Quand on regarde le monde, où tant de gens ont pour premier souci de simplement survivre, tant d’animaux soufrent de ce que tant d’humains leur font subir sans même y penser, quand on voit le règne végétal blessé par nos actions irresponsables et le climat déréglé cherchant un nouvel équilibre dont nous ne serons pas… Quand on essaie d’agir pour que la vie soit plus belle, puisqu’après tout, tout cela ne dépend que de chacun d’entre nous…
Quand on élargit ses perceptions pour quitter l’éphémère, qu’on se sent à la fois un atome de Gaïa et tout Gaïa, une partie du grand tout et le tout, une particule parmi des milliards de milliards et l’univers tout entier, une étincelle fugace et le hurlement sans fin du big bang, un souffle et une éternité…
Quand l’esprit s’échappe des limites physiques et flotte librement d’un bout à l’autre du cosmos, d’un bout à l’autre de tout ce qui est, a été et sera…
Quand le temps redevient ce qu’il est et non une illusion créée par notre cerveau pour donner un sens au peu que nous percevons…
Quand on ressent tout cela, seul reste l’essentiel.
Très belle journée à vous
Des pensées profondes et des phrases qui interpellent.
Je réfléchis : c’est quoi « l’essentiel » ? Quelle définition lui donner ?
Très bonne question ! Je ne sais le définir qu’en creux : l’essentiel, c’est ce qui reste quand on a éliminé tout ce qui est secondaire, fallacieux ou illusoire.
Hummm… oui… , merci Anna.