"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
« Elles étaient pourries sur l’autre face »
Faut pas le dire!
C’est courant pour les tomates trop arrosées.
On appelle cela maladie du » cul noir »
Je connais ce genre de problème et c’est désagrable
Merci pour l’info ! En effet, en regardant sur le net, ça correspond :
Le coupable: un arrosage en dents de scie
En fait, le problème est plutôt dû à l’incapacité de la plante à absorber le calcium présent dans le sol, et ce, malgré sa présence souvent abondante. Le calcium manque rarement dans les sols de jardin. Et cela est relié à un arrosage inégal. Si la plante manque d’eau pendant la période critique de formation des fruits, moins de sève atteindra le fruit et alors il manquera de calcium. Ainsi, la pourriture apicale s’installera.
Typiquement, la pourriture apicale survient quand la plante vit une irrigation en dents de scie. Soit des périodes de sécheresse suivies de périodes de pluie abondante ou d’arrosage intense.
D’ailleurs, la pourriture apicale est plus courante lorsqu’on cultive les tomates, les poivrons et les courges en pot. Le terreau s’y assèche rapidement, mettant la plante en danger de manquer d’eau… et donc de calcium.
https://jardinierparesseux.com/2019/08/03/pourriture-apicale-de-la-tomate/#:~:text=La%20pourriture%20apicale%2C%20aussi%20appel%C3%A9e,d'attache%20sur%20le%20plant.
Je tacherai de faire mieux dorénavant 🙂 Merci l’ami !