Vous savez dire dix fois à toute vitesse « panier piano » ? Essayez, vous aller voir. C’est presque aussi dur que « pruneau cuit pruneau cru ». Et si vous en cherchez d’autres qui changent un peu de « les chaussettes de l’archiduchesse sont-elles sèches archi-sèches » », relisez donc ce petit mot d’accueil mis en ligne fin 2008 : Virelangues et coquecigrues.
Bref, tout ça pour dire que, hier avec Enzo, nous avons fait un petit tour chez Décathlon pour acheter un panier de basket. Mais on y est allé piano, sans se presser. Auparavant, on avait regardé les prix sur internet et tout. Surtout, pas de précipitation. Hé bien on en a trouvé un de bonne qualité pour quasiment le même prix que sur le net (quelques euros de plus à peine, mais pour ce petit supplément, on pouvait repartir avec au lieu d’attendre qu’il soit livré).
Ensuite, il a fallu percer huit trous dans le béton du mur qui borde le petit escalier menant à la terrasse. Un jeu d’enfant, si j’ose dire, même si le vrai jeu d’enfant était celui que j’accrochais au mur, enfin bref. Quelques tours de tournevis plus tard, Enzo a pu passer à l’essayage, vite rejoint par Anti car il n’y a pas d’âge pour s’amuser.
Et hop, panier piano ma non troppo !
Très belle journée à vous
ils ont le même coup de poignet !
bravo p’tit bout , joli panier ^^