Aujourd’hui, cela ne vous a pas échappé, c’est la Saint-Valentin. Comme la plupart des fêtes chrétiennes, elle cache sous des dehors proprets une fête païenne autrement plus explicite. En effet, dans l’Antiquité, on fêtait le 15 février les lupercales chez les Romains, en hommage à Lupercus, dieu de la fertilité. Il en était de même en Grèce, février étant le mois de l’éveil des sens juste avant l’arrivée du printemps. Autant dire que ça tournait vite à l’orgie la plus débridée, ce qui est difficilement compatible avec la morale chrétienne.

C’est ainsi que fut décidé au Moyen-âge de la remplacer par la fête des amoureux au cœur pur qui veulent s’échanger des mots doux et + si aff… et le saint le plus proche qui pouvait coller avec ça était Valentin, qui tombait le 14 février (sa fête, pas lui).

De nos jours, la Saint-Valentin est devenue, comme Noël (autre fête païenne remaquillée chrétienne grâce à quelques « ajustements ») une célébration avant tout romantique et, forcément, commerciale. Le symbole reste beau pour les jeunes amoureux, à commencer par notre très admiré et très aimé capitaine Paul Watson, qui va se marier aujourd’hui à Paris (Saint-Valentin + Paris = romantisme total pour une large partie de la population de la planète).

Pour Anghbor, cette Saint-Valentin sera à 1000% romantique, avec sa chérie et ça nous fait fondre. Il a choisi un cadeau parfait, délicat, sensuel, fondant aussi même s’il peut en même temps être craquant : du chocolat. Bravo, petit, tu fais un sans faute, tu es classe, tu rayonnes et, que tu le veuilles ou pas, on t’embrasse !

Très belle journée à vous