"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
On t’aura tenu la patte jusqu’au bout mon Mimi… Tu t’es éteint en douceur cette nuit, entre nous deux, après à peine plus d’un an d’amour et de bons soins partagés. Bon voyage au paradis des chats. ❤️❤️❤️
Aurevoir Mimi qui savait comme nul autre attraper la lumière.
Pensées pour les maîtres.
A pattes de velours, l’âme de Mimi s’est enfuie avec son étincelle de vie pour retourner à la Lumière, là où la maladie, la vieillesse et le chagrin n’ont pas de sens.
Aucune tristesse n’est assez forte pour cacher l’évidence de la Vie au plus profond des coeurs.
(mais après bien des années, j’ai malgré tout fugitivement le coeur serré lorsque je pense à Jivago, Noette et Tushita qui ont été les premiers, avant même les humains, à m’enseigner les rudiments de cette leçon.)