"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
Monilet je suis heureux pour vous de cette nouvelle.
Merci à vous et surtout à toi, Anna, pour ce coup de coeur.
La nouvelle en question est en lecture libre sur plusieurs forums littéraires (TNN, ILV etc).
Bonne journée.
Tout le plaisir est pour moi, Claude.
Bravo Claude et félicitations.
Je te le dis à nouveau ici : Well done Kallagan 😉
Anti
Félicitations monilet, je suis très heureuse pour toi !
Monilet c’est génial !!!! Je suis très très heureuse pour toi !
Merci beaucoup. Et vous savez déjà que Chloé des Lys réédite mon premier livre.
J’en ai un troisième qui cherche éditeur(plus important) plus un mini-roman bloqué jusque début octobre car présenté au prix de l’Inédit. Bref, ça m’occupe… Mais je ne suis pas encore aussi productif qu’Anna. 😉
Waouh ! Ce récap vaut le détour ! Excellente continuation en tout cas !
Anti
Bravo Molinet c est super et je suis heureuse pour toi ^^
Anna ! Anna ? mais qui est Anna ? Quelqu un connait Anna ? 😉
« Nous sommes tous des Anna Galore! » (Lazuli)
lool j aimerai tant ! ^^
Salut tout le monde, j’émerge à peine d’une semaine d’enfer où j’ai mis la dernière main à une maquette de bouquin. Ouf, c’est fait…. Je vais pouvoir souffler ….et vous lire un peu plus.
et bah c’est encourageant Moni !! Au moins, tu avances, tu vas au bout. C’est bien ! Et en plus, je sais pas, mais t’es tout discret, tu ne dis rien. J’aime bien ça. Tu restes modeste.
Merci, Slay. Tu sais, je ne suis pas plus modeste que tout un chacun.
La bise.
Bravo Molinet ! Chapeau bas Monsieur ! Alors j espère que tu auras un excellent week end ensoleillé comme ça a l air d être le cas ( j ai cru comprendre que nous étions presque voisins ;)). ^^
Samp., le soleil (extérieur) a pas bien tenu ici, tant que l’autre nous visite parfois, hein !
pour sûr Molinet on s en contenterait 😉
bises
Simplement pour info :
En attendant la réédition prochaine de « Saisons d’une passion », au plus tôt en juin) je brade les exemplaires me restant à 12 euros port compris (= prix de revient) ou échange contre l’un de vos livres. Contact par mail.
Voilà, je n’ai rien dit, passons à autre chose ! 🙂
et si un dessin original contre un livre ça fait l’affaire d’une boudufle avec un molinet ?? je t’embrasse ….la vie fait son chemin .
Pourquoi pas . 🙂
Moni j’en veux ! je te contacte. Bizzzzzzz
Allez, pour vous je le fais à 11.
j’t’ai envoyé un mp sur parfum 😉
Slay, ton livre est parti ce matin. 🙂
merci Moni ! 😉
Je ne retrouve pas le fil papotages, alors je mets ici :
Si vous avez eu du plaisir à suivre l’émission Le Bateau-Livre de Frédéric Ferney, supprimée de la grille de la 5, voici un blog de soutien et la lettre de F Ferney au Président de la République.
http://blog.france3.fr/cabinet-de-curiosites/
Anna, tu enlèves s’il le faut.
Je laisse et je duplique !
Le fil papotages en cours s’appelle « On remet ça? ».
Bonjour à vous.
Juste pour signaler( je ne l’ai pas encore fait, je pense) que la plupart de mes textes sont en ligne ici :
http://www.inlibroveritas.net/auteur1578-oeuvres.html
Merci pour l’info, qui intéressera sûrement pas mal de monde ici.
Merci, Monilet, j’ai mis le lien en Favoris, j’y reviendrai car j’aime beaucoup ce que tu écris.
Ramses, c’est surtout gentil de le dire car, après des années d’écriture on (je) a (ai) besoin d’un minimum de reconnaissance pour alimenter l’envie de continuer à écrire qui parfois s’étiole… On se dit quelquefois : à quoi bon ? , et la paresse aidant…. Mais quand elle surgit avec force, comme pour moi hier soir, elle est difficile à endiguer malgré tout, d’ où ma petite note d’hier sur le site indiqué.
« on (je) a (ai) besoin d’un minimum de reconnaissance pour alimenter l’envie de continuer à écrire qui parfois s’étiole… On se dit quelquefois : à quoi bon ? , et la paresse aidant…. »
Paresse aidant, paresse aidant ! Quand on voit tous les textes que tu proposes, un mot, un seul s’impose : bravo !
Bonne continuation Moni spa ?!
anti
Je suis allée à la pêche sur France 2, en souvenir de Cuba et de ta fameuse « nuit cubaine » que je m’étais permise de pasticher.
NUIT CUBAINE (Moni)
Mon texte, talentueusement pastiché par Anti :
UNE NUIT CUBAINE
Il s’éveilla quand elle entra dans la chambre.
Arrivés
deux jours avant à Cuba avec un groupe de semi-touristes censés suivre
une université d’été, on les avait logés dans des chambres à plusieurs.
Il partageait la sienne avec un percussionniste d’environ 60 ans,
chaleureux, venu là pour se perfectionner. L’autre occupant était un
jeune étudiant plutôt beau aux cheveux noirs et bouclés qui l’avait
surpris dès le début par son parler lent et posé, comme méditatif,
dénotant une éducation de milieu bourgeois et cultivé. Cela contrastait
au demeurant avec une certaine légèreté du personnage. Les chambres de
la résidence universitaire de Santiago étaient dépourvues de confort.
Le minimum. Les douches collectives se situaient dans un local qu’elles
partageaient avec les WC aux portes coupées en haut et en bas qui
rappelaient ceux des pensionnats ou des écoles d’autrefois. Il arrivait
que l’on y vît des blattes d’ à peu près 8 cm.
Ce soir là ils
s’étaient endormis dans la moiteur des nuits des Caraïbes, après une
journée bien remplie où avaient alternés cours d’espagnol et visite des
bourgades environnantes.
Il venait d’être quitté par une
femme qu’il avait fini par aimer de passion et, très ébranlé, avait
entrepris ce voyage pour se ressourcer.
Depuis 3 mois il était donc aussi frustré sexuellement après avoir connu le paroxysme du vécu et du ressenti en la matière.
A
Cuba, dans cette résidence pour étudiants, hommes et femmes étaient
séparés strictement et ne se retrouvaient que pour les repas et les
activités du jour. Il dormait donc d’un sommeil léger dans ce dortoir
exclusivement masculin qui leur était dévolu depuis 3 jours lorsqu’elle
entra.
Il occupait le lit près de la porte et la vit se glisser
directement, furtive, vers le lit du fond, occupé par le jeune homme.
La pénombre épaisse lui, permit juste d’entrevoir une silhouette
pourvue de longs cheveux sombres dénoués. Une femme !
A cette
heure de la nuit, en ce lieu, cela lui parut inouï . Intrigué il ne la
lâcha pas du regard, feignant le sommeil. Près de lui Pierre laissait
entendre un très léger et régulier ronflement. Il comprit d’emblée car
le jeune homme , particulier, avait un succès immédiat auprès des
jeunes et jolies cubaines qui étaient chargées de nous servir de
cavalières lors des cours d’apprentissage des danses locales : salsa,
mérengué… félines, elles y excellaient. On eût dit que le rythme et les
déhanchements leur étaient consubstantiels. Elles semblaient se
confondre avec la musique qui ici jaillissait partout et aussi avec la
générosité du soleil des Tropiques.
Des éclats de rire, ces filles. Elles étaient la vie.
Bien vite il fut pleinement éveillé.
Tant
par curiosité que pour ne pas troubler ce qui s’ébauchait entre les
jeunes gens, par une sorte de gêne aussi devant l’audace des
protagonistes, il resta complètement immobile, yeux quasi fermés.
L’obscurité le protégeait. La jeune fille avait un vêtement blanc sur
lequel tranchaient des cheveux noirs qui descendaient presque au milieu
du dos. Il discernait la scène , plus qu’il ne la voyait , dans
l’étroite fente de ses paupières, si étroite que ses cils
l’embroussaillaient. Il s’efforça de garder une respiration régulière.
Que faire d’autre : les rejoindre ? il n’y songea point et quand bien
même, comment eût-il été accueilli ? Il attendait.
Il devina des
caresses aux mouvements des draps , tâches blanchâtres dans
l’obscurité. Ce qui était curieux, c’est qu’il n’entendait aucun son
articulé, à peine quelque infimes bruissements des corps frottant le
tissu du drap, seule protection nocturne dans la nuit chaude de
Santiago.
Contre son gré , et en même temps de plein gré, il était
attentif à ce qui se passait là, imaginant plus que voyant, soucieux de
ne pas révéler son éveil. Ils étaient tous trois chasseurs et gibiers.
Bien
vite il la vit chevaucher le garçon en une danse muette, silhouette
magnifiquement verticale et altière dont il pouvait discerner le
balancement des cheveux au rythme de l’étreinte. Immédiatement
l’excitation l’avait gagné, dans ce rôle de voyeur où il était confiné……
Cela
se poursuivi un temps qu’il goûta pleinement jusqu’à ce qu’il aperçoive
le corps du garçon s’arc-bouter sous la caresse , pour bientôt
s’abattre sur la couche, attirant à lui sa partenaire dans un geste
naturel de tendresse qui suivait l’acmé. La scène n’avait pas due être
bien longue bien qu’il eût perdu toute notion du temps. Une durée au
cours de laquelle il était tendu à l’extrême, les sens aiguisés,
cherchant à percevoir le maximum de ce qui se déroulait là , à 5 ou 6
mètres de lui. Le caractère inaccoutumé d’une étreinte silencieuse et
quasi publique l’avait profondément excité .
Déjà l’aube se laissait
deviner et bien vite la jeune fille fila, sans bruit, comme elle était
venue. Pierre dormait toujours, tourné vers lui; le jeune homme dut
sombrer dans le sommeil et lui ne put finir par le trouver qu’après
s’être lui aussi caressé, afin de se libérer de la tension installée
dès les premiers instants.
Il avait naturellement pensé que
cette fille était l’une des beautés cubaines qui accompagnaient le
groupe et qui, par ailleurs, n’avaient pas froid aux yeux.
Quelle
ne fut pas sa surprise quand on lui révéla bien plus tard que jamais
ces filles n’auraient osé une telle visite, leur gouvernement
entretenant alors des rapports ambigus avec ce qu’il nommait la
prostitution.
Il
percevait volontiers les devises qu’apportaient le touristes et
n’inquiétait nullement ces derniers, mais se montrait parfois
férocement répressif envers ces filles qui risquaient la prison
lorsqu’elles étaient surprises à fréquenter de trop près ces étrangers.
Cependant jusqu’à un certain point il fermait les yeux sur ces
agissements. Stupéfait il apprit même que cette femme était une
jeunette du groupe, étudiante de quelque 21 ans, douce , gentille et
timide, à qui il aurait donné « le bon dieu sans confession ». Il
devait du reste en tomber vaguement amoureux pendant la suite du séjour.
Plus
encore que l’acte d’amour ainsi dévoilé, ce furent les circonstances de
celui-ci qui l’excitèrent cette nuit- là. C’était comme une cérémonie
muette, la célébration d’un Mystère où se trouvèrent battus en brèche
le tabou de l’Interdit et ce que l’on appelle socialement les
convenances. Tout ce qui finit, porté à l’extrême, par éloigner l’homme
de l’Humain. Un culte primitif et premier, voilà ce qu’il avait entrevu.
Ce
soir- là il pressentit d’emblée que ce serait sans doute dans son
existence une unique vision, une Révélation qu’aujourd’hui il se sent
poussé à porter sur le papier. Le lendemain matin la vie avait repris
son cours habituel et convenu. Ainsi en va-t-il du surnaturel qui passe
parfois le bout du nez dans la banalité du quotidien et presque
aussitôt fuit, à pas de loup. Le hasard nous donne quelquefois la
chance de le croiser. Il convient alors de ne pas le laisser partir
sans lui avoir rendu hommage.
Il avait vécu la chose comme une victoire éphémère de la Nature sur la Culture, paradoxalement le triomphe bref de Ce qui dure.
Il en sortit plus heureux.
NUIT ANTILLAISE (pastiche Anti)
Une nuit Antillaise
La porte s’ouvrit laissant filer un ray de lumière dans la chambre.
J’étais arrivée deux jours auparavant à Kingstown avec un groupe d’étudiants censés suivre une université d’été. On nous avait logés dans de grandes chambres.
Je partageais la mienne avec deux autres jeunes femmes. La première, musicienne, pas vraiment belle mais chaleureuse et extravertie, venait pour la première fois aux Antilles et s’extasiait de tout ce qu’elle découvrait de beauté et de plaisirs. La seconde occupante était d’une beauté étrange. Elle avait de magnifiques cheveux roux qui tombaient en cascade sur une jolie silhouette svelte de sportive, évidemment de beaux yeux verts, un vrai cliché de magazine ! De nature plus discrète et beaucoup moins expansive que Chloé, Gabrielle m’avait
étonnée dès le début par son parler lent et posé, comme méditatif,
révélant une éducation de milieu cultivé. Cela contrastait avec une certaine légèreté qu’on devinait chez elle.
Le confort des chambres de la résidence universitaire était rudimentaire.
Ce soir-là, nous nous étions endormies dans la moiteur des nuits des Antilles, après une journée bien remplie où nous avions alterné cours, visites et soirées estudiantines.
Je venais de vivre une rupture et ce voyage était pour moi un moyen de me ressourcer. Tout de même, 3 mois de célibat, dans cette ambiance chaude, chaude, chaude, les exigences de la chair commençaient à être de plus en plus difficiles à ignorer et, dans mon sommeil, machinalement, mes mains allaient et venaient le long de mes cuisses humides.
Dans les dortoirs, hommes et femmes étaient strictement séparés. On se retrouvait pour les repas, les cours et les sorties.
Je dormais d’un sommeil léger dans ce gynécée lorsque la porte s’ouvrit laissant filer un ray de lumière.
Gabrielle occupait le lit près de la porte. L’ombre pénétra dans la pièce, furtive, agile, se glissa auprès d’elle.
La lumière extérieure me permit de tout voir. Tout. De la silhouette musclée de l’homme qui venait d’entrer aux courbes majestueuses de ma co-locataire.
À cette heure de la nuit, en ce lieu, cela me captiva . Je ne me connaissais pas voyeuse, mais le fait était que je ne les quittais pas des yeux, trop captivée par le spectacle qui s’offrait à moi pour feindre le sommeil.
Près de moi, Chloé laissait entendre un souffle léger et régulier.
Je reconnaissais le charme troublant de Gabrielle, elle avait eu d’emblée un succès fou auprès des jeunes gens du pays, étudiants ou serveurs, rencontres de hasard, partenaires de biguines sensuelles. Ici, les corps semblaient se confondre avec la musique qui jaillissait et avec la moiteur générale.
Des éclats de rire étouffés se firent entendre. Ces deux-là, bienheureux dans leur lit, étaient la vie.
Bien vite je fus pleinement éveillée. Mon entrejambe se rappelait à mon souvenir en une longue plainte humide. La curiosité aussi me dévorait. Appuyée sur un coude, je dévorais des yeux l’audace des protagonistes. Le drap qui les recouvrait au début n’avait pas résisté longtemps à l’ardeur de leurs caresses effrénées. À présent, leurs corps nus se déhanchaient dans la lueur de la nuit. J’entendais aussi les râles qu’ils se gardaient pourtant de pousser.
Je restais immobile, yeux grand-ouverts, fascinée par le spectacle qui s’offrait à moi.
L’obscurité me rassurait. De ma main libre, je me suis caressée, doucement ; les seins d’abord qui se tendaient sous la tension du désir que la scène fît immanquablement monter en moi. Je les caressais doucement, l’un puis l’autre, puis les prenais à pleines mains tant bien que mal. Les doigts ont glissé ensuite le long de mon ventre en sueur, contourné l’écrin fraîchement et entièrement épilé. Je sentais sur mes jambes l’expression de ce désir. Ma main se posa sur mon sexe imberbe. Elle était trempée. Je fermai alors les yeux en avant goût du plaisir à venir. Lentement, j’écartais mes lèvres et me glissais un doigt qui ressortit trempé, qui s’agita sur mon clitoris. J’aime me caresser. L’abstinence n’est pas pour moi. Trois mois de célibat soit, mais pas trois mois sans plaisir, ça non ! Sans m’en rendre compte, j’avais commencé à soupirer de ces soupirs sans équivoque. Je me caressais encore lorsque je sentis des lèvres sur les miennes. J’ouvris les yeux de stupeur pour me plonger dans le regard noir de l’homme tout aussi noir à qui ils appartenaient. Nous n’échangeâmes pas un mot. Je le laissai m’embrasser et ôter ma main de mon sexe. Au même moment, je sentis des mains me caresser le corps. Ces mains n’étaient pas les siennes. Ces caresses n’avaient rien de commun avec ce que j’avais connu jusqu’alors. Je compris alors que ces baisers tendres dans mon cou, ces caresses d’une douceur infinie sur mes seins, c’était Gabrielle. Je gémis de plaisir. Mes partenaires virent en ce gémissement ce qu’il était bel et bien : un accord tacite.
anti
Souvenirs, souvenirs, anti. 🙂
Mine de rien, c’est chaud, France2 ! « Service public », disait Thierry Ardisson, tu parles… Plutôt « Contenu explicite » !