Bon, écoutez, c’est pas pour dire mais là, c’est l’heure de faire dodo. Enfin, pas là, maintenant, au moment où vous lisez ces mots. Je sais bien que c’est le matin et que vous venez tous de vous lever. Non, moi, je parle de là, maintenant, au moment où j’écris ma note d’accueil.
Il est dans les 21h59 et ça commence à faire tard, voyez. Je ne dis pas ça dans l’absolu, hein. D’habitude on se couche plutôt autour de minuit, pas avant. Sauf que ce soir, c’est à dire hier soir pour vous quand vous serez en train de me lire, ce soir, donc, nous, ben on est limite avec les yeux qui se ferment tous seuls.
C’est à cause de nos vacances dans les Alpes. On a rejoint notre lit vers 3h du matin. Bien sûr qu’à cette heure-là, après cinq heures de route aller-retour, je n’allais pas me mettre à écrire mon mot d’accueil. Du coup, pour qu’il soit prêt pour 8h30 comme d’hab, j’étais debout à 6h pour l’écrire, choisir les photos, les recadrer, les insérer dans le texte et programmer la mise en ligne pour l’heure dite. En cours de route, à 6h30, j’ai réveillé Gwlad (elle préfère se lever un peu tôt pour se préparer sans speeder), puis à 7h, juste quand je finissais de boucler ma note, j’ai réveillé Dorian. Ensuite, j’ai lancé un café pour Anti qui dormait à poings fermés, je l’ai posé sur sa table de nuit, j’ai filé sous ma douche, pris mon petit dèj, regardé un bout de Télé Matin et hop, c’était 7h35, l’heure de partir au collège pour y déposer les enfants. Retour à 8h et seconde tentative de réveil d’Anti complètement dissimulée sous la couette sauf le pied droit. Cette fois, elle s’est marrée et a ouvert les yeux. Dans un état disons cotonneux, elle est venue me rejoindre sur le canapé pour écouter les infos. Ensuite, c’était l’heure pour moi d’aller au boulot et pour elle aussi, même si elle restait sur place. On s’est retrouvé pour manger ensemble à midi sur la terrasse (oui, oui, il faisait encore beau), ensuite re-boulot, retour à la casa, activités diverses, repas du soir et là, allez savoir pourquoi, grand coup de barre.
Ah ben oui, seulement trois heures de sommeil sur les trente-six dernières, ça finit par se faire sentir. Mais cela dit, pendant toute la journée, c’était la super patate et l’euphorie permanente. Les souvenirs de la nuit d’avant à Grenoble avec Ole y étaient pour beaucoup. Et puis, quand on manque de sommeil, on se sent soit raplaplat, soit hyperactif. Nous, on était dans ce dernier cas.
Voilà pourquoi ce soir, à 22h14 (le temps que j’écrive ce qui précède), on va clore la journée et se faire une méga nuit de sommeil jusqu’à facile 6h30. Cette fois, j’ai pu préparer ma note la veille, pas besoin de me lever avant l’aube. Pour une vraie grasse mat’, faudra attendre un jour de plus mais là, déjà, on va en profiter un max. Allez, dodo ! Mmmmmh…
Très belle journée à vous
« Allez, dodo ! Mmmmmh… »
Je le dis comme je le pense : vivement ce soir qu’on se couche !
anti, mode pré hibernation
Ouh là ! là ! Mais c’est le soir !!! Youpie !!!
Bonne nuit les petits !
anti, pom pom pom, pom, pom, pom, pom, pom, tam ta da da da da dam.