Le weekend a été intense, comme annoncé. On boucle le manuscrit de la seconde édition de « Corrida la honte », alias CLH2. Samedi, je suis parti me coucher vers minuit mais Anti a continué jusqu’à 4h30 du matin. Dimanche, la séance de corrections a commencé vers 11h et n’a connu que de brèves pauses, le temps de manger un peu et de se détendre avant de replonger jusqu’à tard le soir.
Beaucoup de passages sont entièrement nouveaux (plus de cent pages) et ils demandent la plus grande attention pour ne pas laisser échapper d’éventuelles fautes de frappe ou répétitions – il y en a toujours. Mais il y a, de plus, tous les ajouts et tous les perfectionnements apportés au texte de la première édition.
Et là, l’incroyable talent d’Anti à aller chercher sur internet le document improbable ou le détail qui tue est sans limite. Cela a permis, au passage, de corriger quelques imprécisions qui nous avaient échappées jusque là. Au total, ce sont des centaines de modifications qui ont été apportées un peu partout, depuis la virgule manquante jusqu’aux textes détaillés, depuis la note de bas de page qui étaye un peu plus le propos jusqu’aux développements les plus construits.
Nous devrions boucler dans la journée. Ensuite, les fichiers seront envoyés à l’imprimeur. A partir de là, nous aurons une idée assez précise du délai pour recevoir le bon-à-tirer (premier exemplaire imprimé de CLH2 pour ultime relecture), puis le tirage et enfin, la date de livraison.
Très belle journée à vous
C’est un travail titanesque avec la mise en place de cette nouvelle formule chimique ☺
Et bon vent ☺ si l’on peut dire.
Quel travail! Mais Charlot veille 🙂
Le CLH2 va déchirer sa race.
« Le CLH2 va déchirer sa race. »
Grave ! C’est ce que je me disais pendant la relecture 😉
« mise en place de cette nouvelle formule chimique ☺ »
CLH2 sera hautement corrosif 😉
Et qui c’est qui va se bouffer les doigts jusqu’aux coudes pour avoir attaqué CLH1 en justice, en avoir fait interdire la couverture, et de ce fait avoir généré cette opportunité de CLH2 ?
Bravo le monde de l’aficion, ça porte un nom : du sado-masochisme.