La vie n’est pas un restaurant mais un buffet. Levez-vous pour vous servir
Dans la catégorie « On se fait du bien« , aujourd’hui, je vais vous parler d’un livre qui fait partie de ceux dont j’avais X exemplaires à la maison, que j’ai offert et prêté tant et tant que je ne l’ai même plus ! Pas grave ! Je vais vous parler de » La Vie en Rose, Mode d’emploi », de Dominique Glocheux.
Découvert il y a des années, ce petit livre, tout rose, tout beau, tout meugnon, regorge de phrases qui font du bien, qui sont autant de baume dont on voudrait enduire (mmmm…) son petit ego meurtri et celui de celles et ceux qu’on aime et même, de ceux qu’on n’aime pas, pas qu’on déteste non, juste qu’on n’aime pas. C’est dire si ce livre est bénéfique pour le bien de tous les êtres !
Oui, j’entends déjà : « Mais, ça va être un truc préchi précha ton bouquin là, gnan, gnan et tout ». Pas du tout ! C’est extra et ça fait vraiment du bien et c’est certainement à cause de l’auteur lui-même.
Oui d’abord. C’est qui ce ou cette Dominique là ?! Psychologies Magazine Serge ! C’est parti !
C’est à l’hôpital, après un grave accident de voiture, qu’il commence à écrire ses fameuses maximes du bonheur. Pour nous apprendre à voir la vie en rose.
Le temps est gris. On se laisserait vite gagner par la morosité ambiante. Soudain, un « Coucou » rieur annonce l’arrivée de l’anticyclone Dominique Glocheux ! Dieu que cet homme paraît heureux ! Et pas d’un bonheur béat, surfait ou inconvenant. Non. D’un bonheur simple, authentique et contagieux !
Souvenez-vous : l’an passé, il nous avait gratifiés de quatre petits livres au format carré et aux couleurs pastel, quatre odes à la vie dont la seule lecture nous emplissait de tendresse et d’optimisme. Cette année, il revient avec quatre nouveaux recueils dans lesquels il nous livre, toujours sous forme de maximes, ses recettes du bonheur.
« N’oubliez pas, écrit-il, nous ne vivons qu’une seule fois. Mais si vous vous y prenez bien, une fois, c’est suffisant. » Comment faire, justement, pour bien s’y prendre ? C’est simple, dit l’auteur : renouez avec votre cœur d’enfant et vous verrez que le bonheur est là, en vous, autour de vous. « Je sais, ça paraît crétin, on dirait de la sous-méthode Coué.
Mais quand on écoute vraiment ses rêves, qu’on se concentre sur des sentiments tels que l’amour, pas forcément avec un grand A, je vous assure : ça rend heureux, et les autres avec ! »
On demeure perplexe : serait-il de ceux qui, épargnés par les douleurs de la vie, nous servent du «Y a qu’à » ? Non. Avant de découvrir le bonheur, Glocheux a touché le fond.
C’était il y a douze ans.
« J’avais 28 ans. Je venais de créer mon entreprise, ça marchait du tonnerre. Je gagnais plein de sous, je m’amusais avec mes jouets… Et soudain, l’accident. Champs-Elysées. Fauché par un taxi. Bilan : quatre semaines de coma et dix-neuf mois d’hospitalisation.
« On m’a annoncé que je resterai un légume. J’étais en mille morceaux, incapable de bouger. »
Garches, Bichat, Berck. Dans les hôpitaux, Glocheux entame pourtant une nouvelle vie. Cinq ans de rééducation physique doublés d’une véritable rééducation affective. Tout commence avec ces groupes de parole, organisés à Bichat par un prêtre, un rabbin et un pasteur.
« Je n’ai jamais autant appris et donné. » Un jour, il retrouve l’usage d’un doigt.
Son père lui fait cadeau d’un ordinateur. « Je passais des heures, couché, à me cramponner aux idées positives qui me traversaient l’esprit. Les maximes sont nées comme ça. Je pouvais à peine écrire, alors je les concentrais en petites formules à psalmodier. Par exemple,“Dites plus souvent Je t’aime et Tu m’as manqué.” »
Un doigt, deux doigts, une main, les deux…
A mesure qu’il retrouve l’usage de ses membres, Dominique imagine et engrange plus de neuf mille items : « Ne laissez pas un petit doute, souci ou peur vous bloquer : prenez le risque. Statistiquement, vous y gagnerez » ; « Au moins une fois dans votre vie, buvez le jus d’une noix de coco fraîche », etc. Ainsi est née “La Vie en rose, mode d’emploi”. Lorsque le livre paraît, en 1997, il fait un tabac. Ceux qui le lisent l’offrent aussitôt à leurs amis. Même succès pour les quatre suivants.
Mais lui, applique-t-il ce qu’il écrit ? On cherche la faille. En vain. « C’est un ami adorable, affirme son copain Christian. Je retrouve dans ses livres les petites attentions qu’il a pour nous, comme par exemple : “Ne passez pas une journée sans appeler un ami”.
L’autre jour, il m’a appelé avant une réunion difficile pour me dire qu’il pensait à moi. J’ai perdu 5% de stress et gagné 5% de plaisir. »
C’est dit, Dominique applique « la méthode Glocheux ».
Mais est-il authentiquement heureux ?
« Comme tout le monde, il a ses petits soucis, concède son amie Brigitte. Mais son bonheur n’est pas une façade. Il est heureux parce qu’il a choisi de s’en donner les moyens. » Aujourd’hui, Dominique Glocheux est inondé de courrier. Des lecteurs lui racontent comment, grâce à l’une de ses formules magiques, ils ont renoué avec leur père ou pris un nouveau départ. A leur tour, ils lui envoient des idées de bonheur : « Buvez un porto en regardant une bougie » ; « Relisez vos lettres d’amour »…
Cette idée-là, Dominique Glocheux l’a déjà publiée. « Normal, explique-t-il. Ce qui nous rend heureux est universel. Nous avons tous besoin d’amour. Et, surtout, besoin d’en donner. J’écoute beaucoup les mémés et les bouts de chou. Ils ont tout compris. Les premières, parce qu’elles ont du recul. Les seconds, parce qu’ils ont un cœur tout neuf. »
C’est bon non ? Vous en voulez encore ? Moi oui !!! Quelques extraits favoris affichés sur son site internet :
Apprenez à dire NON plus souvent.
Ne reportez pas à demain ce que vous aimeriez faire aujourd’hui avec ceux qui vous sont chers :
demain n’arrive jamais.
Faire LA bonne chose vaut 1 million fois PLUS que bien faire les choses :
soyez efficient, jamais efficace.
Quand vous discutez avec vos proches, laissez-les gagner.
Choisissez d’être heureux, plutôt que d’avoir raison.
Croquez la vie à pleines dents. Ne gardez pas le meilleur pour la fin.
Mangez-le tout de suite. La vie est trop courte.
Ouh là ! Me racheter le livre de toute urgence !!!
Encore ? Oui !!!
Photo Michel Rauscher, irrémédiablement associé à l’expression du Bonheur
« La Vie en Rose, Mode d’Emploi », Postface.
« La vie n’est pas une répétition comme au théâtre. On ne vit qu’une fois. Vous n’aurez jamais une autre occasion de vivre la présente seconde. Ni toutes les suivantes. Alors, autant la vivre belle. Voir la vie en rose. Et pour cela, pas besoin d’être ceinture noire de kama-suthra. Ou d’abuser de quelque substance que ce soit. Au contraire. Les idées les plus simples sont les plus fortes. Le rêve serait de pouvoir se coller des ailes d’ange dans le dos, pour s’envoler très haut. Quitter tout ce qui ne va pas. être enfin aux anges. Nager dans le bonheur. Toute la vie, toute la vie. Je vous prête mes ailes quand vous voulez … mais gare à la chute ! Car les premières ailes qui aient jamais réussi à me hisser vers le bonheur, sont celles qui ont poussé un jour dans ma tête. Sans doute tout ce qui me restait à faire : un chauffard avait brisé ma carcasse, j’étais incapable du moindre mouvement. Cloué au lit. Comme un papillon épinglé dans une collection. Ne pas bouger. La tête envahie de papillons noirs. Puis après des mois et des mois, est né le premier papillon rose. Puis un autre. Puis un autre. Bientôt des centaines. Et toute ma vie a changé.
Chacun des 512 items de ce livre, commence par une demi-aile de ces papillons roses. A vous de reconstituer vos propres papillons. A votre façon. Et laissez le charme agir. Laissez-les se colorer en rose et se multiplier dans votre tête : aile-vez votre esprit, élevez vos papillons. Et à votre tour, vous vous sentirez pousser des ailes. Plus besoin de les coller, vous décollerez tout seul, sans effort. Comme par magie.
Dans l’Antiquité le travail était réservé aux esclaves. Dégradant, humiliant. Pendant des siècles, personne n’aurait perdu sa vie à vouloir la gagner. Saint Thomas d’Aquin préconisait même l’oisiveté. C’est au XIXième que le travail devient valeur universelle : on travaille 17 heures par jour, de l’enfant en bas âge au vieillard de 45 ans.
Crise de 1929 : il faut écouler les richesses, passer à la société de consommation. Le salarié redécouvre le “temps libre”. Puis c’est le message de mai 68 : la valeur “travail” est poignardée sur les barricades. Pour des motifs socioculturels.
La croissance des années 80 permettra un timide retour : ils voulaient bosser à fond, créer des entreprises, devenir des Big Boss : c’était la Boss Génération. Mais dix ans après, que sont-ils devenus ? Ils voulaient réussir dans la vie. Avant de réussir leur vie. Bingo ! Aujourd’hui, ils font presque tous partie de la Prozac Génération.
Là-dessus, la crise économique n’a rien arrangé. Pire : une avalanche de périls l’amplifie. Faillites idéologiques, fracture sociale, intégrismes, démission des élites, désertion civique, etc. La liste est longue ! Et les médias font chaque jour leur travail, formidable caisse de résonance. Résultat : partout, le sentiment d’un peuple assiégé. La morosité est chronique, la désillusion générale, le chômage dans tous les esprits. On se terre. On a peur. Pire : certains désespèrent. Serions-nous au bord d’un gouffre ?
Prenons un peu de recul : 3, 4 vies humaines, seulement. C’était hier. Depuis 1850, l’espérance de vie est passée de 45 à bientôt 85 ans. Le travail remplissait 70% d’une vie, aujourd’hui 12%. Nous travaillons SIX fois moins que nos arrières-grands parents. Et ce n’est pas fini : notre société est en train de brader discrètement le travail. Pour des raisons économiques. Et au rythme où vont les choses, l’histoire risque de se répéter très vite et les générations futures s’étonneront peut-être d’apprendre un jour que nous aussi, nous abaissions à travailler.
Le travail est une valeur parmi d’autres. La plupart sont en pleine mutation, voire en perdition. Nous vivons une crise autant morale qu’économique. ça craque de partout. Rien de plus normal à l’échelle de l’histoire humaine. Mais à l’échelle d’une vie humaine, nous pouvons avoir l’impression d’être à bord du Titanic. Coulera, coulera pas ?
Jusqu’au XVIIIème siècle, la morale venait “d’en haut”. La société respectait des principes sacrés et intangibles, choisis et dictés par la religion. En bref, les valeurs et les modèles (les saints) étaient en quelque sorte imposés à l’homme de l’extérieur.
Avec la laïcisation progressive de notre société, la plupart de ces obligations austères ont été contestées puis dévaluées. Résultat : l’homme se retrouve aujourd’hui libéré d’une soumission béate aux forces intemporelles. Pour la première fois, il a la formidable liberté de choisir seul, à l’intérieur de lui, ses valeurs, sa morale, son mode vie. Et refuser les commandements imposés par l’extérieur. Mais le vide devant lui est vertigineux. Il est libre comme jamais dans son histoire.
Mais libre de quoi ? Autour de lui, tout est libre, ouvert, mais sans âme. Sans valeurs ?
Des signes réconfortants apparaissent déjà : ici ou là, des réflexes immunitaires qui traduisent le plébiscite de valeurs fortes comme la justice, l’honnêteté, l’enracinement, la générosité, la loyauté, l’honneur. Des valeurs qui ressortent plus fortes des combats qu’elles viennent de livrer. Exemple : en réflexe au désarroi d’une période sans repères, au futur aléatoire, chacun cherche aujourd’hui un cadre structurant et rassurant dans ses rapports avec son entourage. à introduire pudeur et douceur dans ses rapports humains. à renouer le lien social, à le ritualiser grâce aux bonnes manières, la bienséance, la politesse, la courtoisie. Nous redécouvrons ainsi que les vibrants petits ballets du “Bonjour madame, Bonjour monsieur, Merci monsieur, Au revoir madame” etc. pour acheter son journal sont des petits morceaux de bonheur.
La morale publique d’hier est donc en train de céder le pas à une morale personnelle. Nous sommes encore tous des handicapés moraux, mais quelle avancée ! Même si la victoire n’est pas acquise. La morale qui venait “d’en haut” jadis, est parfois tentée de revenir par nos antennes de TV. Plus globalement, nos personnalités sont mises à rude épreuve par les médias : comment décider par soi-même dans un tel vacarme ?
Comment faire silence en soi, retrouver sa sagesse profonde, quand leur logique est de nous faire accepter le modèle mondialisé qu’ils diffusent avec insistance et puissance ? Ce modèle valorise l’image, l’instant et l’émotion, aux dépends du sens, de la continuité et de la raison. Difficile de faire mieux pour engluer nos personnalités et désagréger nos structures de base : grandir, apprendre, mériter, s’intégrer par la famille, l’école, etc. demandent du temps et des efforts. Mais les médias n’ont ni le temps (loi du profit) ni intérêt à valoriser l’effort (loi de l’offre) : au bout du “format télé” (en secondes pour une pub, 25’ pour un sitcom, 50’ pour une série, 90’ pour un film), le héros doit avoir gagné, le méchant perdu, les problèmes être résolus.
A les croire, pas d’alternative pour nous : pour rester debout, il ne faut pas trop réfléchir (ils le font pour nous) et notre unique salut est dans la frénésie, le zap, le best-of. Dans le mouvement et la vitesse : comme les toupies. Mais il se pourrait que les révolutions de ces toupies aient des ratés. Avant LA Révolution ? Une Révolution du troisième type, intérieure, toute en douceur ?
Possible, car les signes avant-coureurs d’un éloge de la lenteur (voire de la paresse !) se multiplient. D’une recherche prioritaire du sens, et non plus de la performance. D’une recherche de points d’ancrage, d’unité. D’harmonie. La vie n’a d’intérêt que par son sens, le sens qu’on lui trouve ou qu’on lui donne; or le sens n’advient que par la lenteur. A quoi bon disposer d’Internet, de quantités surhumaines d’informations, si tout se brouille, se mélange dans la tête ?
Il est urgent de réapprendre à faire silence en soi, rester immobile, écouter sa conscience chuchoter, écouter son cœur, retrouver ses marques, ses racines. Prendre le temps. De comprendre, d’assimiler. De redonner à l’argent (trop cher) sa véritable valeur. De retrouver le vrai prix de la vie. La véritable valeur des choses simples, des petits riens qui font toute la différence. Retrouver ces petits trésors ensevelis qui émerveillent la vie. Les seuls capables de la réenchanter. Prendre le temps de laisser sa sensibilité se révéler pleinement. Le temps de flâner, suivre ses intuitions, paresser, jouer. De rêver à une ZENération du bonheur.
En attendant ce nouvel âge d’Or (et la retraite à 21 ans ?), je vous propose d’essayer de faire bouger le monde. Même d’un milliardième de millimètre ! C’est si simple. Apprivoisez votre bonheur, émerveillez-vous la vie, voyez-la en rose, enchantez-la : avec cette fraîcheur, cette simplicité retrouvées, vous déroulerez le tapis rose devant vous. Et le bonheur est contagieux : dès ses premiers rayons, votre entourage en profitera. Comme une pluie de pétales de roses. Laissez donc ce livre vous prendre par la main et vous emmener faire un petit tour au bord de vous-même. Exalter le meilleur qui est vous. Ouvrir les portes de votre cœur et les fenêtres de votre âme, laisser s’engouffrer une bonne brassée d’air pur. Réveiller en vous des idées, des sentiments, des sensations, des désirs, qui sommeillaient en vous, juste sur le point d’éclore.
Donner corps à ces projets, ces images, auxquels vous pensiez déjà, mais sans les formaliser vraiment.
Bien sûr, vous n’êtes pas d’accord avec l’intégralité des 512 items, et vous auriez envie d’en ajouter tirés de votre expérience : pourquoi ne pas en faire profiter les autres ? La suite est en préparation, écrivez-moi (D. Glocheux, “La vie en Rose”, 50 avenue Foch 75116 Paris. Là où se dressait jadis le féerique “Palais Rose” : ça ne s’invente pas !).
Pour l’heure, il me reste à vous souhaiter bon voyage. Un merveilleux voyage. Ce n’est pas Disneyland, encore moins un supermarché du bonheur à prix coûtant ou le Marx Donald’s d’une philosophie-minute. Mais pour la première fois l’homme est peut-être en train de trouver en lui, les ressources et les réponses aux problèmes qu’il rencontre et se pose depuis qu’il est sur terre : “Qui suis-je, D’où viens-je, Où vais-je ?”.
“I have a dream today” : et si, là où beaucoup ne voient que risque de catastrophe planétaire et pandémie, nous faisions le pari qu’il pourrait s’agir des prémisses d’une renaissance ? Si nous avions au moins la noblesse de favoriser cette métamorphose ?
Pas d’angélisme hâtif et excessif, ceci n’est qu’une vision. Peut-être une voie à suivre. Les philosophes l’ont trop bien montré : “Qui fait l’ange, fait la bête”. Mais enfin, il faut avoir compris que Paris est désormais plus près de New-York que Saint-Flour, il faut avoir téléphoné au bout du monde pour le prix d’une communication à votre concierge grâce à Internet, pour comprendre que nous sommes probablement à l’aube de la plus formidable transcendance de l’homme : la fusion-réconciliation universelle de toutes les religions, de toutes les philosophies. Merveilleux programme, non ?
Alors, si on aidait le monde à avancer un peu ? Même d’un milliardième de millimètre.
Si on décidait de transformer le monde en douceur. Et la vie qui va avec. D’inaugurer une nouvelle façon de vivre, de nouvelles valeurs, des relations plus humaines. Plus grandes, plus fortes, plus belles. Roses comme le bonheur, légères comme les papillons.
Si on décidait d’avoir des papillons roses plein la tête.
Si on choisissait d’être la première Génération Papillon.
Vous connaissez peut-être la théorie du chaos déterministe du climatologue Edward Lorenz, médiatisée sous le nom de “l’Effet Papillon” : le battement des ailes d’un papillon au Brésil pourrait déclencher un cyclone à l’autre bout du monde. Alors imaginez l’effet d’une myriade. De dix, cent, mille, de milliers de papillons ! Roses. Tous, roses …
Je vous souhaite bon vent, joli papillon. Et surtout, vivez bien …
Plus ? Ce ne serait pas raisonnable ! En tout cas, pas ici ! Je recopierai tout son site sinon ! Le mieux est d’aller se remonter le moral et/ou de faire le plein de bonheurs directement –> là : L’actualité en Rose.
Dominique Glocheux a créé sa maison d’édition pour promouvoir des auteurs et des angles de vue (optimisme, traditions, protection de l’environnement, etc.) qui lui tiennent à cœur : Les Éditions Glocheux.
Les autres livres de Dominique Glocheux.
Très belle journée !
anti
Je suis d’accord avec tout ! Et je me reconnais dans la plupart des maximes 🙂
« Ne laissez pas un petit doute, souci ou peur vous bloquer : prenez le risque. Statistiquement, vous y gagnerez »
C’est marrant, on en parlait justement hier, quand tu me disais que j’avais pris super vite la décision de m’auto-éditer, peu après mon arrivée sur le net. J’ai choisi mon imprimeur sur un claquement de doigt et je l’ai fait. Aucun doute que j’y ai gagné 🙂
« Efforcez-vous 24 heures de ne critiquer rien, ni personne. »
Et si vous n’y arrivez pas du premier coup, commencez par 1 heure. 😉
Mdrrrrrrrrrrrr ! ou 5 minutes… Faut y aller molo molo !
anti
« Efforcez-vous 24 heures de ne critiquer rien, ni personne. »
J’ai tenu pendant des années o.o maintenant j’ai arrêté de me limiter… Mais je pense qu’effectivement ça ferait du bien à beaucoup de personne. Et en disant ça je fais une critique de toutes les personnes à qui je pense mais je l’assume 😀
Et puis critiquer n’est pas forcément négatif…
« Apprenez à dire NON plus souvent. »
J’y travaille…
« Ne reportez pas à demain ce que vous aimeriez faire aujourd’hui avec ceux qui vous sont chers :
demain n’arrive jamais. »
A qui le dites-vous…
« Quand vous discutez avec vos proches, laissez-les gagner.
Choisissez d’être heureux, plutôt que d’avoir raison. »
Pas question o.o Surtout pas si je discute avec toi ! C’est moi qui ai raison o.O j’ai toujours raison O.o quand est-ce que tu vas enfin l’admettre ? tu veux t’battre ? o.O
« Croquez la vie à pleines dents. Ne gardez pas le meilleur pour la fin.
Mangez-le tout de suite. La vie est trop courte. »
C’est bien pour ça que je dois racheter un pot de Nutella toutes les deux semaines.. Enfin là j’ai 2kg ça devrait tenir un certain temps xD
Sinon je n’ai pas l’intention de voir la vie en rose.. j’aime pas l’rose beurk. Moi je vois la vie en RVB.
Netsah, colorfull
Une « Brigitte » (qui n’est pas l’amie de Glocheux) me l’a offert il y a près de 12 ans pour mon anniversaire, avec une jolie dédicace… Il m’avait porté chance… Je viens de le ressortir de ma bibliothèque… Vais m’y replonger !
Pour la critique, je suis d’accord… Je m’efforce de ne jamais critiquer, surtout mes amis !
« Pour la critique, je suis d’accord… Je m’efforce de ne jamais critiquer, surtout mes amis ! »
Pour ma part, je me range à l’avis exprimé par Netsah 😉 et ma citation serait plutôt : « Je m’efforce toujours de critiquer, surtout mes amis ! » ça me semble être le minimum de sincère considération vis à vis de mes proches. La critique est un examen raisonné, objectif, qui s’attache à relever les qualités et les défauts. C’est un outil quoi 😉
anti
Anti,
Je ne critique pas ton avis, mais ne le partage pas… Les opinions de chacun sont respectables…
Au fait, n’aurais-je que des qualités pour n’avoir jamais été critiqué par toi ?!?!
C’est pas vrai mon cher, ensuite, ben la suite plus tard parce que là : docteur !
anti, toujours en chemin !
« anti, toujours en chemin ! »
Le petit chemin, qui sent la noisette ? … Comme le Nutella ?!?!
« La critique est un examen raisonné, objectif, qui s’attache à relever les qualités et les défauts. C’est un outil quoi 😉 »
J’adhère ! Libre à chacun de faire ses choix ou penser ce qu’il veut mais… quand on dépasse les bornes, ça peut aider d’entendre une critique constructive. Le truc, c’est apprendre à ce qu’elle soit constructive ! Et, dernièrement, j’ai pu constater avec mon frangin que ce n’est pas simple ! Et aussi… Ce n’est pas simple non plus d’apprendre à l’entendre !!!
« Ce n’est pas simple non plus d’apprendre à l’entendre!!! ».
C’est tellement vrai Catherine! Et pourtant la critique se devrait d’être un point crucial dans une bonne relation. Qu’elle soit entre amis ou au sein de sa famille. Elle ouvre un dialogue, si précieux pour avancer. Je pense qu’à la base, il faut savoir se remettre en question…donc, rien n’est simple. Pour pouvoir émettre une critique constructive, il faut que les interlocuteurs soient sur la même longueur l’onde.
La première chose que j’ai appris dans mon école de Communication Visuelle c’est de critiquer mes amis.
Si tu dis à ton ami que ce qu’il fait est bien alors que ça ne l’ai pas, est-ce que tu l’aides vraiment ? Non… Parcontre la critique c’est l’art de rendre ça objectif et utile comme l’a dit Anti. Au final une bonne ou une mauvaise critique, si elle est sincère, ne pourra qu’aider la personne, si elle sait l’apprécier.
Après on a tous le droit de se faire son propre avis, ça n’a aucun rapport. On est libre de ses choix et de ses pensées o.O
Critique : n.f. Art de juger les œuvres littéraires ou artistiques.
Juger : v.t. Se faire une opinion sur quelque chose ou sur quelqu’un, porter une appréciation, un jugement de valeur à leur sujet.
Traduction, critiquer c’est l’art de se faire une opinion et de la partager, tout en disant notre appréciation du sujet ou de l’auteur du sujet. Ceci n’implique pas d’imposer quoique ce soit à la personne à qui on s’adresse…
oui, et un truc que j’ai trouvé sympa, c’est de faire une distinction nette (et de l’affirmer nettement) entre la critique
de l’objet, l’action, la pensée, et l’auteur de cet objet, action..etc..qui n’est pas criticable « en soi ».
Netsah,
« Si tu dis à ton ami que ce qu’il fait est bien alors que ça ne l’ai pas, est-ce que tu l’aides vraiment ? »
Il ne s’agit pas de cela… Une relation constructive est faite d’échanges de points de vue… A chacun d’en tirer les enseignements de l’autre, mais le « critiquer » (dans le sens « j’ai raison, tu as tort ») ne peut conduire qu’à des tensions et à un sentiment de frustration de la part du « critiqué ».
Si les enseignements actuels de la communication sont basés sur la critique de ses amis, je ne m’étonne plus que les gens se comprennent de moins en moins…
Ben.. hum… j’ai raison, tu as tort 😀 Critiquer ce n’est pas dire « j’ai raison, tu as tort » justement. C’est « j’aime/je n’aime pas, et je te dis pourquoi et tu en fais ce que tu veux ».
Le fait que le verbe « critiquer » ait pris un sens négatif dans l’inconscient collectif, je pense que justement c’est parcequ’on retient plus les critiques négatives qui, l’air de rien, feront réfléchir la personne concernée -et c’est avant tout le but d’une critique-.
Quand je disais comme exemple « si tu dis à ton ami que c’est bien quand ça ne l’ai pas, tu ne l’aides pas » c’est évident dans le cas des études de communication visuelle. Car justement, en tant que consommateurs, on est les plus à-même à dire à quelqu’un qui cherche à vendre, ou faire passer une idée, par l’image si son concept/image fonctionne ou pas.. ou si son illustration aura l’impact escompté sur la cible… Mais la différence avec le consommateur lambda c’est que nous on pouvait dire pourquoi ça ne marchait pas pour que notre camarade puisse améliorer son idée.
Et ne confond pas communication usuelle (dialogue entre nous) et communication visuelle (publicité et message d’un créateur vers celui qui doit être touché par sa création).
La critique n’est pas forcément négative, c’est un synonyme de « donner son avis » et pas de « rabaisser et blesser volontairement ». Et pour reprendre mon exemple d’avant, et conclure, je me permets de critiquer uniquement les gens qui comprendront et apprécieront ma critique.. Je sais que j’ai des connaissances à qui il vaut mieux dire qu’ils sont géniaux, merveilleux, qu’ils ont raison tout le temps… et le jour où ils comprendront par eux-mêmes qu’ils se plantaient, ils viendront peut-être me voir, pour me demander mon véritable avis, que je les conseille, et là je leur ferai mes critiques, et je sais qu’à ce moment-là ils ne le prendront pas mal et qu’ils m’écouteront… Dommage pour eux si c’est un peu tard. Mais mes meilleurs amis n’hésitent pas à me dire quand ils aiment ou pas quelquechose que je fais, même si c’est dit de manière humoristique la plupart du temps, ils me le font comprendre. Et je les en remercie, et je fais de même avec eux.
Mais ça n’empêche en rien le fait que j’accepte tous leur choix qu’ils me plaisent ou non o.O comme eux ils respectent mes choix. Parce que critiquer ce n’est pas chercher à blesser, mais chercher à aider. On a tous le droit de refuser de l’aide si on ne l’estime pas nécessaire.
o.O… on progresse…
« ils viendront peut-être me voir, pour me demander mon véritable avis, que je les conseille, et là je leur ferai mes critiques, et je sais qu’à ce moment-là ils ne le prendront pas mal et qu’ils m’écouteront… »
Si tu remplaces « critiques » par « observations », tu as tout bon…
Quand aux séquences filmées dans un jeu de rôle, j’y ai joué avant que tu ne prennes ton premier biberon… Bien sûr que dans ce cas, on est dans la critique… C’est le but du jeu…
Je maintiens, persiste et signe… Hors des jeux de rôles, la critique ne peut qu’être ressentie par l’autre que comme une blessure et une attaque personnelle. Ce n’est pas à toi que je l’apprendrai, car tu as une grande sensibilité et un profond respect des autres… Alors, pourquoi jouer à « j’ai raison, tu as tort » ? La pleine lune, c’était vendredi dernier…
« critiquer ce n’est pas chercher à blesser, mais chercher à aider ».
C’est bien ce que signifie l’extrapolation de la définition du verbe critiquer donnée par l’académie française 😉
anti
Relire mon com précédent – CQFD – je ne vais pas m’auto-paraphraser sinon on va tourner en rond.
Netsah crie ticket « TIIIIIIIIIIIIIIIICKKKKKEEETTT!!!!!! »
Critique : 26 synonymes… (source : L’Internaute)
Accusation, analyse, annotation, blâme, censeur, condamnation, contestation, crucial, dangereux, détracteur, diatribe, exégèse, frondeur, grave, herméneutique, jugement, murmure, névralgique, objection, remarque, remontrance, réprimande, réprobation, reproche, satire, semonce.
Bien secouer avant de s’en servir…
oui.. au milieu y a beaucoup de synonymes de critique dans le sens de limite grave, et des synonymes de ce que l’on a fait du verbe critiquer et du mot critique…
Une « bonne critique » ce n’est pas bien expliquer son point de vue, mais dire qu’on a aimer. Je pense que cette précision a été obligatoire depuis que les français ont oublié ce que voulait dire critiquer.. On doit être le seul pays à faire la confusion. Peut-être justement un amalgame entre la critique et l’adjectif critique, qui expliquerait cet aspect négatif qu’on lui a associé.
Je ne pense pas que Kant dans sa critique de la raison pure, se contente de dire tout le mal qu’il pense de la raison pure, et ne nous force en rien non plus à adhérer à ses idées, puisque ce n’est pas vraiment les siennes xD
Netsah fît l’osophie
« Je ne pense pas que Kant dans sa critique de la raison pure, se contente de dire tout le mal qu’il pense de la raison pure, et ne nous force en rien non plus à adhérer à ses idées, puisque ce n’est pas vraiment les siennes »
Excellent !!!
Anna, kant dira-t-on
Ah ouais kant dira-t-on est beaucoup mieux xD osophie à priori ne veut rien dire en français xD
Netsah, mais… t’as physique ?
(xD jsuis fatigué – longue journée)
« Je ne pense pas que Kant dans sa critique de la raison pure, se contente de dire tout le mal qu’il pense de la raison pure, et ne nous force en rien non plus à adhérer à ses idées, puisque ce n’est pas vraiment les siennes »…
Voila qui me convient parfaitement !
Netsah, n’as tu jamais songé au Quai d’Orsay ?
Docteur K. ne t’arrive pas à la cheville !
Mdrrr ! nan mais merci c’est flatteur xD j’aime bien le musée qui s’y trouve 😀
Ramses, attention à ce que tu dis : le vrai prénom de Netsah commence par un K et il se pourrait bien qu’un jour il soit docteur, va savoir.
Anna, OK dors ! C’est.
Ce que j’aime, ici, c’est qu’on sait toujours jusqu’où ne pas aller trop loin…
Ramses, Toutencartons…
bjr toutencartons si c’est le méme !!!
TOUTENCARTONS BJR