"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
Anna au réveil ce matin :
– C’est marrant ta note sur Blake hier, je viens de voir que j’ai mis une citation de lui dans « J’ai treize envies » : Ceux qui répriment leur désir sont ceux dont le désir est assez faible pour être réprimé – William Blake.
– Ah oui, marrant quand en plus tu vas lire ce que j’ai mis pour 11 h 😉
anti, tous unis.
Superbe, ce poème ! Quelle beauté et quelle profondeur en si peu de mots !
Merci, merci à toi pour ce très beau don du jour (et pour la photo, prise un 31 décembre 2007, alors que nous étions toi et moi sur la plage de l’Espiguette jusqu’au soleil couchant).
Ce texte me paraît plus philosophique que poétique. Vous m’avez donné l’occasion de faire une petite recherche sur l’auteur. Sa maturité – il est mort à 36 ans – s’explique sans doute en partie par sa maladie qui l’aura poussé à la méditation (tuberculose).
Anti, pourquoi as-tu choisi cette photo pour illustrer le texte ? J’aurais tendance à y voir l’aridité de l’avoir dans le tertre sombre et le bois mort, ainsi que la beauté de l' »être » dans ciel mer et soleil pour peu qu’on les apprécie à leur juste valeur. L’être est-il caché par l’avoir ? et le tout en position centrale. Je fabule peut-être.
Coucou Moni,
Pour te répondre, je reprends ce que j’écrivais à Antiochus :
Daumal, c’est le Grand Jeu avec ses acolytes et surtout pour moi Roger Gilbert-Leconte dont j’avais beaucoup aimé à l’époque « L’horrible révélation, la seule… »
« Souvenez-vous, hommes, du fond caverneux de vous-mêmes : votre peau n’a pas toujours été votre limite.
Il fut un temps où la conscience n’était pas emprisonnée dans cette outre puante, un temps où le cercle magique des horizons lui-même ne suffisait pas à emprisonner l’homme.
Et je ne parle pas seulement d’Éden dont les clôtures étaient de rêve. »
http://pagesperso-orange.fr/manna/Game/point00111.htm
http://www.poesie.net/granjeu.htm
http://www.sirenea.com/oeuvres/PREVrogjarl.pdf
Pour la photo, je l’ai choisie pour ce qu’elle représente pour moi 😉 Une balade en compagnie d’Anna sur la plage un 31 décembre.
La beauté d’une fin qui n’en n’est pas une, la beauté d’un renouveau qui s’annonce dans la mort même du jour.
La beauté des 4 éléments représentés dans une seule image : le feu du soleil, la terre, l’air et l’eau, et un axe majeur : notre Amour. Les mots d’une Anna désespérée il y a des années : « Je ne te connais pas et sans que je sache pourquoi, il y a toi, debout, solide, seule, au milieu de mon cœur brisé ».
La Vie…
anti
Merci Anti d’avoir repris ce magnifique poème philosophique de Renée Daumal … Il faudrait le lire chaque matin pour être sûr de ne point dévier du chemin … Chacun voit le « désir » d’une manière différente … j’aime beaucoup ton illustration qui rassemble beaucoup de choses essentielles : la mer – la terre – la lumière et … la verticalité, l’axis mundi …
Antiochus
Sublime…
Ce poème, c’est le moteur de la vie à 8 vers et pas mal de soupapes, éternel recommencement…
Cet arbre mort, qui empêche souvent de voir la lumière dans tout son éclat…
« Je ne te connais pas et sans que je sache pourquoi, il y a toi, debout, solide, seule, au milieu de mon cœur brisé ».
… A quelle heure est le prochain train ?
« Vie, mort et résurrection d’un Amour Passion » (Serge Gainsbourg)…
A lire et à relire puis à méditer profondément pour sentir l’être se donner à soi et au monde. Merci pour cette photo et ce poème.Je t’embrasse. Adi
Hey ! Coucou toi ! Heureuse de te lire ici.
A bientôt,
anti