D’un bord à l’autre de l’horizon, le ciel hésite entre beau et couvert. Les brumes matinales se croient les plus fortes. Elles partent à l’assaut des nuages, qui les ignorent et s’effilochent en pluies fugitives dispersées bien avant d’atteindre le sol.
D’un bord à l’autre des millénaires qui s’écoulent, la Maison Carrée s’est fait refaire une beauté et défie le temps. Les immeubles qui l’entourent la regardent avec envie. Ils ne vivront jamais aussi longtemps qu’elle.
D’un bord à l’autre du salon, Mirou a trouvé l’endroit idéal. Coussin rouge ou fauteuil en osier ? Ni l’un ni l’autre. Il préfère rester confortablement allongé sur le tapis épais. De là, il n’a rien derrière lui et il peut voir tout ce qui se passe devant, dans le séjour, depuis les chats qui montent et descendent par l’escalier en colimaçon jusqu’à ceux qui jouent sur la table en chêne ou sommeillent sur les chaises.
D’un bord à l’autre du ciel, la ville s’éveille sous un trait de feu pendant que les nuages font des volutes à l’infini partout autour de la Terre. D’un bord à l’autre de l’année, tout recommence et rien n’est pareil.
Très belle journée à vous
Trés belles photos qui inspirent le calme et la sérénité, tout ce qu’il faut pour demarrer la journée.
D’un bord à l’autre de mon écran ; que de belles photos !
Magnifiquement mise en valeur de la Maison Carrée dans son écrin bleuté!
Mirou, l’oeil de Moscou, veille!
Vos ciels Nîmois sont décidément superbes!
Et comme dit notre ami Sètois : les copains d’abord ! Ah l’autre !
anti, brassage express.
Coquin de sort !