Il y a deux jours, au lieu de prendre un apéro standard, Anti a eu envie d’un très bon vin. Il y a une douzaine d’années, il m’arrivait encore d’acheter à l’occasion des bouteilles de haute qualité, une habitude que j’ai laissé tomber. Le temps passant, ma cave s’est vidée petit à petit et ce qu’il restait devenait probablement trop vieux pour avoir une chance d’être encore bon… mais ça ne risquait rien d’essayer.
Nous avons donc ouvert une bouteille de Yon Figeac 1998. On peut en acheter à un prix encore raisonnable. Forcément, quand j’en ai acquis une douzaine l’année de leur sortie, c’était moins cher.
Coup de chance, une fois ouverte : le précieux liquide était parfaitement conservé et son goût tout simplement divin. Après nous en être assurés, nous l’avons transvasé dans un flacon à décanter. Nous avons bu un verre devant la cheminée, puis nous avons poursuivi la soirée dégustation avec de délicieuses pâtes italiennes ramenées de notre périple de début août, accompagnées d’émincés de lupin, le tout revenu au wok en fin de cuisson avec du pesto.
Et le plus beau, c’est qu’il reste encore une autre bouteille du même vin et de la même année dans notre cave sortie de l’oubli. Valentine, Chef, on a pensé fort à vous !
Très belle journée à vous
Un bon repas accompagné d’un sublime nectar , tout pour passer une belle soirée !
Trop bien ton Yon Figeac! Ma parole, il se passe des choses étranges dans ta cave. Les vins font des petits…………….
Attendez que le Chef parte en piqué plongé dans notre cave. On a plein de vins, aucune idée de l’état dans lequel nous allons les trouver. Nous risquons d’avoir de belles surprises.
On met de côté………:-)
Les plaisirs simples de la vie je vous dis….