Alors qu’Anti bossait d’arrache-pied sur la mise en page et les corrections du prochain livre qu’elle va éditer et que les commandes pleuvaient pour Le racisme anti-blanc (et aussi pour une de mes trilogies), j’ai eu l’impression que ma journée s’étirait sans bouger ou presque à cause de la disparition temporaire de mon site web.
J’ai pu remonter dans la matinée à la cause du problème, une décision intempestive de mon ex-hébergeur qui continue à gérer mon nom de domaine de tout suspendre alors qu’il était encore valide jusqu’au 20 mars. Je n’ai pas voulu tergiverser et argumenter avec lui, la discussion se faisant uniquement par mails interposés et ses réponses n’ayant rien de rapides. J’ai préféré régler aussi vite que possible la facture de renouvellement afin que le site réapparaisse aussitôt que possible.
Le réseau mondial étant gigantesque, il a fallu attendre encore cinq heures pour que la réactivation devienne effective. Bon, pas de stats pour les dernières 24 heures, ce n’est pas grave. Mais ce qui m’énervait, c’était de savoir que, pendant toute la journée, des centaines, voire des milliers, de tentatives d’internautes pour accéder à mes livres et surtout à leur version audio étaient en train d’échouer.
Un incident sans conséquences réelles, cependant. Avec la mise en ligne des six autres romans d’ici demain, j’aurai l’occasion de contacter à nouveau les associations de personnes non-voyantes pour leur dire que tout est de nouveau sur pied.
Sinon, l’après-midi a été animée joyeusement par la venue d’un copain d’Enzo et par les allées et venues des chats, les permanents comme les visiteurs. Nénette entre désormais dans la maison sans aucune crainte, même quand on est sur sa route pour rejoindre l’assiette de thon. Faux-Che ne se laisse toujours pas approcher mais aime à prendre le soleil sur le perron. Brisou fait comme chez lui. Metallica est toujours aussi belle, les frangins Santiago et Che toujours aussi câlins et Paloma toujours aussi distinguée dans sa démarche. Mirou règne en chef de meute indolent. Le tout sous un soleil superbe.
Le weekend approche, le printemps est là, nous sommes heureux.
Très belle journée à vous
Et un et deux et trois et quatre, cinq, six, sept, huit …Et oui ! C’est ce que je disais, le plus dur c’est de passer de un à deux, après ça va tout seul !!!
Mdrrr ! Je savais que tu allais dire ça !!!
ooooh elle est trop choupinette :3 minouninouninou