Fenêtre latérale. Citerne du Mas d’Escattes. Détail.
Jeudi après-midi, j’ai eu la chance d’aller me balader avec Kathy qui connaît la région comme sa poche. Elle m’a fait découvrir le domaine d’Escattes de Courbessac pour mon grand plaisir.
J’ai trouvé deux trois petites choses intéressantes à nous mettre sous la dent pour accompagner quelques unes (sur une petite centaine) des photos prises.
Le domaine d’Escattes est un ancien domaine agricole qui bénéficie d’une nouvelle mise en valeur du patrimoine naturel et bâti de garrigue notamment la relance de l’activité oleicole : expérimentation de nouvelles techniques d’exploitation, présentation de collections variétales, restauration de la source Font-l’Abbé et des différentes tours et capitelles existant sur le site, aménagement d’un parc d’agrément et de sentiers de découverte (Source Nîmes.fr).
Fenêtre latérale. Citerne du Mas d’Escattes. Détail élargi.
Citerne du Mas d’Escattes. Vue de face.
Citerne du Mas d’Escattes. Vue de côté.
Restauration d’une source aménagée
La Mairie de Nîmes est propriétaire d’un vaste ancien domaine agricole implanté par les romains dans le quartier de Courbessac.
Un gros projet en partenariat avec l’association le MENHIR (Mémoire Environnement Nature Histoire Inventaire Restauration) prévoit de remettre en valeur ce patrimoine et l’aménagement d’un centre international sur l’olivier. Sur le domaine d’Escattes, une source a été aménagée et canalisée avec des constructions de pierres. Depuis des années (plus de 6 ans minimum), le travail de fouilles se poursuit ainsi que celui de terrassement (notamment en curant un canal d’alimentation de la fontaine).
Kathy et moi, en voyant se panneau, nous sommes demandées s’il y avait un menhir dans les proches environs.
De fait, il en existe bel et bien un : Le menhir de Courbessac mais nous ne l’avons pas vu et pour cause, il se situe à côté de l’aéroport.
En 1906, une communication de Félix Mazauric, conservateur du musée archéologique de 1906 à 1918 (géologue et spéléologue réputé), bouscule la hiérarchie de l’ancienneté des monuments nîmois, en décrivant certes de façon sommaire, mais irréfutable, un menhir appelé à ses débuts « de la poudrière », (à cause de la proximité d’une poudrière) toutefois l’appellation « de la Clause », non du lieu serait plus exacte, aujourd’hui il est appelé communément « Menhir de Courbessac ».
Ce dernier sera reconnu et classé comme monument historique le 24 septembre 1936. Sa hauteur de 2,17 le classe dans la série des petits monolithes gardois. Avec un âge estimé de 4500 ans, il est le plus ancien des monuments nîmois. Il est situé en bordure de la route d’Avignon, à la hauteur des pistes de l’aérodrome, en face l’ancienne carrière.
Mais revenons à l’association le Menhir qui travaille sur ce chantier (chantier dont on a une idée ici sur le blog Chantier Concordia à Nîmes).
Il y aurait donc un partenariat avec Concordia, une association de chantiers bénévoles à but non lucratif, née en 1950 suite à la Seconde Guerre Mondiale d’une volonté de jeunes anglais, allemands et français de faire renaître les valeurs de tolérance, de paix à travers un chantier international de bénévoles.
Concordia fête cette année ses 59 ans ! Depuis, Concordia a gardé la même sensibilité, en faisant se rencontrer des bénévoles de plus de 60 pays différents. Aujourd’hui en France, outre son siège national à Paris, Concordia est représentée en région par 8 délégations : Aquitaine, Auvergne, Bretagne, Ile-de-France, Picardie / Nord Pas de Calais, Normandie / Maine, Sud Sud-Ouest et Rhône-Alpes. Venez les découvrir ici
Les équipes permanentes en place dans chaque région ont en charge :
* le montage et le suivi des projets en fonction des orientations de l’association ;
* le recrutement des animateurs de chantiers ;
* le développement de partenariats régionaux avec les mairies, des collectivités territoriales, des associations…
* la mise en place et le suivi des chantiers ;
* l’animation de la vie bénévole en région.
Cette dimension locale de l’association, en collaboration étroite avec le siège national à Paris, qui assure le travail de coordination, permet de préparer au mieux votre accueil sur les chantiers internationaux de bénévoles en France.
Concordia est gérée par un Conseil d’Administration composé en majorité de jeunes bénévoles. C’est aussi 1300 adhérents, plus de 28 permanents salariés, 200 animateurs. (Source site de Concordia).
Ce système de chantiers pour jeunes et moins jeunes (voire même séniors) me fascinait quand j’étais ado ! Mes parents ne m’ont jamais laissée y aller… En revanche, ma copine Gwénaouelle, elle, y allait tous les étés. Elle me faisait rêver avec ses récits de vacances ! C’est même sur l’un de ces chantiers qu’elle a rencontré celui qui l’accompagne aujourd’hui dans la vie…
L’association le Menhir a organisé cette année une visite guidée du site de Font l’Abbé qu’elle restaure. Visite dont on peut avoir un sympathique compte rendu ici : Visite guidée Font l’Abbé.
J’aimerais beaucoup moi aussi entendre l’histoire, la grande comme la petite, les anecdotes les légendes… de ces lieux !
Poursuivons notre chemin sur ce qui fut le domaine du Baron de Charnisay vers la capitelle et autres bassins d’agrément aux formes à géométrie variable (losange, demi lune, cercles…)
Capitelle domaine d’Escattes
Capitelle domaine d’Escattes. Voûte montée en encorbellement.
Entrée chapeauté par un arc.
Construction attenante à la capitelle en forme de losange.
La capitelle est assez souvent accompagnée d’autres constructions liées à l’activité du propriétaire : cuve (tine en français local) en pierre sèche aménagée dans le sol ou solidaire de l’abri pour entreposer provisoirement la vendange ou la récolte d’olives, enclos, terrasse, puits, siège (dont les prétendus « fauteuils de berger » abrités du vent dominant), four à chaux, ou encore trace brûlée d’une ancienne charbonnière. (Wikipédia).
Bassin rond
Et puis, Kathy m’a montré deux des quatre tours qui se trouvent là-bas, tours qui, a priori, devaient servir de tour de guet mais qui tout de même, suscitent encore bien des interrogations…
Tour n°2. Escaliers extérieurs.
Tour n°2. Détail escaliers extérieurs.
Tour n°2. Escaliers intérieurs.
Vue depuis la tour n°2.
Enfin, nous avons vu une ancienne fabrique restaurée avec du crépi comme à l’origine.
Allez, quelques photos de beaux arbres pour terminer cette promenade :
Aqueduc souterrain (cassé) qui amenait l’eau de la Font de l’Abbé à la citerne
Quelques pistes pour en savoir plus : Les sources de Nîmes, Dossiers d’Archéologie n° 55 :Les monuments de Nîmes, Nîmes.
Une dernière info sur Courbessac avant de boucler cette note, l’ouverture du Manoir de Courbessac. Magnéto Serge !
Présentation du Manoir de Courbessac
envoyé par Le-Manoir-de-Courbessac.www.lemanoirdecourbessac.com attention le site est troooooooooooooooooooooooooop lent !
Gard : le Manoir de Courbessac, un « resort » artistique.
Si l’on admet que l’art est démesure alors le Manoir de Courbessac en est une parfaite illustration. Né du rêve et de la volonté humaniste de Benoît Maurin-Ducolibri, artiste-peintre et plasticien chevronné (il exerce son art depuis l’âge de 4 ans), ce « multipôle » culturel fait une entrée remarquée sur la scène nîmoise et est remarquable par sa dimension artistique contemporaine.
Ce lieu d’art, véritable « Ovni culturel » selon son concepteur, dénommé « Nîmes Institute« , ne se veut pas uniquement résidence et laboratoire de recherche pour ses amis écrivains, sculpteurs, photographes, cuisiniers, régisseurs, designers, poètes, musiciens, peintres… mais un lieu de rencontre, d’échanges et de partage avec le public.
Le « Nîmes Institute » sera un laboratoire de recherche artistique pour l’art contemporain avec un lieu d’expositions, un espace café-théâtre, un restaurant, une maison d’édition, des chambres d’hôtes, un studio d’enregistrement, des salles de réception, salle de mariage.
Un florilège de talents dirigera chacun de ces pôles qui verront naître des « performances » et « installations », des « one man show », la création d’un fanzine trimestriel pour le pôle écriture-maison d’éditions, des expositions sonores et une collection de disques en série limitée avec pochette réalisée à la main par les artistes contemporains exposant ou séjournant au Manoir…
L’hébergement au Manoir de Courbessac propose 4 chambres d’hôtes où la décoration et la mise en espace et le mobilier ont été laissés à la libre imagination de designers. Véritables show-room, ces chambres seront re-étudiées et re-décorées tous les 18 mois avec l’édition du catalogue décoration des chambres tous les cinq ans.
La suite chambre « Zen », conçue par le propriétaire des lieux, comprend un espace massage. Afin de se détacher des hôtels de luxe 4 étoiles, Benoît Maurin-Ducolibri, à l’instar d la nomenclature traditionnelle (étoiles) proposera un label dit des « 4 Lunes ». Le tarif tournera autour de 100 €, petit-déjeuner et chauffeur compris (les jours de Feria).
Au rez-de-chaussée et en terrasse, un restaurant gastronomique de 40 couverts « Jaïpur » proposera à la fois une restauration créative en phase avec les artistes en résidence et une cuisine plus « low cost », style « French Food Picking », concept inventé par le maître des lieux.
Sophie Tabet jeune chef de nationalité libano-canadienne et diplômée de l’Institut Paul Bocuse sera aux fourneaux de ce « laboratoire de recherche culinaire » et donnera des cours de cuisine tous les dimanches de chaque mois.
Le prix des repas oscillera entre 30 et 80 € (menu Carte Blanche du chef). Une cave à vins, un espace cigares (privé), une piscine et un coin grillades et pastis, « La Table du Berger », viennent compléter l’offre de ce lieu de créations et d’émotions ambitieux qui, après 2 millions d’euros d’investissement et d’imagination, attend le public dès le 23 mai.
Un article de Alain Martinez.
Belle journée à tous ! Et encore merci à Kathy pour cette riche balade 😉
anti
Pour d’autres articles sur Nîmes et ses alentours, cliquer sur le tag.
Magnifique promenade ! Dire que j’habite à Nîmes depuis 12 ans et que je ne connaissais pas ce coin !
Merci à Kathy de t’y avoir conduite et à toi pour cet article.
Belles photos Anti, et plein d’explications comme à l’habitude ! (on a tout ce que l’on cherche sous la main).
Quel plaisir de refaire cette promenade avec tous les apartés.
Sur les chemins qui sillonnent le lieu, je disais à Anti que j’aimais beaucoup cet endroit, qu’il était reposant et qu’à chaque fois que j’y allais, j’avais la surprise de voir quelque chose de nouveau (soit découvert, soit restauré).
Mais j’ignorais que le Manoir qui attirait mon attention à chaque fois, était devenu un tel centre culturel !
Ça a l’air sympa O.o et très belles photos 🙂
Sinon.. ça n’a rien à voir mais je viens de (re)voir cette vidéo pendant que je préparais la salade et.. je me suis dit que j’allais la partager ici parce que depuis 1992 la situation n’a pas changé et ça rappelle bien aux gens que les enfants ne sont pas idiots et que eux aussi s’inquiètent du futur de notre planète.
http://www.youtube.com/watch?v=5JvVf1piHXg
Netsah, enfant du monde (bon je retourne à la cuisine sinon je vais me faire taper Q_Q)
Merci vous 😉
Pour la vidéo que tu indiques, elle est géniale ! J’en ai parlé sur le fil « Home » :
http://www.annagaloreleblog.com/archive/2009/06/05/ce-soir-at-home.html
ainsi de ce qu’elle est devenue 17 ans plus tard !
Bisous salades man !
anti
Merci, Kathy et Anti, de nous faire découvrir cet endroit magnifique.
La restauration de ces vieilles pierres est remarquable et les photos montrent le savoir-faire des participants. Reconstruire une voûte et un arc de cette manière est un art que peu sont encore capables de pratiquer.
J’ai aussi été bluffé par la vidéo de présentation du Manoir de Courbessac. Un grand raffinement, qui allie subtilement l’art et la gastronomie, et donne envie de découvrir cet endroit magique. La révélation aussi que la ville de Nîmes recèle de nombreux talents artistiques, qu’elle sait mettre en valeur. Un exemple à suivre !
Netsah et Anti,
J’ai revu cette vidéo de la jeune canadienne à l’ONU, il y a 17 ans, qui tirait la sonnette d’alarme… Qu’a t’on fait depuis ? Rien, ou presque.
J’ai relu la note « Home ». Qu’a t’on fait depuis 4 mois ? Rien, ou presque (ah, oui, une « taxe carbone » pour permettre aux riches de polluer en paix…). Le souci majeur actuel d’Europe-Ecologie est de deviner si il sera devant ou derrière le PS aux régionales de 2010… Qu’a fait le G20 à propos des bouleversements climatiques, qui se révèlent dramatiquement jour après jour (notamment en Sicile) ? Rien… Attendons Copenhague !
Oops désolé je me souvenais plus xD
en fait votre article Home je l’ai juste survolé vu que moi-même je venais de voir le film et de lire les articles de l’époque sur leur site web, j’avoue O.O Mais en effet si je remets cette vidéo c’est pour bien dire qu’on a toujours rien fait… Bon alors moi en tant que graphiste à part proposer des affiches aux écolos et des actions bénévoles par internet et de com je peux pas faire grand-chose… Même si je fais une série de t shirt pour un futur à nouveau vert et plus gris je suis pas sûr que ça change.. Par contre si des personnes qui ont le pouvoir de changer tout ça, à savoir des centres scientifiques et des politiciens pas trop véreux, pouvait voir et revoir ce genre de témoignage… Des fois je me mets à penser en idéaliste anarchique, avec la suppression de la notion d’argent et que la parole et les actes de chacun puissent avoir une importance de même valeur que les autres, ça changerait la face du monde à coup sûr xD Revenons au troc !!!
Netsah 😀
p.S: sinon rien à voir mais je viens de changer ma batterie de voiture moi tout seul comme un grand en plein Toulouse, plein cagnard aussi, et ça en moins d’une heure 😀 je suis trop fier xD
Netsah ? Félicitations !!! Bravo !!!
Ramses et tous les autres : je viens de créer un fil pour que nous puissions discuter plus en détails de la question très pertinente que tu soulèves. C’est ici :
http://www.annagaloreleblog.com/archive/2009/10/03/qu-avez-vous-change-depuis-home.html
La photo que vous indiquée comme chapelle : n’est pas une chapelle c’est une fabrique.
Elle à été crépie comme à l’origine.
Les 4 premières photos que vous nommées Font Domaine d’Escattes: c’est la citerne du Mas d’Escattes
qui contenait environ 300m3 d’eau.
Bonsoir Jacques et merci pour ces précisions que je vais reporter de ce pas 😉
anti
La dernière photo :
Aqueduc souterrain (cassé)qui amené l’eau de la Font de l’Abbé à la citerne.
Merci Jacques !
anti
Merci Jacques pour ces précisions sur ce lieu qui m’intéresse ; vous dites qu’il s’agit d’une fabrique : une fabrique de quoi ? d’huile d’olive ? Et aussi quelle est votre opinion sur les tours (leur forme, leur utilité). Plein de choses me semblent encore à découvrir. C’est passionnant.
Lorsque les archéologues ne savent pas l’origine d’une construction: ils appellent ça une fabrique.
Pour découvrir le site venez lors de l’inauguration du Chemin de randonnée qui aura lieu au cours de la semaine du développement durable du 1r au 7 avril 2010.
Nous notons ce rendez-vous dans nos tablettes ! Ce sera peut-être l’occasion de faire votre connaissance.
Trop cool !
anti, ça roule !
Bonjour, je ne connaissais pas ce terme de « fabrique »; intéressant.
Je note la date de l’inauguration ; j’ai envie d’en savoir plus.
Le samedi 27 mars pour la semaine du Développement durable, l’Association LE M.E.N.H.I.R
faites une visite guidée au Mas d’Escattes à 9h30 et 14h30 sur le site La Montagne.
Qu’on se le dise.
Merci pour l’info !
Excellente nouvelle ça ! Merci pour l’info Jacques.
anti
Je suis donc allée ce samedi me joindre au groupe de visiteurs pour connaître davantage ce domaine d’Escattes. Nous avons arpenté le domaine pendant trois heures en écoutant les nombreuses explications données par les trois messieurs passionnés par leur recherche et leur travail de rénovation. Les entendre raconter leur interprétation des structures est un véritable plaisir.
Personnellement, une chose qui m’a beaucoup impressionnée ; c’est la descente dans la font l’Abbé. On prend l’escalier pour arriver à une salle dans laquelle se trouve un bassin d’eau protégé par une rambarde, on ressort au jour au font de l’édifice et l’on arrive à la source elle-même. Derrière une petite porte on peut voir l’eau recueillie dans un bassin, l’eau en tombant dans cette grotte sous la terre fait un chant agréable. Cet endroit caverne est presque une chapelle car on peut voir un autel, un bénitier et des niches. On peut même circuler à l’intérieur de l’antre sur des plots sans être mouillé. Il est fort probable que des rituels avaient lieu en cet endroit. Quelqu’un disait même qu’une femme du village se souvenait de baptêmes qui avaient eu lieu en cet endroit jadis ; histoire à creuser, si certains se souviennent encore !
Et tout un programme se présente à nous, dont des conférences si l’on veut en savoir davantage :
http://www.midilibre.com/articles/2010/03/28/NIMES-PROGRAMME-1166752.php5
Merci Kathy d’enrichir cette note encore et encore ! Justement, en nous baladant cet après-midi, je me suis souvenue du rendez-vous raté d’hier ! Ce que tu racontes donne encore plus envie d’assister aux conférences ! Merci beaucoup pour le programme aussi.
anti
Très intéressant.
Je suis donc allée écouter la conférence donnée par madame Reboul au Manoir de Courbessac (lieu que je ne connaissais pas encore et qui est à voir) ; il y avait du monde et l’on voit que les habitants de Courbessac sont passionnés par ce domaine.
Madame Reboul a fait des recherches dans toutes les archives possibles et a réussi a retracer l’histoire, les héritages, etc…
On sait qu’en 1140, les tours n’étaient pas appelées des tours mais des plateformes et qu’elles étaient à la limite des zones entre ce qui appartenait à la noblesse et au peuple agricole et servaient donc de point de surveillance.
Des personnes évoquent un possible oppidum au temps des Romains.
On a aussi beaucoup parlé de l’emplacement des moulins.
Les tuyaux jadis étaient faits en poterie ; le potier était nîmois et il y avait donc des conduites d’eau souterraines, des canalisations aussi.
Après pour en savoir plus sur les vestiges, il faudrait un vrai travail d’archéologue.
Il a été évoqué les photos prises par avion qui peuvent donner des indices.
Nous aurons certainement l’occasion de revenir sur cette note car les recherches sont « bigrement » en route.
Merci pour ce riche compte rendu Kathy. C’est vraiment passionnant. Je pense que ceci devrait te plaire aussi : http://www.annagaloreleblog.com/archive/2010/04/07/les-statues-menhir.html
anti
bsr, j’ai decouvert les tours de guet par hasard en me promenant avec mon fils l’année derniere,j’avais beaucoup aimé le paysage . aussi hier par une magnifique journée j’ai amené une amie pour faire le tour .
j’aimerai savoir l’origine et surtout l’histoire de ce lieu qui est superbe
est ce qu’il exciste des visites guidées pour ce lieu
merci pour le travail de renovation que vous etes entrain de faire
.
Merci pour votre passage ici. Vous devriez pouvoir trouver un certain nombre de réponses à vos questions dans l’article qui figure ci-dessus et les commentaires qui le suivent, surtout ceux de Jacques Prades qui semble bien connaitre les lieux et leur histoire.
« merci pour le travail de renovation que vous etes entrain de faire »
Nous n’avons pas de lien avec les personnes qui restaurent les lieux, nous n’avons fait qu’en parler ici.
Le 15 mai aura lieu sur la place de Courbessac un troc des plantes et un vide grenier.
Le même jour: Le MENHIR (association) expose une maquette de la Font de l’Abbé et des photos.
Des personnes serons là pour donner des explications.
A+
Merci pour ces informations Jacques !
anti
Alors plus personne promène sur la montagne?
pourtant il y a des nouveautés et des découvertes.
A vous de voir?
Bien sur que l’on aime promener sur cette montagne si belle et pleine de découverte, mais tous ceux qui marchent au quotidien, non pas l’idée ou les moyens de les communiquer, mais tous trouvent vos travaux remarquables. Félicitation pour votre grande connaissance et surtout votre passion si précieuse.
allez voir le site du M.E.N.H.I.R. de Courbessac
« menhir.org »
vous trouverez beaucoup d’explications