Nous étions donc à Bordeaux jeudi soir pour y déposer la pastichounette, mais aussi pour passer une super soirée avec Elodie (alias Elodaille), que Stéphanie (alias Stéfeunaille) connait depuis des années mais a rencontré pour la première fois en vrai. Car, c’est chez Elodie que sont imprimés tous les livres des Editions du Puits de Roulle.

Pour moi, c’était la deuxième fois. La première remonte à la fameuse Opération Parlement : j’étais parti de Nîmes avec mon Touran récupérer quelques centaines d’exemplaires de Corrida la honte directement à l’imprimerie pour les livrer à Paris le weekend précédent leur distribution aux 925 parlementaires français, un périple express de 2000 km en 24 heures. Les détails de cette anecdote sont racontés dans Corrida la honte 2e édition (en vente partout).

A l’époque, les locaux, très exigus, étaient bourrés à craquer et donnaient sur des rues étroites. Récemment, l’imprimerie a déménagé pour un bâtiment largement plus grand dans un parc arboré, où tout respire, les humains autant que les machines.

Mais pour revenir à notre soirée de jeudi, c’était grandiose. Elodie nous attendait avec des amies dans une brasserie face à l’opéra, tenue par, taddah, Gordon Ramsay en personne (il y a en fait une brasserie et une restaurant étoilé). Le tout à deux pas du restau de Philippe Etchebest – la concurrence est rude, surtout au plus haut niveau. Je me suis régalé d’un risotto aux champignons à base de grains d’orge, à se rouler par terre.

Je ne peux pas vous montrer les photos fort joyeuses prises dans un bar de nuit après le dîner, je sais que plusieurs personnes de chez Elodie vont certainement passer sur le blog (pas vrai, Anaëlle ?) et je sais me tenir. Un petit clin d’oeil affectueux à Winston avec la dernière photo.

Très belle journée à vous