En musique, un interlude est une petite pièce instrumentale jouée entre deux morceaux plus considérables. J’ai trouvé cette définition dans Wikipedia et elle reflète bien ce qu’est ma note de ce matin : un simple petit intermède pour vous faire patienter pendant que je prépare un nouvel article de fond, dont j’ai déjà rassemblé la documentation mais qui nécessite encore pas mal de boulot de rédaction.

Je ne vais pas vous révéler le sujet précis tout de suite, si ce n’est pour vous dire qu’il a un rapport direct avec la cause animale. Son idée m’est venue à la suite du film A.L.F., qui soulève de vraies questions de fond sur certains aspects que je n’avais pas, jusque-là, analysé aussi loin qu’ils le méritaient.

Il me semble primordial, dans le texte que je prépare, que tout ce que je vais y exposer soit solidement étayé et indiscutable, non seulement auprès de ceux qui sont sensibles à cette cause mais surtout aux yeux de ceux qui n’en pensent rien ou, pire, pensent que rien ne justifie de changer quoi que ce soit à la façon dont se passent les choses.

C’est pourquoi je ne vais utiliser que leurs propres arguments pour démontrer ce que je veux démontrer, à savoir l’irrationalité la plus totale de ce qu’ils présentent comme un processus rationnel et donc, la nécessité urgente qu’ils auraient tous à abandonner la voie qu’ils suivent.

Pardonnez-moi d’être aussi elliptique mais, je le répète, je ne veux pas pour le moment vous en dire plus sur la nature exacte du sujet que je vais traiter.

Pour illustrer cet interlude, rien de mieux que nos amis les chats dans un moment de quiétude parfaite.

Très belle journée à vous