Quand Harry a été confiné dans la maison pour cause de soins importants et urgents, nous vous disions que le garder enfermé ne serait pas facile avec un tel roi de l’évasion. La confirmation en est venue hier en début d’après-midi : Harry s’est évadé.

Après avoir tenter de grimper plusieurs fois sur notre sas en croisillons, après être sorti à deux reprises tout simplement par la porte restée ouverte (mais rattrapé presque aussitôt sans difficulté), il a opté pour une autre stratégie. Il a réussi à déplacer un empilement considérable de livres qui occultait la chatière. Cette fois, on ne s’en est aperçu que bien trop tardivement. Il avait disparu.

Cela dit, quelque chose me disait qu’il ne tarderait pas trop à se remontrer. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il avait bien apprécié d’être dedans avec nous.

Voyez plutôt :

Le seul problème, c’était quand. Il n’avait eu son traitement que pendant 9 jours au lieu d’un mois et il ne fallait pas l’interrompre pour avoir une chance de soulager son problème de bouche. En fait, ça n’a pas traîné. Vers 19 h 30, il était allongé tranquillement sur le gravier, près de l’escalier, avec ses potes. Du coup, il a pu avoir son traitement.

Inutile de l’enfermer à nouveau. Ces quelques jours ont dû lui donner une grosse envie de se stabiliser vraiment chez nous. C’est là qu’Anti s’est dit que, tant qu’à y être, on allait laisser les portes ouvertes en grand. Tanguy semblait n’avoir aucune envie de quitter la maison. Et, en effet, s’il a fait quelques pas dehors en voyant que c’était ouvert, il est vite revenu à l’intérieur pour avoir son énième repas du jour et quelques câlins de plus.

Tant mieux, on peut à nouveau créer des courants d’air dans la maison, ce qui, avec la canicule ambiante, est un vrai soulagement. Et pour couronner le tout, on a eu des bonnes nouvelles de Zaza qui va de mieux et mieux, et Morphée est repassé nous voir après avoir disparu pendant presque quarante-huit heures.

Très belle journée à vous