Les personnes avec qui nous étions hier seront probablement surprises que je ne raconte pas ce matin ce que nous venons de vivre ensemble. Ce sera pour un peu plus tard, ce n’est pas à moi d’en parler en premier.
Ce matin, donc, il ne sera question que de ma satisfaction toute simple à avoir retrouvé la superbe technologie que Sony rend accessible à tout un chacun avec son DSC-HX50. J’ai reçu mon nouvel appareil photo samedi, deux jours plus tôt que prévu, alors que nous étions sur le point, Anti et moi, de quitter la maison en début d’après-midi pour aller prendre le train direction Paris où nous avons passé 24 heures avec un programme très chargé (même pas eu le temps d’aller voir mes parents, c’est dire).
Concernant mon APN, je dis « retrouver » parce que j’avais quasiment le même boitier jusqu’à fin octobre, un modèle un peu moins performant mais très comparable. Cela, ça a été mon premier plaisir, celui d’être immédiatement à l’aise avec le fonctionnement de mon joujou puisque l’interface est identique pour l’essentiel.
Les améliorations principales sont un zoom beaucoup plus puissant (toujours avec une qualité optique impressionnante pour ce type d’appareil), une molette très pratique pour appliquer une correction de +/- deux diaphragmes à tout moment et une fonction wifi qui permet entre autres de télécommander les prises de vues avec un smartphone (ça, je ne l’ai pas encore utilisé).
Après avoir consacré ma toute première nouvelle photo à Anti dans le TGV à l’aller, j’ai pris quelques photos dans les rues de Paris : la mairie du XIe arrondissement avec encore des éclairages de Noël, Anti faisant le clown dans un petit restau indien où nous étions avec des amis, une dame se préparant à dormir dans la rue avec son enfant juste devant la vitrine d’une boutique de produits de luxe affichant le mot « Soldes » soudain obscène, une autre tenant un gigantesque Z gonflable dans le métro et un voyageur profitant de l’aubaine d’un piano posé en pleine gare de Lyon pour jouer avec brio « It’s a beautiful day ».
Et ce patchwork improbable décidé par le hasard de nos pas racontait le pire et le meilleur de la ville.
Très belle journée à vous