi je suis une fiiiiille..;-))
Je plaisante, je plaisante…Mais oui! l’image est séduisante tout de même..
Mdrrr ! J’adore vous « écouter » tous les deux 😉
anti