5 Replies to “Feu”

  1. valentine Post author

    Les arènes en feux, bien joli spectacle 🙂 Bon 14 juillet à mes chers compatriotes. J’aurai l’occasion de voir ceux d’Evian ce soir depuis ma terrasse…

  2. Anna Galore Post author

    C’était très chouette, avec énormément de monde sur le parvis devant les Arènes. Le spectacle a duré une vingtaine de minutes.

    Sur le dernier tableau jusqu’au bouquet final, la musique était une reprise très originale de « Stairway to heaven » par des guitaristes talentueux dont j’aimerais bien retrouver qui ils pouvaient être (je dirais à vue de nez Paco de Lucia accompagné de quelques autres du même acabit).

  3. anti Post author

    J’ai adoré cette soirée ! En fait, j’aime me sentir en osmose avec les éléments et là c’était tout feu tout flamme, les corps vibraient sous les coups des grondements environnants ! Parfait !

    Je suis très sensible à ces spectacles même si j’y assiste de moins en moins souvent. En revanche, ce que je viens de lire sur Wiki me refroidit un peu :

    * Impact environnemental

    Les feux d’artifice contiennent aussi de nombreux produits classés toxiques et/ou polluants. Un spectacle de pyrotechnie relâche une quantité d’éléments traces tels que le baryum, le strontium et autres dans les cours d’eau près desquels il a lieu, ce qui peut avoir des effets sur l’environnement. En effet, souvent tirées vers l’eau, les fumées issues des explosions pourraient avoir des impacts sur la santé des spectateurs et des écosystèmes. Bien qu’il ne semble pas y avoir eu d’études poussées sur cette hypothèse (on peut néanmoins mesurer l’ampleur de la contamination du milieu naturel en utilisant un test d’inhibition de croissance d’algue[2]), des indices évocateurs sont apportés par les stations d’alerte et de mesure de la pollution de l’air.
    Par exemple, l’une des trois plus fortes concentrations horaires (le record) de particules fines (PM) mesurées à Montréal par le RSQA[3] (162 µg/m3) correspondait à une soirée de l’été 2002, où (à 22h) le vent soufflant dans une direction inhabituelle a poussé la fumée d’un feu d’artifice tiré sur l’île Sainte-Hélène vers une station de mesure de la pollution de l’air située à l’Est de Montréal[4]. Certains[5] craignent que des tirs répétés sur les mêmes sites ne finissent par contaminer les sols ou milieux aquatiques. Hafner Rudolf a en décembre 1989 en Suisse déposé une motion devant le parlement, rappelant que Certains composants des feux d’artifice appartiennent aux classes de toxicité 2 et 3 et polluent l’air et le sol et demandant des études et plus de précaution ou de règlementation notamment pour les usages de petits feux d’artifice par le grand public. Le programme d’étude CHAF ([1]), financé par l’union européenne et principalement conduit par les organismes gouvernementaux hollandais (TNO) et allemand (BAM), a cependant rappelé qu’aucune pollution des sols n’avait été constatée après les accidents de Kölding et Enschede. Accidents durant lesquels plusieurs centaines de tonnes d’artifices de divertissement avaient brulé dans des dépôts durant plusieurs dizaines d’heures.

    Les feux d’artifice sont aussi à l’origine de nuisances sonores en étant de plus en plus utilisés par des particuliers à d’autres occasions que les grandes fêtes nationales.

    « la musique était une reprise très originale de « Stairway to heaven » par des guitaristes talentueux dont j’aimerais bien retrouver qui ils pouvaient être  »

    Un début de piste peut-être ici :
    Allez découvrir les 101 versions de Stairway to Heaven : http://vronski.over-blog.com/article-10346399-6.html

    anti

  4. Anna Galore Post author

    « Impact environnemental  »

    Effectivement, ça calme !!!

    « Allez découvrir les 101 versions de Stairway to Heaven »

    Bon ben y a plus qu’à fouiller 🙂

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