Voilà bien longtemps que je n’ai pas repris sur le blog un des courriers de Jean-Gabriel sur les treizaines. Voici le dernier, qui date du 18 octobre dernier.
Pendant la treizaine Ocelot (liée principalement à l’exploration des milieux, au monde maternel, à la lune et à la prédation), voici les principaux thèmes :
* Les rejets violents qui se sont déroulés (et se dérouleront pendant cette treizaine de prédation) mettent en évidence qu’il faut réorganiser ses relations et les règles de vie pour ne pas se faire bouffer ou bouffer autrui.
* Si on est rejeté d’un milieu violemment, pourquoi donner le meilleur de soi à des personnes qui n’en profitent pas ? Si on est bon footballeur pourquoi proposer ses talents à un orchestre de cornemuse ? Si on est compétent pourquoi le faire valoir auprès de « bras cassés » ? Ils se sentent insultés. Et si on n’est pas compétent, alors quel est notre véritable talent et avec qui l’exercer ? Avec qui est-on véritablement compatible ?
* Si on souffre dans ses relations, autant reconnaître que les cicatrices des maladies du passé sont en train de dévorer la santé du présent.
Redéfinir cette dernière et reconnaître le pouvoir de celles du passé afin de retourner cette énergie captive pour lui donner une forme nouvelle.
Cordialement,
Bonne soirée,
Anti
Toujours aussi fort, ce cher Juan-Gabriel !
Je suis contente que tu reprennes les courriers de Jean-Gabriel sur les treizaines qui sont toujours très intéressants.
« … qu’il faut réorganiser ses relations et les règles de vie pour ne pas se faire bouffer ou bouffer autrui. »
Ocelot, mon frère, je te vénère…..Pan dans le mille, je te reçois 5 sur 5, je suis en pleine réorganisation quant à l’aménagement de ma sphère privée.
Bizatoi Anti 🙂
Oui, moi aussi je suis contente de les reprendre 😉 Il est toujours aussi fort le Juan Gabriel. Il faut dire que nous sommes à une période charnière, ce qu’il expliquait très bien dans un de ses précédents courriers :
http://parolesdesmondesanciens.over-blog.com/article-courrier-du-8-octobre-2014-124745257.html
Pourquoi une telle succession d’événements si puissants au même moment ? Dans les calendriers de l’Ancien Mexique, on trouve de nombreux calendriers imbriqués les uns dans les autres. Ils comportaient plusieurs formes d’année, de durée inégale.
Parmi elles, l’une de 260 jours ( 9 mois) appartenant au calendrier divinatoire commencée pour 2014 le 16 janvier et se terminant le 2 octobre ; et une autre de 365 jours démarrant le 12 février.
Depuis de nombreuses années, j’observe qu’à chaque fin et début d’année de 260 ou de 365 jours, chacun est violemment invité à faire le point et à mettre de l’ordre dans ses rythmes vitaux et relations. Ces moments sont comme des portes à franchir pour permettre d’entrer dans un nouvel espace où les lois de fonctionnement sont semblables, mais différentes et décalées :les repères sont sensiblement les mêmes, mais plus au même endroit.
Le même genre d’événements se produira comme chaque année en fin janvier et début février. Et c’est pourquoi s’organisent Loges et ateliers : pour franchir ces portes en bon état ce qui implique de s’ouvrir à plus de possibles qu’on l’imagine.