Le suspense a duré jusqu’au bout. Mais finalement, on a enfin eu hier de grosses averses et – tout aussi important – une baisse de la température d’une vingtaine de degrés par rapport à la veille. Du coup, la végétation resplendit et nous, on respire à nouveau.
Vers 3 h 30 du matin, il y avait eu quelques rares petites gouttes. Puis à 4 h 40, très fugitivement aussi. Et encore un peu à l’aube. Puis, le tonnerre a retenti en approchant de midi, suivi d’une belle averse. On s’est dit : « Espérons que ce n’est pas fini ». Ca ne l’était pas. Plusieurs vrais orages avec des trombes d’eau se sont enchaînés dans l’après-midi (dont un pendant que je faisais des courses mais j’étais super heureux de me prendre la saucée).
Concernant le réchauffement climatique qui s’emballe, j’ai vu un dessin génial de Pessin dans Slate. Il s’intitule « Nostalgie ». On voit deux enfants face à leur grand-père. L’un des deux dit : « Papy, raconte-nous les étés pluvieux ». Et le papy répond : « A l’époque, on disait pourris ».
Très belle journée à vous