L’Harmonie des Sphères

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Chaque jour, mes yeux s’ouvrent avec une chanson en tête, musique des sphères, harmonie.

Aujourd’hui, pour vivre en chanson…

http://www.youtube.com/watch?v=85lKsSCZm4k

Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

Mon enfant, nu sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d’un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Et quoi que tu fasses
L’amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans le moindre rêve où tu t’attardes
L’amour comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets

Le ciel prétend qu’il te connaît
Il est si beau c’est sûrement vrai
Lui qui ne s’approche jamais
Je l’ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu’on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Et quoi que tu fasses
L’amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans le moindre rêve où tu t’attardes
L’amour comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets

On s’envolera du même quai
Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d’après
Tu seras mon unique projet
Je m’en irai poser tes portraits
A tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en dessous, j’écrirai
Que seule la lumière pourrait…
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

Anti

11 Replies to “L’Harmonie des Sphères”

  1. Anna Galore

    Un grand coup de coeur pour cette chanson, l’une de mes préférées pour ses paroles magnifiques.

  2. anti

    Oui, et franchement, dire que j’ai oublié de donner le lien vers l’artiste qui fait des choses très belles ! Pffff !

    Voilà : jihem.dufour.free.fr

    avec une très belle intro : « Jihem »

    Terre, matière archaïque, simple, noble, vivante, sensuelle…

    Sous les doigts, avec les outils, sous les caresses et les « mauvais traitements », à force de patience et de minutie, après l’épreuve du feu et éventuellement celle de la patine, je vous invite à découvrir,ce qui peut advenir d’un bloc de terre informe…

    qui me rappelle la fameuse sortie de l’enfant devant une sculpture « Oooooooh ! mais comment il savait qu’il avait ça à l’intérieur le sculpteur ? »

    anti, Vitriol.

  3. anti

    Aujourd’hui, So ? Attention ! C’est kitch, c’est trop fort ! Il était une fois…

    http://www.youtube.com/watch?v=r_ETEpuAYgo

    J’ai encore rêvé d’elle

    J’ai encore rêvé d’elle
    C’est bête, elle n’a rien fait pour ça
    Elle n’est pas vraiment belle
    C’est mieux, elle est faite pour moi
    Toute en douceur
    Juste pour mon cœur

    Je l’ai rêvée si fort
    Que les draps s’en souviennent
    Je dormais dans son corps
    Bercé par ses « Je t’aime ».

    Si je pouvais me réveiller à ses côtés
    Si je savais où la trouver
    Donnez-moi l’espoir
    Prêtez-moi un soir
    Une nuit, juste, pour elle et moi
    Et demain matin, elle s’en ira

    J’ai encore rêvé d’elle
    Je rêve aussi
    Je n’ai rien fait pour ça
    J’ai mal dormi
    Elle n’est pas vraiment belle
    J’ai un peu froid
    Elle est faite pour moi
    Réveille-toi…

    Toute en douceur
    Juste pour mon cœur
    Si je pouvais me réveiller à ses côtés
    Ouvre tes yeux, tu ne dors pas
    Si je savais où la trouver
    Regarde-moi
    Donnez-moi l’espoir
    Je suis à toi
    Prêtez-moi un soir
    Je t’aime
    Une nuit, juste pour elle et moi
    Et demain, enfin je vais me réveiller
    Je t’attendais, regarde-moi
    A ses côtés, c’est sûr je vais la retrouver
    Ouvre tes bras
    Donnez-moi un soir
    Je suis à toi
    Laissez-moi y croire

    Une vie juste pour toi et moi
    Et demain matin, tu seras là

    anti, gonzales !

  4. anti

    Hop ! Hop ! Hop ! Ce matin, Cali m’accompagne :

    Pour Jane.

    On s’étreint, on se serre comme on se boit
    Est-il nécessaire que je répète tant de fois
    Je t’aime, je t’aime, je t’aime je n’aime que toi
    Je t’aime, je t’aime, je t’aime je n’aime que toi

    On se suce les lèvres, on mélange nos doigts
    Le bonheur est une vieille, qui boite sur du verglas
    Alors je le répète pour qu’on ne l’oublie pas
    Je t’aime, je t’aime, je t’aime je n’aime que toi

    Je pendrai, haut et court
    Quiconque, te rôdera autour
    Le bonheur est une vieille, qui boite sur du verglas
    J’essaie de m’en souvenir à chacun de mes pas

    On a cloué des projets sur nos agendas
    Pour être sûrs, bien sûrs, d’aller au moins jusque là
    Tu as peur de me voir partir et moi que tu ne restes pas
    Je t’aime, je t’aime, je t’aime je n’aime que toi

    On se griffe, on se renifle, on se boit
    On se cherche aux coins de chaque instant on ne se lâche pas
    J’ai ces mots comme un flambeau qui guide nos pas
    Je t’aime, je t’aime, je t’aime je n’aime que toi

    Je pendrai, haut et court
    La première vermine, qui te fera la cour
    Le bonheur est un chien qui traverse une quatre voies
    J’essaie de m’en souvenir à chacun de mes pas

    anti

  5. Bloodinky doodle

    « Le bonheur est un chien qui traverse une quatre voies
    J’essaie de m’en souvenir à chacun de mes pas »

    …Pas mieux.

    😉

  6. anti

    Un tantinet désuet, Alain Barrière : Plus je t’entends

    Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
    Plus je t’entends, plus j’aime entendre ta voix
    Tu dis des mots, encore des mots, toujours les mêmes
    Tu dis parfois, tu dis souvent n’importe quoi

    Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
    Plus je t’entends, plus j’aime entendre ta voix
    Tu dis des mots, encore des mots, toujours les mêmes
    Tu dis parfois, tu dis souvent n’importe quoi

    Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
    Tu vois ma vie, ma pauvre vie s’arrête là
    Ton souvenir bien gravé, toujours le même
    La vie ça tue, ça tue parfois, pourquoi ?

    Et je t’entends, et je te vois, toujours la même
    Et je t’entends, et je te vois comme autrefois
    Tu dis des mots, encore ces mots, toujours les mêmes
    Tu dis ces mots, mais ce n’est pas n’importe quoi

    Plus je t’entends, plus je te vois et plus je t’aime
    Tu vois ma vie, ma pauvre vie s’arrête là
    Parce que ma vie n’est que ma vie et que je t’aime
    Parce que mon cœur n’est que mon cœur il est à toi

    Et puis ces mots, jamais ces mots ne sont les mêmes
    Car c’est ta voix qui les redit, ta voix

    Et puis ces mots, jamais ces mots ne sont les mêmes
    Car c’est ta voix qui les redit, ta voix.

    anti, plus je t’entends, plus je te vois…

  7. anti

    En boucle :

    http://tw.youtube.com/watch?v=DQx6KyFZ9B0&feature=related

    La robe et L’échelle de Francis Cabrel

    T’avais mis ta robe légère
    Moi l’échelle contre un cerisier
    T’a voulu monter la première
    Et après

    Y’a tant de façons, de manières
    De dire les choses sans parler
    Et comme tu savais bien le faire
    Tu l’as fait

    Un sourire, une main tendue
    Et par le jeu des transparences
    Ces fruits dans les plis du tissu
    Qui balance

    Il ne s’agissait pas de monter bien haut
    Mais les pieds sur les premiers barreaux
    J’ai senti glisser le manteau
    De l’enfance

    On n’a rien gravé dans le marbre
    Mais j’avoue souvent y penser
    Chaque fois que j’entends qu’un arbre
    Est tombé

    Un arbre c’est vite fendu
    Le bois quelqu’un a du le vendre
    S’il savait le mal que j’ai eu
    A descendre

    D’ailleurs en suis-je descendu
    De tout ces jeux de transparence
    Ces fruits dans les plis des tissus
    Qui balancent

    J’ai trouvé d’autres choses à faire
    Et d’autres sourires à croiser
    Mais une aussi belle lumière
    Jamais

    A la vitesse où le temps passe
    Le miracle est que rien n’efface l’essentiel
    Tout s’envole en ombre légère
    Tout sauf ce bout de fièvre et de miel

    Tout s’est envolé dans l’espace
    Le sourire, la robe, l’arbre, et l’échelle
    A la vitesse où le temps passe
    Rien, rien n’efface l’essentiel

    J’ai trouvé d’autres choses à faire
    Et d’autres sourires à croiser
    Mais une si belle lumière
    Jamais

    Et voila que du sol où nous sommes
    Nous passons nos vies de mortels
    A chercher ces portes qui donnent
    Vers le ciel

    anti, du côté samourache de la force

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