Un dimanche d’hiver à la maison

Que faire un dimanche d’hiver tout gris, sous la pluie, pour mettre du soleil dans nos vie ? Pour avoir du punch ? Ben, c’est simple : on fait un brunch !

J’adore ce mélange de sucré et de salé, cette variété de choix où je ne sais plus que prendre, que mon ventre crie : « Assez ! » et que mon cerveau tente de négocier : « Attends ! Tu n’as pas pris ça… et ça… » Il faut dire qu’il y avait du choix : fruits, yaourts, pain intégral, confiture, miel, sirop d’agave, fromages, salade, saucisses végétales, œufs brouillés… et encore, je n’ai pas mis les avocats et n’ai pas fait les roses de pommes envisagées à un moment…

Et puis, le brunch me fait invariablement penser à ces petits-déjeuners dans les grands hôtels, donc aux vacances 🙂 Oui, je rêve déjà à nos futures vacances, un jour, quand Anna cavalera partout. En attendant, je fais de notre foyer tout un univers varié dans lequel il fait bon voyager (alors, oui, j’entends déjà Valentine : le week-end, ce n’est pas que le dimanche. En effet, j’ai donc enlevé les affaires de Noël et redécoré mon cabinet entre deux courses, machines à laver et passages de serpillère, on ne se refait pas :-))

Très bon début de semaine à toutes et à tous,

Anti

5 Replies to “Un dimanche d’hiver à la maison”

  1. Valentine

    La vie est bien faite! Des périodes sombres naissent les élans les plus créateurs.
    Tu as ce don, c’est tellement bon.
    Vive les brunchs. Sais-tu que tu m’as transmis le virus. J’adore.

  2. Anti

    « Des périodes sombres naissent les élans les plus créateurs. »

    Ta remarque me fait penser à un rituel dans le bouddhisme Bön, pendant lequel les pratiquants restent dans le noir pendant 49 jours afin de découvrir la lumière en eux, 49 jours étant hautement symbolique car cela rappelle le Bouddha ayant atteint l’illumination sous arbre de Bodhi (ou Arbre de l’éveil) sous lequel il y médita 49 jours ; on parle aussi de 49 jours entre mort et renaissance dans le Bardo.

  3. Anna Galore

    Ah oui, quel régal que ce marqueur joyeux dans nos menus ! La lumière, en effet, la diversité des goûts, sans la structure plus classique des repas « normaux ». Un moment festif qui, moi aussi, me fait penser aux petits déjeuners d’hôtels donc aux vacances.

    Et j’adore ce néologisme de Valentine, chamberlisoufflée 🙂

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