Dans quelques heures, quelques minutes, hier et maintenant, depuis toujours, je serai en pays magique…
Et un sourire (Le Phénix, 1951)
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un coeur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie à se partager.
Nous deux (Derniers poèmes d’amour, 1963)
Nous deux nous tenant par la main
Nous nous croyons partout chez nous
Sous l’arbre doux sous le ciel noir
Sous tous les toits au coin du feu
Dans la rue vide en plein soleil
Dans les yeux vagues de la foule
Auprès des sages et des fous
Parmi les enfants et les grands
L’amour n’a rien de mystérieux
Nous sommes l’évidence même
Les amoureux se croient chez nous.
anti, Tu as toutes les joies solaires , Tout le soleil sur la terre, Sur les chemins de ta beauté.
poèmes de Paul Eluard.
Quand je pense que tu passeras près de Domérat ce soir, arrrgghhh… Et dire que je ne peux pas venir avec toi…
Salue Gabrielle de ma part. Tu la verras planer au dessus de chez Adele 😉
C’est nous qui allons planer chez AdeleS 😉
anti, heureuse.
Mea culpa, je n’avais pas réalisé que le titre de cette note « Il y a toujours un rêve qui veille » est la citation qui termine « Les trois perles de Domérat ».
Anti? Blonk.
Anna, perlée
Bonne journée quand même
On vous attend avec impatience, le champagne est au frais et le soleil a décidé d’illuminer votre route.
C’est pas tout ça, mais il faut que je me mette à ma cuisine, moi… 🙂
Gabrielle veille. Elle a enveloppé de sa bienveillance cette rencontre qui se suspend tard dans la nuit. La lumière est ici cette nuit, et le ciel illuminé d’étoiles nous répond.
Vous savez l’heure qu’il est ?….
Là, maintenant, il est exactement 6h23. On est passé à l’heure d’hiver.
Anna, hors loge