"C'est ce genre de rencontres, que tu partages si bien dans ce blog, qui donne envie de vivre, de voyager, d'ouvrir ses yeux et son âme aux autres. Ce qui existe ailleurs, au delà, dans d'autres langues, dans d'autres regards, me fascine, me transporte. Merci d'entrouvrir la porte de tes joies..." (Julien)
"Une vraie beauté, ce blog. Je trouve admirable cette constance, ces beaux sentiers parcourus, partagés. Vous êtes des amours pour cette terre, un peu plus jardin, grâce à vous..." (Ronron)
"J'ai fait un voyage splendide, des tapisseries de la Licorne en passant par l'estime de moi, j'ai vu les hordes de touristes et la tempête sur l'île de La Réunion, en écoutant trois petites chansons, trois petits tours et puis s'en vont... Le Service Public n'arrive pas à la cheville de ce blog, malgré une redevance en expansion..." (Ramses)
"Juste un petit commentaire pour vous dire que votre blog est un phare qui illumine mon quotidien ! J'adresse donc mes félicitations à l'ensemble d'une équipe qui force l'admiration par sa générosité d'âme ! La route est belle." (Christina)
"Ici, je trouve, en vrac : de l'humour, de l'info, de la beauté, de la culture, de la connaissance, de l'action, de l'engagement, de l'amitié. Et vous ! Je souris souvent en vous lisant les uns, les autres. De la complicité, de la tendresse. Et ça me fait plaisir ! Alors, forcément, je reviens. Tous les jours. Et même plusieurs fois par jour ! Il y a toujours un mot à lire ! Merci à vous pour cet espace." (Catherine)
Ce que j 'aime ici, c'est votre générosité, votre partage, et votre optimisme réaliste. Votre blog est un souffle d'air bourré de vitamines. Je vous adore. (Emma)
Je voudrais…
être le vent
qui fait vivre l’espace
et le souffle
qui anime tes lèvres
Je voudrais…
être l’écume
qui mousse les vagues
et la goutte d’eau
qui glisse sur ta peau
Je voudrais…
être la flamme
qui guide les marins
et l’étincelle
qui éclaire tes yeux
Je voudrais…
être la Terre
qui porte les hommes
et le galet
que cueillent tes doigts
Je voudrais…
être les songes
qui hantent les nuits
et le rêve
qui guide ta vie
Je voudrais…
être le verbe
qui fait vibrer les âmes
et trois mots
qui disent je t’aime
Réginelle
BLONK !
Je ne te le fais pas dire.
Je dirais même plus: euh… youpi !
Je voudrais que tu entendes ces trois mots de moi pour toi…
allez… un peu d’audace… un peu… pas beaucoup… juste juste ça…
Là…
Là,
Juste là,
Un frisson qui naît
Là, juste là,
Au creux de mes reins
Et fermer les yeux
Aux vagues de volupté
Que tes doigts animent
Et tendre mon corps
Aux appels muets
D’une caresse qui glisse
Là,
Juste là,
Une chaleur profonde
Là, juste là,
A l’antre de mon ventre
Et trembler un peu
Aux ondes brûlantes
Que ton désir attise
Et offrir mes seins
Aux morsures tendres
De ta bouche avide
Là,
Juste là,
Un cri qui enfle
Là, juste là,
Du fond de mon âme
Et gémir à peine
A la source vive
Que mon plaisir affole
Et m’ouvrir profond
Aux élans ardents
De ton corps exigeant
Là,
Juste là !
Et mourir un peu
Et vivre si fort…
Juste là…
Aux draps de ton lit défait…
** Réginelle **
pour faire plaisir à Miss… Le poème de Falaises…
Du nord au sud…
Forteresses imprenables de calcaire fragile,
de murs d’albâtre ou de granit, que les flots érodent
de leurs lames froides et habiles.
Illusoires remparts couronnés d’émeraude,
enceintes mouvantes d’un univers suspendu
de terre et d’herbes folles, de cascades et de marécages,
de Chèvrefeuille et de Bruyère… un monde perdu
entre extravagantes chimères et rêves sages…
Anses de galets et de goémon, irisées de nacre translucide
à la houle légère d’eaux quelquefois, amènes et placides,
doux et plaisants atours d’une immensité océane,
mirages devant lesquels, toujours, les marins se damnent…
Forêts enchantées d’une Bretagne aux brumes légères,
repaires de preux chevaliers, las d’une quête épuisante,
et de Druides assoupis, main ouverte sur leur serpe d’or…
Collines de thym et de romarin, ombrées de pins parasols,
cernant des nappes d’épis blonds et d’arrogants tournesols
ondoyants sous les assauts d’un impétueux Mistral.
Plages de sable fin, calanques de cristal turquoise et d’opale,
parures luxuriantes d’une Méditerranée frivole et impudique,
mutine rivale d’un puissant et hautain Atlantique…
Frémissantes garrigues d’une Provence que le soleil enserre
de mauves et droits sillons de lavande odorante,
délicats entrelacs, aux pieds d’antiques châteaux forts…
Ce poème, que je découvre à l’instant, est à tous les sens du terme merveilleux.
Je t’embrasse fort, Ré pleine de grâce.
Il est superbe ce poème Ré, heureuse de te retrouver.
Bizzzzzzzzzzzzzzz
J’étais direct à Marseille… avec un p’tit détours par l’océan atlantique. Belle promenade. Merciiiii.
En te lisant Ré, j’entends Louise Attaque :
DU NORD AU SUD
du nord au sud
parcourir en accord chaque ville,
chaque port sans cesse et sans effort
du nord au sud
naviguer même à tort
naviguer vers le nord
partager mes trésors
al quatro vientos sin esfuerzo
del norte al sur sin pararse
du nord au sud
le long d’un méridien
l’élégance du voisin
son tarmac est le mien
du nord au sud
je vais loin
je rêve en plein
et si je veux je reviens
al quatro vientos sin esfuerzo
del norte al sur sin pararse.
La vidéo devrait te plaire 😉
http://www.dailymotion.com/video/x1p9b_louise-attaque-du-nord-au-sud-clip
anti, du nord au sud 😉