Est-il sage de signaler notre présence à d’éventuels extraterrestres hostiles ? C’est la question dont ont débattu des scientifiques réunis à Londres lundi dernier, à la Royal Society (académie des sciences).
« Beaucoup de messages sont «responsables, mais je m’interroge sur certains autres trucs qui sont transmis», a déclaré Albert Harrison, professeur de psychologie sociale à l’Université de Californie. Et d’énumérer: «des photos de célébrités, de deux candidats politiques -l’un identifié comme bon, l’autre comme mauvais-, des publicités alimentaires, des lettres d’amour de rock stars… Lorsqu’on commence à émettre et à attirer l’attention sur nous, il faut faire très attention à l’image qu’on donne. Nous pouvons apparaître comme une menace pour eux», s’inquiète-t-il.
Faute de preuve de l’existence d’extraterrestres, ces tentatives de communication risquent d’être une perte de temps, estime pour sa part l’astrophysicien européen Malcolm Fridlund qui invite néanmoins à faire attention.
«Je ne reste pas éveillé la nuit en m’inquiétant de l’existence de seigneurs de la galaxie, a ajouté Malcolm Fridlund, un astrophysicien européen. Mais quand on ne sait rien de ce qu’il y a là-bas, on devrait être un peu plus prudent.»
Les premiers messages envoyés dans les années 70
Les sondes américaines Pioneer 10 and 11 ont été lancées en 1972 et 1973, avec à leur bord des plaques représentant une homme et une femme nus et des symboles expliquant la position de la Terre et du Soleil.
En 1977, c’était au tour de Voyager 1 et 2. Ils viennent à peine d’atteindre les confins du système solaire, avec un disque en cuivre plaqué or où sont gravés des chants et images de la Terre. Il leur reste encore 40 000 ans avant d’arriver près d’une étoile. Personne ne sait si quelqu’un sera là pour les intercepter et comprendre ce que veulent dire les messages. Ni s’il restera des humains sur Terre à cette date pour recevoir une réponse.
Communiquer par les ondes, oui – mais quoi ?
D’où l’idée de communiquer par les ondes qui voyagent à la vitesse de la lumière, 300 000 km/s. C’est déjà le cas des émissions de télévision, que notre atmosphère n’arrête pas, mais aussi de messages volontaires envoyés par des agences spatiales ou d’autres institutions.
Parmi eux, une «Pierre de Rosette interstellaire», source d’informations sur la Terre et les Homo sapiens, mais aussi des blagues ou des informations plus ou moins improbables, comme (je n’invente rien) les enregistrements de contractions vaginales de ballerines du Boston Ballet, envoyées dans les années 1980 vers les étoiles Epsilon Eridani et Tau Ceti. Est-ce que ces jeunes danseuses se sont « stimulées » pour l’occasion afin d’expliquer aux extraterrestres les plus lubriques comment fonctionne un orgasme féminin humain ? Je l’ignore mais je constate qu’une fois de plus, quand un nouveau moyen de communication est imaginé, il y en a toujours qui s’en servent pour transmettre des trucs salaces. Homo Eroticus a encore de beaux jours devant lui.
Infos tirées de Les scientifiques mettent en garde contre les messages envoyés dans l’espace (20 Minutes)
Photo : Un E.T. en érection se prépare à venir mettre son doigt dans une ballerine du Boston Ballet
« les enregistrements de contractions vaginales de ballerines du Boston Ballet »…
Il faut un micro super sensible !
Tu parles! elles doivent être super toniques..pauvres micros!
mdr
Comme çà les extras terrestres çà leur fera peu peur et ils ne viendront pas nous embêter.. pas con le Boston ballet!
Mdrrrrr vous deux !!!
Ah là là !
anti, on l’entend rire 😉
Dans une vie précédente, j’ai eu l’occasion de voir ces fameux enregistreurs de contractions vaginales qui ne sont pas réservés aux seules danseuses du Boston Ballet. Il s’agit en fait de sortes d’électrodes que l’on place aux endroits idoines. Disons que ça s’apparente plus à un sismographe qu’à un microphone.
J’ai même assisté à des conférences dans un congrès international, où des chercheurs d’un sérieux total comparaient doctement les enregistrements obtenus par des femmes de différents âges, soumises à divers types de stimulations (visuelles ou physiques) pendant lesquelles elles avaient accepté de porter les fameux enregistreurs (ce que je vous laisse imaginer…)
euh.. là j’ai pu vraiment treizenvie hein.. pipiiiiiiiiiii.. (tiens? une reconversion possible pour les électrodes??)
Est-ce que le micro vibrait ?
Est-ce que les premiers extraterrestres qui vont arriver sur Terre vont alors faire des bruits de contraction vaginale en pensant que c’est notre langage ?.. va falloir trouver quelqu’un qui le parle couramment sur Terre…
Bref on a pas fini de passer pour des cons…
Netsah, « miaou » fît le minou
« des bruits de contraction vaginale en pensant que c’est notre langage ?.. va falloir trouver quelqu’un qui le parle couramment sur Terre… »
Ah oui, il y a un concept, là. Le premier dictionnaire Contractionvaginale – Français à l’usage des extraterrestres. Remarque, on pourrait reprogrammer les vibromasseurs pour servir de traducteurs ? Là, je peux te dire qu’il y en aurait qui feraient la queue pour avoir des cours de langue approfondis.
Anna, avec la langue
Chat ch’est chûr ! Il faudrait contacter les japonais, c’est eux les nouveaux maitres du sextoy.
Netsah, pas d’sushi !
Un sismographe ? Le Boston Ballet, il monte à combien sur l’échelle de Richter ?
J’imagine Anna plaçant les électrodes, pendant que le chercheur a l’oeil rivé sur le sismographe…
Comme quoi, la science, ça mène à tout…
ALIEN FINGERPRINT
ALIEN HANDPRINT
ALIEN FOOTPRINT
EMPREINTE EXTRATERRESTRE
L’EUROPE DETIENT LA PREMIERE EMPREINTE EXTRATERRESTRE SUR SON TERRITOIRE
ON GOOGLE WORLD WIDE
ALIEN BASES
BASES EXTRATERRESTRES
ALIEN ZIZIPRINT, c’est sur Google aussi ?
Mars Attack ! Aux abris !
Et voilà ce qui arrive quand on envoie des enregistrements de contractions vaginales de jeunes filles en fleur à l’autre bout de la galaxie ! Ah c’est malin !
Ca y est, on va devenir un ASILE D’ALIEN, hé !
Anna, extra et terrestre à la fois
Ben forcément, comme dit le proverbe : si goût renaît oui veur et laine replay !
anti, un 8e dodo passager…
AH L’ HYENE !
Chut !!! Dans l’espace, on nous entend peut-être déconner ;-)))
anti