"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
Avez-vous vu la merveille qu’est Trinidad ?
Sur place je n’avais pu m’empêcher de la célébrer :
TRINIDAD ( Cuba )
Je reviendrai à Trinidad, cité calme, propre et tranquille,
je reviendrai à cette « ciudad », quintessence humaine de la ville.
Revoir ses ocres délicieux mêlés aux bleus des ciels-foison,
se perdre aux verts merveilleux qu’on lit partout sur les maisons,
cheminer d’un pas léger sur ses trottoirs de plaques faits
ou bien gentiment trébucher aux bosses disjointes de ses pavés,
entendre de nouveau sonner l’écho aux pattes usées des bourricots,
à hauteur d’yeux encor admirer une palme se balancer,
doucement se laisser caresser au vent tiède des Alizés,
mourir au monde et s’alanguir,
vivre un présent-souvenir,
à Trinidad revenir !
Très belle dernière photo, de cette main sur fond ocre et la tristesse du regard. J’aime bien aussi le filet de volley tendu au milieu de la rue, juste avant le « stop » !