Le rythme semble s’installer. C’est la troisième fois de suite que mes livres accumulent 100 000 lecteurs de plus par tranche d’une vingtaine de jours. Et les voici depuis hier à plus de 1 800 000 en total cumulé. J’en viens à me dire que je ne vais plus annoncer chaque centaine de mille, si c’est comme ça toutes les trois semaines.
A partir de 2 000 000, je me cantonnerai à une note dédiée seulement tous les 250 000, surtout si l’accélération de la pente continue. Et a priori, elle n’a aucune raison de ralentir.
Comme lors des fois précédentes, les locomotives sont mes trois livres érotiques – les deux recueils de nouvelles et le roman Les neuf sœurs. Ils font largement la course en tête. Et ils ont le bon goût de ne pas oublier les autres en route, puisque je constate une augmentation des scores de chacun des autres ouvrages. Je suppose que ceux qui ont aimé mes histoires sensuelles ont eu envie d’aller ensuite à la découverte de mes autres écrits.
A propos de sensualité mais sur un mode nettement moins torride (quoique…), je ne sais pas chez vous mais ici, dans le sud, l’été n’en finit pas de s’étirer. Même si les matins ont des températures largement de saison qui nous font porter à nouveau vestes en laine et manteaux, la chaleur nous met bras nus à partir de 11h ou midi.
Hier, pendant la pause déjeuner à la maison, le changement s’est produit si rapidement qu’Anti s’est réfugiée sous le parasol avant même d’avoir eu le temps d’enlever ses chaussettes. C’est dire.
Les chats aussi préféraient l’ombre, même les petits qui jouaient à cache-cache à travers les branches des arbustes. Il a fallu attendre après 16h pour qu’ils recherchent à nouveau le soleil avant le frais du soir.
Et pour une fois, on ne va pas se laisser surprendre à attaquer l’hiver juste quand la cuve à fuel se retrouve à sec, forcément lorsque l’un ou l’autre est en train de prendre sa douche qui vire au glacé. Pas cette fois, que nenni. Oui, parfaitement, j’ai anticipé. Le précieux (trop précieux) carburant nous sera livré jeudi matin. Nous verrons passer le 1 900 000e lecteur bien au chaud.
Comme vous pouvez le voir, l’ambiance est au no-stress total. Nous profitons des bons moments de la vie. Tiens, le plus petit de nos deux minuscules oliviers vient de sortir ses premières olives – cinq vertes et une beaucoup plus mûre, noire. Un jour, quand ils seront grands, on dormira sous leur ombre. Ah, le Sud…
Très belle journée à vous
« A partir de 2 000 000, je me cantonnerai à une note dédiée seulement tous les 250 000, surtout si l’accélération de la pente continue. »
Eh bien ! Quelle belle continuation pour cette aventure qui a commencé il y a un peu plus de cinq ans maintenant. Je suis vraiment heureuse pour toi Anna et j’attends avec impatience de lire ton prochain roman, bon, ton prochain chapitre…
« et pour une fois, on ne va pas se laisser surprendre à attaquer l’hiver juste quand la cuve à fuel se retrouve à sec »
YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESSSSSSSSSSSSSSSSSSS ! En voilà une nouvelle qu’elle est bonne ! Pas de douche glacée, pas de soirée grelotante sous la couette ! Youpie !!!
« Nous profitons des bons moments de la vie. »
Oui, et là, pas de modération !
anti, merci la vie, et surtout merci à toi ma chérie.
« j’attends avec impatience de lire ton prochain roman, bon, ton prochain chapitre »
Oui, il est vrai que j’ai laissé mon manuscrit en cours en plan depuis mai ou juin dernier sans savoir comment le poursuivre. Question d’état d’esprit et petits soucis du quotidien qui se sont accumulés à ce moment-là…
C’est drôle, j’en parlais justement avec Frances, une romancière britannique qui vit en France et avec qui j’ai discuté à Codognan lors de la journée du livre. Elle me parlait d’un de ses manuscrits arrêté en plein milieu de rien, au début des années 80, et qu’elle n’a jamais terminé depuis – mais elle en a écrit plein d’autres.
Et je lui ai, du coup, parlé du mien en lui disant que je trouvais très amusante et métaphorique la scène à laquelle je venais d’arriver et sur laquelle je bloquais : deux voitures qui se poursuivent s’arrêtent au milieu d’une route. Nos héros ne savent pas quoi faire. Et moi non plus, à l’arrêt au milieu de la route qui conduit vers la fin du roman !
Ce que je veux éviter, c’est de poursuivre en déroulant une intrigue purement technique d’un point de vue écriture. Soit je trouve quelque chose d’original, soit je préfère ne rien écrire. Alors voilà, comme j’ai tout le temps que je veux et aucune obligation de rendre ma copie, je laisse reposer dans un coin de mon cerveau, l’idée viendra bien à un moment ou un autre.
A quand l’huile d’olive du Puits de Roulle? Et aujourd’hui, sans les chaussettes la pause « parasol », parce que avec, ça la fout mal 😉
En fait, aujourd’hui, il pleut, donc c’est plutôt sans parasol mais avec chaussettes !!! 🙂
Quoi il pleut et chez nous il fait beau tac, pas toujours les mêmes non mais !
Ca y est l’ourson anniversaire a été dégusté par les mômes, j’ai donné une part aux parents et une part à la voisine qui m’a gentiment prêté son moule.
Pendant qu’ils dormaient j’ai mes truffes de chataignes.
Je prends des photos et hop direction chez Anna.
Bonne fin de journée à tous
hi hi hi je me croyais dans bonjour bof po grave hein Anna ?
Naaaan pas grave du tout !!! Tu es ici chez toi 😉
Et j’ai bien reçu les photos, je les mets en ligne d’ici peu, promis !
Rien que d’imaginer les photos, j’ai l’estomac tout chamboulé !
anti, gourmande !