Des pics de téléchargements et des démarrages rapides pour un nouveau livre, j’en ai vu d’autres. Mais aucun ne s’est approché de celui que vient de connaître J’ai treize envies au bout de quinze jours seulement de mise en ligne qui ont pulvérisé pas mal de records antérieurs.
– Le recueil a cumulé plus de 13 000 lecteurs entre le 14 février et le 28. C’est autant que La veuve obscure en neuf mois ou que Les neuf sœurs en cinq mois. Il y a eu certains mois récents où le cumul mensuel de tous mes romans n’atteignait pas ce nombre.
– Les téléchargements sont venus de 71 pays différents (voir la liste ci-dessous). Habituellement, il y en a une quarantaine par mois. Pour 18 d’entre eux, ils ont fait leur meilleur score jamais atteint (et pas seulement les pays fortement francophones).
– Les internautes ont également téléchargé en grand nombre plusieurs de mes autres romans, surtout la première trilogie qui a, elle aussi, battu tous ses records précédents. Là, au-delà de la simple notoriété liée à mes romans, il s’agit à mon avis, de deux effets conjugués : la curiosité de découvrir sur le site d’autres livres que J’ai treize envies et la mise en ligne des formats eBook (10 à 45% des trilogies téléchargées suivant qu’il s’agisse du Très lumineux secret, de Reflets inachevés ou de L’éternel amoureux errant – dans cet ordre).
– Au total, les neuf romans + le recueil ont cumulé un peu plus de 30 000 lecteurs dans le mois, soit deux fois plus que le mois dernier.
Pourquoi un tel succès par rapport à mes autres livres ? L’érotisme est un thème qui attire un public large, c’est certain, mais ce n’est pas tout. Anti pense que le fait de rendre disponible un recueil érotique en téléchargement gratuit en a certainement augmenté considérablement l’attrait. Il y a, bien sûr, des gens pour qui lire un livre érotique ne pose aucun problème. Mais beaucoup n’osent pas acheter ouvertement ce genre de littérature, surtout s’ils ont une vie de couple (que va en penser le conjoint – que c’est excitant ou que c’est inquiétant ?). Avec J’ai treize envies, la question ne se pose pas : le livre est téléchargé en quelques secondes sur le PC, le e-Reader ou le smartphone et il peut être lu n’importe où en toute discrétion, même au boulot. De plus, son accessibilité le rend facile à recommander et il peut même être transmis par mail en fichier attaché aux copains-copines friands de « bons plans ».
Est-ce un pic ou une tendance qui va perdurer ? Les chiffres des prochains mois le diront !
Très belle journée à vous
« Mais beaucoup n’osent pas acheter ouvertement ce genre de littérature, surtout s’ils ont une vie de couple (que va en penser le conjoint – que c’est excitant ou que c’est inquiétant ?) »
Vu sous cet angle, le couple est très mal barré…
C’est un connaisseur qui vous parle !
Heureusement, le conjoint « frustré » a souvent le bon goût de redonner sa liberté à sa moitié « perdue »…
Tous les espoirs lui sont donc permis…
« Vu sous cet angle, le couple est très mal barré… »
Je suis bien d’accord. Mais c’est une réalité plutôt courante quand on voit qu’un couple sur deux se sépare. Heureusement, cela veut aussi dire que l’autre couple sur deux va, lui, parfaitement bien et sait se régaler de tous les plaisirs de la vie – y compris, celui-ci.
Donc, si je résume, il y a deux sortes de personnes en couple qui aiment la littérature érotique :
– celles qui se sentent bien dans leur vie de couple
– celles qui ne se sentent pas bien dans leur vie de couple.
Ce qui veut dire que « J’ai treize envies » n’a pas fini d’être lu !!!
A mon avis, il aurait mieux valu écrire « 14 envies », ça se divise par deux et comme un couple sur deux se sépare, chacun pourrait repartir avec ses envies… Mais comment départager les envies communes ? Les Juges aux Affaires Familiales ont déjà la lourde tâche de dire à qui reviendra Médor ou Pussy Cat… Va t’on en plus leur infliger la répartition des contes érotiques ? Et à partir de quels critères ? La Magistrature « debout » saura t’elle se montrer impartiale, par rapport aux Juges assis derrière leurs bureaux ? Verra t’on, ça et là, prospérer des travaux pratiques au gré des Greffes ? Et qui sera en mesure de juger les Juges sur leurs Jugements forcément entachés de leurs expériences personnelles ? (Le nettoyage de la robe est à 10 € tout compris)…
Anna, tu as ouvert la porte à Pandore (ce charmant garçon qui n’arrête pas de foutre le bordel dès qu’on lui enlève son bracelet électronique breveté Sarkofeux)…
« j’ai 14 envies » du coup y a plus le jeu de mots.. en même temps… o.O enfin j’crois.. « j’ai cat horse envies ».. nan ça marche pas ça veut rien dire… « j’ai, qu’à tord, envie » à la limite.. mais là ça va à l’encontre de l’idée directrice du livre :/
Ah, mais on n’est pas là pour jouer avec les maux…
L’Auteur n’est tenu à aucune obligation de bonne fin (pas même de moyens)… Les plaignants ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes en cas d’inexécution des prestations, qu’elles soient tarifées ou gratuitement rémunérées, avec intérêts de retard. Chaque partie fera son affaire des accessoires qu’elle jugera indispensables à toutes fins utiles, sans préjudice des droits des tiers.
Magnifique tout ça !
anti, fière de toi.
Eros, j’ai !
La Anna
Bravo Anna !
Coool ! je suis bien contente pour toi, Anna !
Perso, j’ai effectivement glissé un mot ou deux à mon brother… Comme ça, quoi ! Faut parler des choses qu’on aime et qu’on trouve bien !!! 🙂
Ah ! Ah ! Oui ! On a eu le plaisir de le lire hier sur le blog le petit Maximilien 😉
Bonjour madame !
anti
Ca continue à cartonner pour « J’ai treize envies ». Chacun des romans de ma dernière trilogie viennent d’être battus en nombre de téléchargements :
– « Le septième livre », en ligne depuis 16 mois et demi, a été dépassé au bout de 22 jours
– « La veuve obscure », en ligne depuis 8 mois et demi, a été dépassé au bout de 18 jours
– « Les neuf sœurs », en ligne depuis 6 mois, a été dépassé au bout de 21 jours.
Si le rythme se maintient, ce sera au tour des trois volets de « Reflets inachevés » (mis en ligne entre mars 2007 et janvier 2008) d’être rattrapés d’ici… la fin du mois !